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Leurs responsabilité dans l'échec des conférences sur le climat ou le plastique est de plus pointée du doigt. Quelles sont les solutions?
Après l’échec des négociations sur un traité international pour lutter contre la pollution plastique, seuls un contrôle strict des importations et une réforme en profondeur des filières de recyclage permettront à la France de sortir d’un système inefficace, constate le consultant Jacques Marceau, dans une tribune au « Monde ».
Ils réduisent la pollution plastique à un simple problème de "mauvaise gestion des déchets" et s'emploient à recentrer les débats sur la phase post-consommation. Un tour de passe-passe pour éviter de devoir négocier sur la réduction de la production de déchets plastiques… à sa source, selon la chercheuse Aurélie Leroy.
À Genève, aucun traité n'a pu être adopté. Mais les pays ambitieux prévoient déjà de nouvelles initiatives pour réduire la pollution plastique
Présenté au milieu de la nuit de jeudi à vendredi, un nouveau texte de compromis comportait encore plus d’une centaine de points à clarifier. Après dix jours d’intenses négociations, les chefs de délégation n’ont pas réussi à se mettre d’accord.
Malgré dix jours de négociations intenses, les 185 pays réunis à Genève ont échoué à se mettre d'accord dans la nuit de jeudi à vendredi sur un texte contraignant pour lutter contre la pollution plastique, en raison de l'opposition d'un bloc de pays producteurs de pétrole.
Les 184 pays réunis depuis dix jours en Suisse pour une session de négociations annoncée comme celle de la «dernière chance» se quittent, ce vendredi 15 août, sans trouver d’accord.
Dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 août, les 184 pays réunis à Genève n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur un texte permettant de conclure un traité contre la pollution plastique. La ministre de la transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, s’est dite «déçue».
Il n'y aura pas de traité contre la pollution plastique à Genève: 10 jours de pourparlers diplomatiques tendus se sont terminés vendredi à l'aube par un constat d'échec cuisant pour l'environnement et la diplomatie.
C’est un échec. Les 185 pays réunis à Genève au sommet de l'ONU ne sont pas parvenus à un accord dans la nuit de jeudi à vendredi pour élaborer un texte contraignant contre la pollution plastique.
Après dix jours de négociations intenses, la conférence de Genève sur le traité mondial contre la pollution plastique s’est soldée par un échec. Les divisions entre pays producteurs de pétrole et partisans d’un texte ambitieux ont eu raison de ce sommet présenté comme "la dernière chance".
Les négociations sur le traité contre la pollution plastique ont échoué, après dix jours de négociations. Les pays pétroliers et les lobbies en sont responsables, dénonce Lisa Pastor, de l’association Surfrider.
Les diplomates des 183 pays réunis pendant dix jours à Genève n’ont pas réussi à s’accorder sur les mesures à déployer pour mettre un terme à cette pollution omniprésente. Plusieurs options sont sur la table quant au cadre des futures discussions.
Les diplomates de 184 pays sont réunis à Genève depuis le 5 août. Ils doivent présenter un texte commun pour lutter contre développement incontrôlé du plastique.
Les diplomates de 184 pays n'ont plus que quelques heures jeudi à Genève pour tenter de forger à l'arrachée un texte commun qui établirait un premier traité international de lutte contre la pollution plastique, après le rejet massif d'un projet de texte de synthèse. Une nouvelle séance plénière réunissant tous les délégués est prévue en milieu d'après midi, après l'échec retentissant d'une tentative de synthèse maladroite mercredi après-midi, et des débats d'une grande confusion. Mais les chances de trouver un accord, après trois ans de négociations, semblent très minces, étant donné les profondes divisions qui demeurent entre les deux camps qui se sont affrontés sur le sujet.
À Genève, les négociations sur le premier traité mondial contre la pollution plastique entrent dans leur phase décisive. Les 184 pays participants peinent encore à s'accorder sur des mesures contraignantes, notamment sur la réduction de la production. L'issue de ces discussions prévue dans la nuit de jeudi à vendredi pourrait déterminer la portée réelle de l'accord pour freiner la crise mondiale du plastique.
Almost 100 countries reject draft treaty as ‘unambitious’ and ‘inadequate’
A Genève, les représentants de 184 pays ont beaucoup de difficultés mercredi à s’entendre sur les mesures nécessaires pour réduire la pollution plastique au niveau mondial, et les négociateurs censés rendre un texte de traité international jeudi sont "au bord du gouffre", selon une déléguée.
Plus de 180 pays négocient depuis le 5 août un traité mondial contre la pollution plastique, à Genève, en Suisse. Mais l’opposition des grands producteurs menace d’affaiblir l’accord. Jules Vagner, cofondateur de l’association Zéro Plastique, suit ces débats cruciaux et met en garde contre un texte sans réelle ambition.
La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a déploré mercredi 13 août le blocage par plusieurs pays producteurs de pétrole (et donc de plastique) des laborieuses négociations en cours à Genève sur un accord international.
La commissaire européenne à l'Environnement, Jessika Roswall, a appelé mardi à faire aboutir les négociations très difficiles en vue d'un traité sur la pollution plastique, censées se conclure jeudi après 10 jours de tractations à Genève.
Le premier traité international permettant de lutter efficacement contre la pollution plastique qui menace les écosystèmes et la santé humaine est "à portée de main", malgré le "brouillard" qui pèse actuellement sur l'avancée des négociations, a estimé samedi la secrétaire générale adjointe des Nations Unies, Inger Andersen.
Une étude récente porte sur la production de quatre types de polymères vierges par les Etats.
Sept pays, conduits par la Chine, les États-Unis et l'Arabie Saoudite, ont produit deux tiers (66%) des quatre types de plastiques les plus courants dans le monde en 2024, selon le cabinet britannique de conseil environnemental Eunomia et Zero Carbon Analytics, un groupe de recherche.
Alors que les négociations du traité mondial sur les plastiques débutent à Genève, un nouveau rapport ainsi qu’un film de l’Environmental Justice Foundation (EJF) révèlent que les efforts déployés pour lutter contre la pollution plastique en se concentrant sur la gestion des déchets échouent totalement en Thaïlande. Ces « fausses solutions » détournent l’attention de la cause première : la surproduction et la surconsommation. Ce constat souligne l’urgence d’un accord s’attaquant à la crise du plastique à la source, selon l’EJF (*).
Conclure un premier traité mondial contre la pollution aux plastiques s’avère crucial. Pourtant, les Etats restent divisés sur la façon de faire face à ce fléau dont les déchets ravagent la planète et menacent la santé humaine.
Sous l'égide de l'ONU, près de 180 pays se réunissent mardi à Genève. L'objectif : écrire un traité mondial visant à réduire la pollution plastique après l'échec des discussions menées à Busan, en Corée du Sud, fin 2024.
À partir de ce mardi, les représentant·es de 180 pays se retrouvent en Suisse pour tenter de se mettre d’accord sur un traité international visant à réduire la pollution plastique. Pourquoi les précédentes négociations ont-elles échoué ? Que reproche-t-on exactement à ce matériau ? Vert vous explique ce qui se joue actuellement sur les rives du lac Léman.
La Conférence des Nations unies sur l’océan, qui se tient à Nice du 9 au 13 juin, va confier à une structure intergouvernementale une gigantesque boîte à outils destinée à mieux prévoir les impacts du changement climatique.
Syrie : l’Etat islamique revendique sa première attaque contre les nouvelles forces gouvernementales
(30/05) - Libération,Afp,Daech a affirmé jeudi 29 mai avoir déclenché une mine sur le passage d’un véhicule de l’armée syrienne dans le sud du pays. L’attaque aurait fait un mort et trois blessés.
A la tête d’une commission pour «l’efficacité gouvernementale», le patron de Tesla avait à l’origine annoncé qu’il réduirait les dépenses fédérales de 2 000 milliards de dollars. Il s’est finalement satisfait de 150 milliards, jeudi 10 avril.
Le «Doge», piloté par le milliardaire libertarien, dont l’action est qualifiée par certains observateurs de «coup d’État», emploie l’intelligence artificielle pour surveiller et virer les employés fédéraux des États-Unis.
La Maison Blanche met à exécution son plan de licenciements des fonctionnaires. Le président américain souhaite aussi virer 65 % des 15 000 personnes qu’employait l’agence de protection de l’environnement en 2024.
Les autorités kurdes du nord-est de la Syrie ont repris l'approvisionnement en pétrole vers les territoires administrés par les autorités de Damas, une première depuis la chute de Bachar al-Assad, a indiqué samedi à l'AFP un responsable gouvernemental.Avant la destitution d'Assad le 8 décembre, l'administration kurde acheminait du pétrole vers les zones gouvernementales, mais ces livraisons avaient été interrompues depuis, a précisé ce responsable au ministère du Pétrole, Ahmed Souleimane.
Bas les Musk. Des employé·es du département américain de l’«efficacité gouvernementale» – structure décrétée par Donald Trump et placée sous la coupe d’Elon Musk -, sont entré·es de force dans les locaux de l’Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique, ce mercredi. Leur objectif : mettre la pression sur les scientifiques.
Les émissions françaises de la plupart des polluants atmosphériques ont diminué entre 2000 et 2023, mais la France reste confrontée à des dépassements de normes, ainsi qu'à des épisodes de pollution à l'ozone et/ou aux particules, selon un rapport gouvernemental publié lundi."Des progrès significatifs ont été accomplis dans la réduction des émissions de polluants atmosphériques à la suite des actions impulsées tant à l'échelle nationale qu'au niveau local", souligne ce bilan de la qualité de l'air extérieur en France en 2023.
Dans une récente avancée, des chercheurs ont utilisé des aimants permanents — plutôt que des électroaimants — pour confiner le plasma d'un réacteur à fusion. Une première, qui a comme objectif une réduction considérable des coûts de construction et d'exploitation.
Les Etats-Unis sont devenus le premier fournisseur de gaz de la France en 2022, année du début de la guerre en Ukraine, devant la Norvège et la Russie où la France s'est fournie à hauteur de 15%, selon le "Chiffres clés de l'énergie 2023" publié jeudi.
Les Etats-Unis sont devenus le premier fournisseur de gaz de la France en 2022, année du début de la guerre en Ukraine, devant la Norvège et la Russie où la France s'est fournie à hauteur de 15%, selon le "Chiffres clés de l'énergie 2023" publié jeudi.
Alors qu’un planning des coupures d’eau entre en vigueur ce 4 septembre à Mayotte, le ministre Philippe Vigier a promis des actes. Mais promesses non tenues et corruption empêchent depuis des années les solutions.