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eau potable
Près du village de Valderoure, un projet d’installation de panneaux photovoltaïques porté par Engie créerait un risque pour la ressource en eau d’une dizaine de communes, selon des citoyens, élus locaux et scientifiques. La totalité des participants à l’enquête publique achevée ce jeudi 3 juillet se dit contre.
Sur la commune de Durbuy, l’eau de distribution n’est plus potable sur une partie du réseau de Barvaux. Une pollution bactérienne a été détectée dimanche. Plusieurs analyses ont été réalisées ainsi que des purges. La situation devrait se normaliser d’ici la fin de la journée. En attendant, une distribution de bouteilles d’eau est organisée à 14 heures dans le parc communal de Barvaux.l’hypothèse la plus probable, et c’est quasiment certain, c’est la contamination du réseau de distribution par de l’eau de pluie via le raccordement d’un circuit d’eau de pluie au réseau de distribution"
Des centaines de milliers de personnes ont été exposées pendant plus de quarante ans à une contamination de l’eau potable par les polluants éternels dans le nord-est de l’Italie.
Dans un rapport publié lundi, l'association Notre affaire à tous et dix organisations ultramarines alertent sur les grandes difficultés d'accès à l'eau en Outre-mer. Le résultat, dénoncent-elles, d'une "discrimination environnementale" entre l'Hexagone et ces territoires ultramarins. Coupures prolongées, fuites d'eau, contamination… France 24 dresse un bilan de la situation.
Lenteur, fausse route, manque de transparence… Alors que le rapport de la commission d’enquête du Sénat sera rendu lundi 19 mai, «Libé» raconte les coulisses de la gestion gouvernementale du dossier de la fraude aux eaux minérales.
Face à la contamination de son principal captage d’eau potable, la métropole de Rouen a échoué à trouver une source alternative, après dix ans de recherches.
Même si les limites maximales permises ne sont pas dépassées, les scientifiques craignent les effets cumulatifs de ces polluants sur la santé humaine.
Le chlorure de vinyle monomère (CVM), une substance gazeuse cancérogène, contamine depuis des années l’eau potable transportée dans des canalisations en PVC vieillissantes. En collectant les données des différentes sources disponibles, Vert a identifié plus de 5 500 communes concernées et réalisé la première carte de France en la matière.
Que quatre millions de Francilien·nes puissent boire de l’eau sans PFAS, ni micropolluants. C’est le rêve du Syndicat des eaux d’Île-de-France, qui teste une stratégie de pointe pour les filtrer. Une technique efficace mais énergivore, qui entraîne des rejets polluants dans la nature.
Bruxelles reproche à la France d’exposer la population à un « danger potentiel pour la santé » en ne respectant pas les seuils maximaux sur les nitrates dans 107 unités de distribution d’eau potable réparties dans sept régions. La Commission a saisi la Cour de justice de l’Union européenne.
Si la majeure partie de la surface terrestre est couverte d’eau, seulement un faible pourcentage concerne l’eau douce. Cependant, les pays ne sont pas égaux face à cette ressource vitale, comme l’indique une récente infographie très parlante.
Gaz incolore et inodore présent dans les canalisations d’eau potable en PVC installées dans les années 1970, le CVM serait présent dans 15 % à 30 % du réseau, notamment en Normandie et en Nouvelle-Aquitaine, selon un chercheur du Centre Jean-Bodin à Angers.
Après une enquête menée par UFC-Que choisir et Générations futures qui révélait la présence de polluants éternels dans l’eau potable de la capitale, la régie lance une action en justice ce vendredi 28 mars pour que les responsables prennent en charge le surcoût de la décontamination. [...] La régie municipale chargée de l’eau à Paris a porté plainte contre X ce vendredi 28 mars pour pollution de son réseau d’eau potable aux polluants éternels (ou PFAS) afin d’établir l’origine de cette contamination et faire appliquer le principe de «pollueur-payeur».
Tirée d’un puits dans la vallée de Lunain, captée dans la Voulzie, charriée dans les égouts… Au fil de l’eau, «Libé» remonte les canalisations pour comprendre l’origine, le traitement et la distribution de la précieuse ressource dans la capitale.
Pour des centaines de milliers de personnes sur notre territoire, l’accès à ce bien commun essentiel est une bataille au quotidien. Assurer un partage digne et sécurisé de l’eau est pourtant un impératif de justice sociale.
Largement disséminés dans l’eau, les polluants éternels sont très difficiles à traiter. Un casse-tête très coûteux pour les collectivités en charge de la distribution d’eau potable. « On est dans une impasse totale. » Au téléphone, Mickaël Derangeon ne cache pas son désarroi. La raison ? La découverte d’un polluant éternel — le TFA, ou acide trifluoroacétique, un résidu de pesticides — dans l’immense majorité des captages d’eau de Loire-Atlantique.
La compagnie pétrolière publique équatorienne Petroecuador a déclaré mardi en situation d'urgence son principal oléoduc et a réduit ses exportations de brut en raison d'une fuite qui a gravement pollué plusieurs rivières et privé d'eau potable des dizaines de milliers d'habitants du nord-ouest du pays.
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
Générations futures a engagé des actions juridiques pour intégrer la recherche du TFA dans les contrôles sanitaires sur l’eau potable et pour interdire deux pesticides à l’origine de la pollution.
Un groupe d’élus de Loire-Atlantique doit rendre public, vendredi 7 février, un manifeste signé par plus de 150 maires, conseillers départementaux et parlementaires locaux issus de l’ensemble du spectre politique, demandant l’interdiction des usages de pesticides sur les aires d’alimentation des captages d’eau potable.