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Nous acteurs Français, Belges et Européens de la santé publique, de l'agriculture biologique et de l’environnement, prenons l’engagement d’unir nos forces pour faire advenir un nouveau chapitre de la santé publique grâce à une alimentation et une agriculture (jardins familiaux, élevage, grandes cultures, arboriculture, maraîchage, vignobles, etc) sans pesticides de synthèse.
La commission Santé du Parlement wallon a examiné une proposition d'Ecolo visant à limiter l'usage des pesticides, sans obtenir le soutien du MR.
Nous acteurs Français, Belges et Européens de la santé publique, de l'agriculture biologique et de l’environnement, prenons l’engagement d’unir nos forces pour faire advenir un nouveau chapitre de la santé publique grâce à une alimentation et une agriculture (jardins familiaux, élevage, grandes cultures, arboriculture, maraîchage, vignobles, etc) sans pesticides de synthèse.
Une agriculture française 100 % bio serait meilleure pour notre santé et celle de l’environnement. On pourrait arriver à cette généralisation du bio si l’on réduisait notre consommation de viande. Ce qui aurait également des effets bénéfiques pour notre santé.
Dans le sillage de la mobilisation contre la loi Duplomb, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées à l’appel d’associations locales et d’élus dans la ville de Charente-Maritime. Leur objectif : faire reconnaître les dommages créés par les pesticides sur la santé et l’environnement.
Fort de plus de deux millions de signatures, le texte demandant l’abrogation de la loi de simplification agricole doit être présenté devant la commission des affaires économiques. Ses membres décideront alors de l’examiner ou de le classer.
Dans une décision jugée « historique » par les défenseurs de la nature, la cour administrative d’appel de Paris juge que l’usage de ces produits entraîne un « préjudice écologique » envers l’environnement et la santé. Les autorisations de mise sur le marché doivent être réévaluées.
Alors que les incidents climatiques extrêmes occupent l'actualité, les prises de position publiques minimisant l'impact des activités humaines sur le réchauffement climatique se répandent.
Sur RMC ce vendredi, l’élu LR, désavoué par le Conseil constitutionnel, a évoqué la piste d’un nouveau texte prenant en compte les critères soulignés par les juges.
Près de 25.000 Belges ont apporté leur soutien à deux pétitions appelant à une agriculture sans pesticides dangereux, indiquent vendredi Ecolo et le collectif citoyen "Blanche-Neige", à l'initiative de ces deux appels à signatures lancés il y a une dizaine de jours.
Un betteravier, une apicultrice et un maraîcher réagissent à la censure, annoncée ce jeudi 7 août, des dérogations pour utiliser l’acétamipride par le Conseil constitutionnel.
La censure par le Conseil constitutionnel de la réintroduction de l’acétamipride a été accueillie avec un soupir dans les rangs des citoyens mobilisés. Mais le combat contre les autres dispositions du texte continue.
L’institution chargée de vérifier la conformité des lois à la Constitution a censuré ce jeudi 7 août une partie de la loi controversée, notamment le retour de l’insecticide interdit depuis 2018 pour sa toxicité envers la biodiversité.
L’Elysée a fait savoir qu’Emmanuel Macron « a pris bonne note de la décision du Conseil constitutionnel » et « promulguera » le texte « tel [qu’il] résulte de cette décision », c’est-à-dire sans ce pesticide contenant des néonicotinoïdes.
La loi Duplomb a été validée par le Conseil constitutionnel, qui n’a censuré que sa disposition la plus contestée, celle qui prévoyait de réautoriser des pesticides de la famille des néonicotinoïdes, dont l’acétamipride.
Présentés comme indispensables à la culture de la betterave par les soutiens de la loi Duplomb, les néonicotinoïdes n’ont pourtant jamais fait partie de l’arsenal de Clément et Élodie, agriculteurs bio dans l’Aisne.
La Commission européenne a réévalué à la hausse les limites maximales de résidus d’acétamipride pour les prunes, plusieurs graines oléagineuses ainsi que les miels et « autres produits de l’apiculture ».
Réautorisé par dérogation après le vote de la loi Duplomb, que le Conseil constitutionnel pourrait tout ou partie censurer jeudi, le puissant insecticide divise communauté scientifique et agences sanitaires quant à son niveau de toxicité pour la santé humaine. Il fait aussi l’objet d’instrumentalisations politiques.
Une polémique politique enflammée, des débats juridiques avant l’avis ce jeudi du Conseil constitutionnel… Et si la science s’invitait vraiment dans les discussions tendues autour de la loi Duplomb ?
Alors que le texte contesté prévoit la réintroduction de l’acétamipride, l’instance juge que « sur le plan médical (…) le doute n’est pas raisonnable » et déplore « l’écart persistant entre les connaissances scientifiques disponibles et les décisions ».