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Just Stop Oil, Dernière Rénovation, Ultima Generazione … Si ces collectifs, lancés aux quatre coins de l’Europe, n’ont que quelques mois d’existence, leurs actions coup de poing ont su braquer la lumière sur la crise climatique. Des méthodes qui leur permettent au passage d’attirer de nouveaux militants, tandis qu’Extinction Rebellion, fer de lance de la désobéissance civile outre-manche, change de stratégie pour s’orienter vers une voie plus modérée. Une diversification qui montre les difficultés pour le mouvement climat de se réinventer. Cet article est le deuxième épisode d'une série consacrée à la désobéissance civile.
Il y a quelques semaines, Extinction Rebellion a créé la surprise. Au Royaume-Uni, le mouvement a pris la décision d’abandonner les blocages d'autoroutes et mains collés aux œuvres d'art. Une méthode de contestation jusqu'alors au cœur du collectif qui s’est construit autour d’actions de désobéissance civile spectaculaires. Mais, dépassé par des groupes militants plus radicaux et alors que le gouvernement britannique durcit le ton, le mouvement a choisi la voie du "rassemblement". Cet article est le premier épisode d'une série consacrée à la désobéissance civile.
Face à l'urgence climatique, les scientifiques sortent de la réserve prônée dans la discipline pour s'investir dans le débat public. Certains misent sur les réseaux sociaux et la sensibilisation, alors que d'autres n'hésitent pas à appeler à la désobéissance civile face à l'inaction des gouvernements.
Le premier réacteur nucléaire a été mis en service en 1954. Pourtant, près de 70 ans plus tard, aucune solution de stockage définitif n'a encore été mise en place pour accueillir les déchets les plus radioactifs. Ceux-ci représentent plus de 60 000 tonnes rien qu'en Europe, dont un quart se trouve en France. C'est ce que révèle le premier Rapport mondial sur les déchets nucléaires, réalisé par une dizaine d'experts internationaux, en partenariat avec la fondation Heinrich-Böll et Les Verts européens.