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Le mode opératoire est parfaitement calqué sur celui d’acteurs russes bien connus et inondant le Web de faux médias. Ceux-ci ne récoltent la plupart du temps aucune audience réelle.
Pour nourrir leurs IA de données, les entreprises tech ratissent Internet à l’aide de visiteurs bien encombrants, qui exploitent sans contrepartie tout ce qui y est disponible.
Alors qu’il affirmait il y a à peine quelques semaines que le web ouvert est en plein essor, Google change désormais de discours en admettant qu’il est en déclin rapide. Cette déclaration reflète les inquiétudes des éditeurs numériques et des propriétaires de sites quant à la forte baisse de leur trafic depuis la popularisation des chatbots d’IA et les modifications apportées à l’algorithme de recherche Google.
[Enquête Clubic] Avec l'intelligence artificielle, certaines entités obscures mettent sur pied des médias en ligne qui font tout pour paraître crédibles. Mais en réalité, tout est faux, et la supercherie va loin.
Climate.gov, which went dark this summer, to be revived by volunteers as climate.us with expanded missionEarlier this summer, access to climate.gov – one of the most widely used portals of climate information on the internet – was thwarted by the Trump administration, and its production team was fired in the process.
Een groep wetenschappers en onderzoekers in de Verenigde Staten richten een nieuwe website op om zo kostbare informatie te bewaren die verwijderd is door de Trump-regering. De nieuwe, onafhankelijke klimaatwebsite moet niet alleen de data bewaren, maar de informatie begrijpbaar maken voor het grote publiek. De Amerikaanse minister van Energie meldde eerder deze maand nog dat ze de klimaatrapporten en info op de officiële website willen "herbekijken en updaten".
Il y a désormais plus de robots que d’humains sur Internet. Et c’est en train de changer la face d'internet et des réseaux sociaux. 📈 Selon la 12ème étude annuelle d’Imperva, publiée en avril 2025, 51 % du trafic mondial est désormais généré par des robots, contre 49 % par des internautes humains. Et cela n'est pas sans conséquence étant donné la nature des robots qui ont émergé ces dernières années.
Les systèmes d’intelligence artificielle capables, comme ChatGPT, de répondre aux questions des internautes, aspirent à ringardiser les moteurs de recherche traditionnels et à rendre facultative la consultation de sites Internet. Dans ces conditions, que va-t-il rester du World Wide Web ?
Aujourd’hui nous allons parler de Géoingénierie. Ce sujet, qui n'était autrefois vu que comme un projet d'apprentis sorciers, est aujourd'hui présent dans tous les plans climatiques gouvernementaux. Mais comment la géo-ingénierie s’est infiltrée dans les sphères politiques et que cache réellement ce concept ? Quels sont concrètement les projets de géoingénierie, sont-ils vraiment viables, et à quels risques nous exposent-ils ? Entre fuite en avant, technosolutionnisme, et enjeux géopolitiques, quelles intentions motivent réellement la géoingénierie ? Pour parler de ces sujets, j’ai le plaisir d'accueillir Marine De Guglielmo Weber. Marine est docteure en sciences de l'information et de la communication, chercheuse au sein de l'Institut de recherche stratégique de l'école militaire, directrice scientifique de l'Observatoire Défense & Climat et auteur de différents ouvrages dont Le Grand Retournement et La Géopolitique des Nuages.
Windmolenparken op zee veranderen het voedselweb onder water, blijkt uit onderzoek voor de Belgische Kust. Vooral de komst van dieren die deeltjes uit het water filteren, zoals mosselen en anemonen, heeft een invloed.
Exclusive: Climate.gov, which supports public education on climate science, will soon no longer publish new contentA major US government website supporting public education on climate science looks likely to be shuttered after almost all of its staff were fired, the Guardian has learned.
La presse a très récemment révélé la décision du Président Trump de suspendre les financements fédéraux de la plus prestigieuse Université américaine : Harvard. On parle de plus de 2,2 milliards de dollars qui seraient gelés ; d’autres menaces pèsent sur les dispositifs fiscaux dont l’Université américaine bénéficie. De nombreuses Agences fédérales de recherche ont également été l’objet de coupes sombres et des milliers de chercheurs, ont été licenciés sur le champ. Ces décisions ont, contestablement, pour ambition de museler ces Institutions productrices de savoir et, tout particulièrement, en limitant la liberté académique. Sans que nous n’en soyons là aujourd’hui en Belgique, force est de constater que l’inquiétude est grande dans le monde académique.
Nous sommes à J+68 de glue fasciste aux Etats-Unis, à 427 ppm de CO₂ dans l’atmosphère et aujourd’hui – haut les cœurs – on se demande si nous assisterons bientôt à une « guerre des nuages ». Eh oui, cette perspective n’a rien de science-fictionnelle… Des pays investissent déjà dans leur capacité à contrôler les conditions météorologiques et, dans certaines zones tendues (Israël-Iran, Chine-Inde), des gouvernements s’accusent mutuellement de vol d’eau atmosphérique.
Bases de données, archives, pages Web… Depuis son investiture à la présidence des États-Unis, le 20 janvier, Donald Trump mène une véritable croisade numérique contre la mémoire administrative du pays. De nombreux contenus liés à la diversité, à l’identité de genre, à la recherche scientifique publique, au climat et à l’environnement ont été supprimés. Avant d’être, pour certains, remis en ligne de manière tronquée, falsifiée ou vidée de leur substance.
The USDA has begun removing references to climate change on its webpages and sites, including the U.S. Forest Service website.
Forest service website among many sites affected as agencies scramble to comply with president’s orders
The directive follows President Trump's orders reversing climate policies.
Dans un ouvrage fouillé, la chercheuse Marine de Guglielmo Weber et le journaliste Rémi Noyon analysent les recherches et les risques dans le domaine de la modification artificielle du climat.
Et si, après avoir déréglé le climat, nous décidions de le contrôler ? Depuis les années 1970, les scientifiques explorent de nouvelles perspectives pour poursuivre notre « aménagement » du système Terre : arbres artificiels, voile solaire, nuages blanchis… Ces approches, bien que différentes, sont regroupées sous le terme de géo-ingénierie. Jadis perçues comme des idées dangereuses, elles sont de plus en plus acceptées. Certains y voient un moyen de ralentir le réchauffement sans toucher aux bases du capitalisme tandis que d’autres les considèrent comme un ultime recours pour éviter des catastrophes irréversibles.
Et si, après avoir déréglé le climat, nous décidions de le contrôler ? Depuis les années 1970, les scientifiques explorent de nouvelles perspectives pour poursuivre notre « aménagement » du système Terre : arbres artificiels, voile solaire, nuages blanchis… Ces approches, bien que différentes, sont regroupées sous le terme de géo-ingénierie. Jadis perçues comme des idées dangereuses, elles sont de plus en plus acceptées. Certains y voient un moyen de ralentir le réchauffement sans toucher aux bases du capitalisme tandis que d’autres les considèrent comme un ultime recours pour éviter des catastrophes irréversibles. Dans ce livre-enquête, Marine de Guglielmo Weber et Rémi Noyon retracent l’histoire de la géo-ingénierie, explorent les cultures scientifiques et philosophiques qui la sous-tendent, et examinent ses implications en matière de gouvernance, de conflits géopolitiques et de justice climatique. Avec une préoccupation majeure : qu’un climat d’urgence nous mène à des interventions dangereuses sur l’atmosp