Les Soulèvements de la Terre

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l’Aviation
Les forces ukrainiennes ont lancé ce dimanche une série d’attaques très en profondeur du territoire russe, frappant des bases hébergeant des bombardiers stratégiques avec des petits drones et des maisons en bois.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué dimanche les résultats "brillants" de l’attaque de drone coordonnée menée par ses services contre des aérodromes militaires en Russie, affirmant que son pays n’avait jamais mené d’opération à si "longue portée". "Il s’agit de notre opération à la plus longue portée", a-t-il dit en évoquant des "résultats absolument brillants". Il a par ailleurs assuré que les agents impliqués dans la préparation de l’attaque ont été "extraits du territoire russe à temps".
Les services de sécurité ukrainiens affirment ce dimanche 1er juin avoir touché plusieurs cibles militaires, à des milliers de kilomètres pour certaines.
Le Conseil de l’OACI, saisi par l’Australie et les Pays-Bas, a rendu une décision inédite sur la responsabilité d’un Etat membre dans un différend aérien. L’agence de l’ONU pour l’aviation civile, l’OACI, a estimé, lundi 12 mai, que la Russie était responsable de l’accident du MH17, abattu il y a dix ans au-dessus de l’Ukraine, tuant 298 passagers et membres d’équipage. Il s’agit de la première décision du conseil de l’organisation « sur le bien-fondé d’un différend entre Etats membres ».
Des scientifiques chinois travaillent sur une technologie aussi impressionnante que risquée : permettre à un avion de chasse furtif de sixième génération, le J-36, d’atterrir en toute sécurité sur un porte-avions… même en pleine mer agitée. Ce défi colossal pourrait bien redéfinir la manière dont les puissances navales envisagent la guerre aéronavale dans les prochaines décennies.
Le président américain a déclaré ce samedi 15 mars que les Etats-Unis avaient mené «une action militaire puissante» contre les rebelles yéménites qui ont dit reprendre les attaques contre des navires de commerce qu’ils estiment liés à Israël.
En raison des sanctions imposées à Moscou après l’invasion de l’Ukraine, le secteur traverse une zone de fortes turbulences, montre l’enquête de “Novaïa Gazeta Europe”. Obligées de se fournir en pièces détachées au marché noir, les compagnies enregistrent des pannes à répétition.
L’entrepreneur Thomas Guyot alerte, dans une tribune au « Monde », sur la contradiction entre la hausse du trafic aérien et ce que l’on sait de son incidence sur le climat.
Les effets du changement climatique sont de mieux en mieux documentés et connus grâce aux travaux du Groupe intergouvernemental d’experts du climat (GIEC) notamment. Ces effets sont toutefois souvent perçus comme secondaires dans le secteur aéronautique lorsqu’ils sont considérés individuellement, mais ils constituent bel et bien une problématique globale pour l’aviation.
Certains mènent des actions de guérilla juridique. Mais ça reste désolant de devoir attaquer juridiquement des aspects très annexes (le greenwashing…) par rapport au problème principal : la taille de l’aviation de masse, qu’aucune technologie ne permettra sans doute jamais de neutraliser à cette échelle et dans les temps impartis par l’urgence écologique (à cause des lois de la chimie de la et de la physique des carburants, des moteurs et du vol habité). Le greenwashing, c’est l’existence de l’aviation de masse toute entière !
Avions « verts », carburants « soutenables » : autant de voies sur lesquelles travaille le secteur aérien afin de préserver sa croissance. Mais la technologie a ses limites et le trafic doit décroître si on veut réussir la transition climatique, prévient Maxence Cordiez, spécialiste de l’énergie au CEA (France).
L’avion est le mode de transport le plus polluant, le moins égalitaire et pourtant le moins taxé !
Cela ne plaira pas aux compagnies aériennes. Mais les progrès techniques des avions ne suffiront pas pour qu’ils cessent de polluer. Il faudra moins les utiliser, révèle une étude de l’Ademe. La limitation du nombre de vols par aéroport est une des pistes possibles de modération du trafic aérien, meilleur moyen, selon l’Ademe, de réduire les émissions de CO2 de l’aviation civile.
Revendications par rapport à l’aviation Nous demandons une décroissance radicale de l’aviation pour préserver un avenir vivable, notamment par le biais des mesures suivantes au niveau belge et européen :
Les projets visant à rendre le transport aérien plus écologique en aspirant à des vols au bilan carbone neutre, oublient une part importante de l’impact de l’aviation sur le réchauffement climatique. Ce constat émane d’une étude publiée dans Nature Climate Change, citée par le Tages-Anzeiger.
L’industrie aérienne européenne a profité des aides publiques pendant la crise sanitaire sans pour autant réduire son empreinte carbone comme elle devait s’y engager en contrepartie. C’est ce qu’affirme le rapport de Greenpeace intitulé « Vers le crash climatique ? Analyse des sept plus grosses compagnies aériennes européennes » publié mercredi 1er juin.
l faut amorcer la transition vers une baisse du secteur aérien, appelle dans cette tribune un collectif, à l’occasion du Sommet de l’aviation les 3 et 4 février. Il demande aux ministres des Transports européens de prendre diverses mesures.
Le gouvernement de Joe Biden a présenté, jeudi, un plan qui mise principalement sur la production de carburants non fossiles.
Alexandre de Juniac, actuel Président de l’IATA et ex-PDG d’Air France-KLM déclarait le 9 mars dans Les Échos : « Le transport aérien est à la fois un secteur à la pointe de l'innovation, mais qui continue à fonctionner avec des règles des années 1950. » En fait, ces règles n’ont cessé d’être libéralisées au détriment des protections environnementales et sociales.


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