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déchets radioactifs
Plus d’un millier de barils de déchets radioactifs ont été retrouvés lors d’une mission en cours dans le nord-est de l’océan Atlantique, selon le CNRS, organisme français de recherche scientifique.
Portée par le CNRS, la première mission de ce type depuis 1988 vise notamment à repérer et photographier les fûts immergés, ainsi qu’à analyser les conséquences sur leur environnement proche.
Que faire des 280.000 m3 de déchets faiblement radioactifs accumulés au cours des décennies? La Cour des comptes appelle les autorités à identifier rapidement des sites adaptés pour stocker ces déchets pouvant émettre des rayonnements pendant 100.000 ans. Dans son rapport de 107 pages consacré à l'Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs), les magistrats financiers alertent sur le sort incertain de ces déchets dits de "faible activité à vie longue (FA-VL)", qui représentent en volume plus d'une centaine de piscines olympiques.
La Cour des comptes estime que la situation financière de l’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs est « saine et robuste », mais alerte sur l’urgence de gérer certaines catégories de déchets.
Sur une période de plusieurs décennies, plus de 200 000 fûts de déchets radioactifs ont été immergés pour rejoindre les abysses de l'Atlantique nord-est. Aujourd'hui, personne ne sait où ces barils se trouvent précisément, ni leur état. Une équipe de scientifiques va tenter de les cartographier et d'évaluer les conséquences d'éventuels rejets sur les écosystèmes marins.
Le projet Cigéo d'enfouissement des déchets nucléaires les plus radioactifs à Bure (Meuse) pourrait coûter au total entre 26,1 et 37,5 milliards d'euros, au lieu des 25 milliards jusqu'ici envisagés, selon le nouveau chiffrage de l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra) publié lundi et qui doit encore être arbitré par le gouvernement.
Aux États-Unis, des scientifiques ont mis au point une batterie électrique capable de générer de l’énergie en captant les ondes électromagnétiques des déchets nucléaires. Ce concept est potentiellement révolutionnaire puisqu’il permettrait ainsi de donner une seconde vie à ces déchets dangereux. ... Selon les résultats, les scientifiques ont mesuré une puissance de 288 nanowatts avec une alimentation au césium 137 et 1,5 microwatt en ce qui concerne le cobalt 60. Évidemment, ces quantités d’énergie semblent très faibles, mais pour les auteurs de l’étude, elles sont néanmoins suffisantes pour alimenter de petits capteurs.
Située dans le sud de la Finlande, l'île d'Olkiluoto va bientôt inaugurer un nouveau site d'enfouissement de déchets radioactifs.
La Suède et l'Allemagne disposent déjà de nouvelles méthodes de recyclage des matériaux faiblement radioactifs après la fermeture d'une centrale nucléaire.
Dossier « illisible », « lacunaire »... Les associations antinucléaires réclament que l’instruction de la demande d’autorisation de création du projet Cigéo soit prolongée de deux ans. Bure (Meuse), reportage Rares sont les opportunités de voyager dans le temps profond. Sauf quand on traverse les couches géologiques qui doivent accueillir des déchets de l’industrie nucléaire. C’est à Bure, dans la Meuse, que doit être construit le futur site d’enfouissement des déchets radioactifs, baptisé Cigéo.
Cigeo, le projet français d'enfouissement des déchets les plus radioactifs du parc nucléaire, devrait connaître vers le début de 2025 une nouvelle étape, avec la publication de son évaluation de sûreté, a-t-on appris mardi auprès de l'Andra, l'agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs.Le projet, qui vise à enfouir à 500 m sous terre, dans la Meuse, les déchets les plus actifs et de longue durée, fait l'objet d'une demande d'autorisation de création auprès de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN), dont la réponse est attendue vers 2028 estime l'Andra.
Alors que l’entreprise Orano est en train de dépolluer une zone contaminée par des éléments radioactifs près de son usine de retraitement nucléaire, les agriculteurs des terrains voisins craignent d’avoir été gravement touchés.
Des fûts de déchets radioactifs, témoins silencieux d'une pratique controversée, reposent au fond des océans. Cette gestion hasardeuse, longtemps privilégiée par les États nucléarisés, soulève aujourd'hui des inquiétudes majeures.
Depuis 1993, l’immersion de déchets radioactifs en mer est interdite. Mais que faire des déchets jetés auparavant dans les océans ?
1,76 million de mètres cubes de déchets radioactifs ont été recensés en 2023, un chiffre amené à croître. De nombreuses incertitudes persistent sur l’avenir de leur gestion.
La France, champion du nucléaire civil aux ambitions renouvelées, compte à ce jour 1,76 million de m3 de déchets radioactifs à gérer, un stock amené à croître mais que les pouvoirs publics se disent en capacité de gérer.Quelque 220.000 m3 supplémentaires ont rejoint le stock de déchets en cinq ans, soit 14% de plus, selon cet inventaire quinquennal à fin 2021 publié mardi par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra).
La France compte quelque 1,76 million de m3 de déchets radioactifs à gérer, soit 14% de plus que lors du précédent inventaire quinquennal, souligne mardi un bilan de l'Andra, l'agence publique chargée du sujet. C'est environ 220 000 m3 de plus qu'au 31 décembre 2016, selon ce bilan à fin 2021 établi par l'Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs (Andra). Plus de 90% du total est de très faible activité ou de faible et moyenne activité à vie courte. Ces matériaux sont en partie stockés en surface dans des centres de l'Andra dans l'Aube.
Dans la région d’Arlit au Niger, deux filiales d’Orano (ex AREVA), la SOMAÏR et la COMINAK ont exploité des gisements d’uranium depuis la fin des années 70. En 2020, 34 % de l’uranium importé en France pour le fonctionnement des centrales électronucléaires provient du Niger. L’extraction du métal radioactif à partir des minerais y a entraîné la production de plusieurs dizaines de millions de tonnes de résidus radioactifs.
Le gouvernement a publié samedi son cinquième plan national de gestion des matières et déchets radioactifs (PNGMDR) pour les années 2022-2026, un document qui doit servir à piloter sa stratégie en la matière. Ce plan de gestion "est adopté", indique un décret paru au Journal officiel. Un arrêté le complète avec un certain nombre de prescriptions. Le PNGMDR était auparavant mis à jour théoriquement tous les trois ans mais sa portée a désormais été étendue à cinq ans pour le mettre en cohérence avec la feuille de route énergétique (PPE). Cette édition est le fruit d'un long processus puisqu'elle avait fait l'objet d'un débat public en 2019 puis d'une concertation en 2020 et 2021.
La communauté internationale a le regard tourné vers Zaporijjia, où Russes et Ukrainiens s’affrontent depuis des semaines près de la plus grande centrale nucléaire d’Europe. Cette situation tendue fait courir plusieurs risques nucléaires que tous les belligérants et leurs soutiens souhaitent éviter. France 24 fait le point sur les scénarios possibles.