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Dengue, paludisme ou encore virus du Nil occidental : la hausse des températures et l'évolution des pluies liées aux dérèglements climatiques influencent la transmission des maladies infectieuses au départ tropicales, alerte le Lancet Countdown.
Invisible à l’œil nu mais indispensable à la vie sur Terre, Prochlorococcus règne silencieusement sur nos océans depuis des millions d’années. Cette cyanobactérie marine, plus petite qu’un virus mais plus puissante qu’une centrale électrique biologique, vient pourtant de révéler sa talon d’Achille dans une étude qui bouleverse nos certitudes sur l’avenir des écosystèmes marins. La découverte est troublante : l’organisme qui produit un tiers de l’oxygène que nous respirons pourrait être beaucoup plus fragile face au réchauffement climatique qu’on ne l’imaginait.
Selon une récente étude, les forêts tropicales d’Australie sont les premières au monde à ne plus pouvoir assurer leur rôle de puits de carbone. Evidemment, ce phénomène inquiétant est en étroit lien avec l’actuel dérèglement climatique. De plus, l’étude révèle que d’autres forêts tropicales pourraient subir le même sort à l’avenir.
Et si notre Planète approchait d’un point de non-retour ? À mesure que la Terre se réchauffe, des systèmes entiers (des calottes glaciaires aux forêts tropicales) risquent de changer de manière irréversible. Ces « points de basculement » pourraient transformer le visage du monde tel que nous le connaissons. Mais faut-il pour autant céder au fatalisme ?
Les forêts tropicales humides australiennes sont désormais les premières à passer du statut de puits de carbone à celui de source d’émissions, selon une analyse s’étendant sur plusieurs décennies. Ce basculement serait lié à des températures toujours plus extrêmes et à des épisodes de sécheresse plus intenses, entraînant une hausse notable de la mortalité des arbres. Ces observations pourraient annoncer la trajectoire que suivront les forêts tropicales du monde au cours des prochaines décennies.
Décimées par les événements climatiques extrêmes, ces zones boisées ne peuvent plus jouer leur rôle de «puit de carbone», alerte une étude publiée mercredi dans la revue «Nature». D’autres forêts tropicales pourraient être touchées à l’avenir.
Plus de 8 millions d’hectares ont été détruits en 2024, notamment dans les régions tropicales, selon l’évaluation annuelle de suivi des engagements des pays en matière de déforestation publiée mardi.
La plus grande extinction de masse a effacé près de 90 % des espèces de la surface de la Terre il y a environ 250 millions d’années. Mais le grand mystère de cet événement porte sur sa suite : pourquoi le globe est-il resté invivable pendant cinq millions d’années ? Des scientifiques ont peut-être trouvé la solution et elle tient en partie aux forêts tropicales. De quoi nous alerter de leur importance encore à l’heure actuelle.
Ces dernières années, les cartes de la santé mondiale sont en train de se redessiner. Deux maladies jusqu’ici majoritairement cantonnées aux zones tropicales – la dengue et le chikungunya – sont en train de gagner du terrain en Europe. Et d’après une nouvelle étude publiée dans The Lancet Planetary Health, ce n’est pas un simple épisode passager : ces maladies pourraient bien devenir endémiques sur le continent. En cause ? La progression du moustique tigre, leur principal vecteur, favorisée par le réchauffement climatique.
L'équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l'an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d'une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil.
Selon l’Observatoire mondial des forêts, 6,7 millions d’hectares ont disparu en un an dans ces écosystèmes cruciaux pour le climat et la biodiversité. Un niveau jamais atteint depuis deux décennies.
Au total, 6,7 millions d’hectares de forêt primaire ont été détruits l’an dernier, en partie dû aux incendies, eux-mêmes alimentés par le réchauffement climatique.
L’équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l’an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d’une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil.
Records de chaleurs, de pluies, de sécheresses... Dans un rapport, Météo-France décrit le climat d’une France à +4 °C, soit la hausse des températures prévue pour 2100. Des canicules s’étendant de mi-mai à mi-septembre, et pouvant durer deux mois continus ; des épisodes de sécheresse durant des années ; une multiplication par dix des jours de vagues de chaleur et de nuits tropicales ; des montagnes privées de neige pendant la majorité de l’hiver…
Dans un rapport publié jeudi, Météo-France décrit le futur climatique du pays si les politiques climatiques actuelles se poursuivent. « C’est un autre pays qui nous est raconté », prévient le climatologue Davide Faranda.
Les leaders du marché du collagène fabriquent des produits qui provoquent la destruction de forêts tropicales au Brésil.
Le réchauffement des océans et des mers est un enjeu majeur dans le contexte du changement climatique actuel. Les conséquences seront nombreuses d'ici à la fin du siècle : orages violents, nuits tropicales, canicules marines… Quelles répercussions auront ces phénomènes sur notre quotidien et notre santé ?
Conséquence directe du dérèglement climatique, ces chaleurs nocturnes se banalisent dans le Sud et remontent de plus en plus vers le nord du pays.
Des scientifiques relèvent, jeudi, dans la revue « Nature Geoscience », un « déclin substantiel » de la capacité nette des arbres à absorber du CO₂.
L’une des tempêtes tropicales les plus puissantes à avoir frappé l’archipel nippon ces dernières décennies a touché terre ce jeudi 29 août, faisant dès les premières heures des victimes et d’importants dégâts.
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