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Vladimir
Au lendemain des attaques ukrainiennes sur le territoire russe, nous avons échangé avec Alain De Neve, chercheur à l'École royale militaire. Si cette opération a fait autant de dégâts que ceux avancés par Kiev, quel impact sur la guerre dans son ensemble ?
"Le diable sur l'épaule de Poutine", le surnomme-t-on souvent. Il faut dire que l'homme est aux côtés du maître du Kremlin depuis de très nombreuses années. Et qu'il fait partie des rares personnes à qui le président russe fait confiance. Au point que certains le voient comme le futur successeur du chef d'Etat... Dans le cadre de sa série "Il était une fois", La Libre dresse le portrait de "l'homme le plus dangereux de Moscou" aux prises de position extrêmes et violentes qui murmure à l'oreille de Vladimir Poutine.
Donald Trump, qui pourrait annoncer bientôt de nouvelles sanctions contre la Russie selon des médias américains, a une nouvelle fois laissé éclater mardi sa frustration envers Vladimir Poutine, estimant qu'il "jouait avec le feu".
L’Ukraine a rejeté vendredi la proposition du président russe Vladimir Poutine de créer une zone tampon le long de la frontière ukrainienne. Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga estime que ces plans montrent que la Russie n’a aucune intention de mener des pourparlers de paix. "Poutine reste la seule raison de l’effusion de sang actuelle", a-t-il écrit sur X (anciennement Twitter).
Deux heures d’entretien et aucun résultat concret. Pourtant, à Washington et à Moscou, la nouvelle conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, lundi 19 mai, a été présentée sous un jour favorable, servant un récit différent. Aucun des deux dirigeants ne veut acter une rupture et un échec dans leur rapprochement, alors que le président américain cherche en vain à obtenir un cessez-le-feu prolongé en Ukraine, voire un règlement du conflit.
Dans une tribune au « Monde », l’économiste russe Vladislav Inozemtsev et le chercheur ukrainien Mykola Vorobiov constatent que les appels au président russe pour arrêter la guerre ont toujours été peine perdue. Selon eux, il ne consentira à négocier que si la guerre devient dangereuse pour son propre compte.
Ancien ministre de la Culture et historien aux vues nationalistes, le conseiller de Vladimir Poutine, Vladimir Medinski, emmène la délégation russe aux négociations de paix avec l'Ukraine à Istanbul, un rôle qu'il a déjà joué en mars 2022, au tout début du conflit. Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait mis au défi son homologue russe de se rendre "en personne" à cette rencontre, mais Vladimir Poutine y a envoyé une délégation composée de responsables de second rang et dirigée par M. Medinski.
Alors qu’à Moscou se déroulait le défilé de la victoire, vendredi 9 mai, 35 délégations étrangères se sont réunies à Lviv, en Ukraine, pour annoncer la mise en place d’une instance destinée à juger les dirigeants de la fédération de Russie.
Les autorités ukrainiennes ont fait état jeudi de nouveaux bombardements en déput du cessez-le-feu unilatéral annoncé par le président russe Vladimir Poutine, et qui devait entrer en vigueur à minuit dans la nuit de mercredi à jeudi.
Malgré la guerre qu'il a déclenchée contre l'Ukraine, le président russe Vladimir Poutine croit en la réconciliation avec le pays voisin.Il a affirmé que Moscou avait les moyens militaires de mener la guerre "à sa conclusion logique, avec le résultat nécessaire pour la Russie".Le Kremlin exige non seulement que l'Ukraine renonce à adhérer à l'Otan, mais il revendique également de vastes régions de l'État voisin.
Le président américain a condamné jeudi une nouvelle vague de frappes meurtrières russes sur l’Ukraine. Une critique “rare” adressée à Moscou, remarque la presse américaine, qui estime que l’administration Trump est pressée d’obtenir un accord de paix pour redorer son blason, après le “fiasco des droits de douane”.
La guerre en Ukraine aurait-elle pris une tournure décisive ce mardi 22 avril ? Nos confrères du Financial Times, qui s'appuient sur trois sources, ont affirmé que Vladimir Poutine aurait proposé d'arrêter les attaques russes sur les lignes de front ukrainiennes.
Organiser une nouvelle élection en Ukraine sous l’égide de l’ONU, rien de moins. Vladimir Poutine a évoqué vendredi 28 mars l’idée d’une «administration transitoire» pour l’Ukraine, avec le contrôle des Nations unies, afin d’organiser une élection présidentielle «démocratique» dans ce pays, puis négocier un accord de paix avec les nouvelles autorités. Et ce, alors que, loi martiale oblige, le scrutin pour désigner le successeur de Volodymyr Zelensky, en mai 2024, a été reporté sine die.
"Les sanctions doivent rester en place jusqu'au début du retrait russe de notre territoire et tant que la Russie n'aura pas entièrement compensé les dommages causés par son agression", a plaidé le président ukrainien lors d'un échange vidéo avec les dirigeants des 27 Etats membres de l'UE réunis en sommet à Bruxelles. Le président russe Vladimir Poutine doit mettre fin à ses exigences "inutiles", qui prolongent la guerre en Ukraine, a affirmé jeudi dans un message vidéo le président ukrainien Volodymyr Zelensky, devant les 27 réunis en sommet à Bruxelles.
Le cessez-le-feu évoqué par les deux présidents, mardi 18 mars, se borne aux infrastructures énergétiques, moins cruciales avec la fin de l’hiver. Un accord très éloigné de l’arrêt des hostilités souhaité par l’Américain.
Il est fort probable que l’entente entre Donald Trump et Vladimir Poutine portant sur le dépeçage de l’Ukraine et l’éviction de l’indomptable Zelensky au nom d’une « paix » future ait été conclue en secret bien avant le clash spectaculaire à la Maison-Blanche. Pour Françoise Thom, l’Amérique de Trump procède en accéléré au changement d’un pays démocratique en un pays s’inspirant du modèle poutinien.
John Bolton, conseiller à la Sécurité nationale lors du premier mandat de Trump, a vivement critiqué l'approche américaine concernant les négociations pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine est "prêt" à parler à Donald Trump mais attend "des signaux" de Washington, a indiqué vendredi le Kremlin, rétorquant aussi à ce dernier qu'une baisse du prix du pétrole n'aurait aucune incidence sur le conflit en Ukraine.
Lors de sa très longue conférence de presse annuelle à Moscou ce jeudi 19 décembre, le président russe s’est dit prêt à échanger avec Donald Trump, potentiellement autour d’un cessez-le-feu en Ukraine.
Plusieurs pays, dont la Russie et la France, ont réagi à la décision américaine d’autoriser Kyiv à frapper les territoires russes avec ses missiles longue portée.