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Mardi, au premier jour de la reprise de la COP16, le sommet de l'ONU sur la biodiversité à Rome, les pays participants ont officiellement adopté le Fonds Cali, dans lequel les entreprises déposent une partie des bénéfices qu'elles réalisent grâce aux génomes numérisés de la faune et de la flore.
De nouvelles études estiment que les impacts du changement climatique pourraient réduire le PIB mondial de 22 à 55% d'ici 2100.
Le géant pétrolier a annoncé ce jeudi 31 octobre une baisse de 39 % de ses bénéfices par rapport au trimestre précédent. Mis en cause, la moindre rentabilité du raffinage et les prix du pétrole très volatils à cause des tensions qui secouen
Les majors pétrolières européennes ont vu leurs bénéfices fondre au troisième trimestre en raison de la baisse des prix du pétrole et des marges de raffinage sur fond de faible croissance mondiale, mais affichent une belle rentabilité et continuent à rétribuer généreusement leurs actionnaires.Pour TotalEnergies, il s'agit même de la plus forte baisse de bénéfices depuis la pandémie. Son résultat net a reculé de 65% au troisième trimestre 2024, à 2,3 milliards de dollars, presque autant que les -65,7% du quatrième trimestre 2020, en plein Covid-19.
Les pays réunis en Colombie à partir du lundi 21 octobre devront avancer sur les mécanismes de compensation versés pour l’utilisation de génomes de plantes ou d’animaux, stockés dans des bases de données aujourd’hui en libre accès.
Le géant pétrolier saoudien Aramco a annoncé dimanche une chute de 24,7% de ses bénéfices en 2023, une contraction qui s'explique par la baisse des prix du brut et des coupes de production. Fleuron de l'économie saoudienne, Aramco a indiqué dans un communiqué que ses bénéfices avaient atteint 454,7 milliards de riyals saoudiens (environ 121,25 milliards de dollars) en 2023, contre un record de 604,01 milliards de riyals (161,07 milliards de dollars) l'année précédente.
Coup d'accélérateur pour BYD: le constructeur automobile chinois, premier fabricant mondial sur le créneau de l'électrique, a multiplié par trois son bénéfice net au premier semestre, galvanisé par la forte demande en véhicules propres en Chine.Le pays asiatique, principal producteur mondial de gaz à effet de serre en valeur absolue, vise en 2035 des ventes automobiles majoritairement composées de véhicules électriques et hybrides.
Les bénéfices de la plus grande compagnie pétrolière au monde sont en chute libre. Saudi Aramco enregistre une baisse de 38 % de ses bénéfices. La situation est similaire pour toutes les majors, alors que le prix du baril baisse. Si la situation est conjoncturelle, entre le "peak oil", le véhicule électrique et une économie mondiale plombée notamment par le changement climatique, plusieurs menaces pèsent sur l’industrie pétrolière.
On le savait déjà, les grands prédateurs tel le loup ont des effets bénéfiques d’un point de vue écologique : sélection naturelle, maîtrise des populations d’ongulés, réduction des risques sanitaires… Trop peu d’études cherchent à estimer les bénéfices économiques importants dus à leur présence par la réduction des dégâts agricoles et forestiers. Moins connus encore sont les effets de limitation des accidents routiers, pourtant importants.
Les résultats financiers de l'année dernière des plus grandes entreprises d'engrais au monde sont tombés et ils sont sidérants. Vu le prix exorbitant des engrais en 2022, on s'attendait à ce que leurs recettes battent des records, mais nul n'aurait pu prédire l'ampleur des profits réalisés. Alors que le monde est aux prises avec une grave crise alimentaire et que les agriculteurs et agricultrices voient leurs coûts augmenter, les géants mondiaux des engrais ont augmenté leurs marges et plus que triplé leurs bénéfices par rapport à il y a deux ans.
Le géant britannique du pétrole et gaz BP a enregistré un bénéfice net part du groupe de 8,2 milliards de dollars au premier trimestre contre une perte historique un an plus tôt due à la décision de mettre fin à ses opérations en Russie.
Le géant américain du pétrole et du gaz ExxonMobil a annoncé vendredi avoir pompé plus au premier trimestre et doublé ses profits malgré le repli des prix des hydrocarbures par rapport à la même période en 2022. Le groupe a dégagé un bénéfice net de 11,4 milliards de dollars sur les trois premiers mois de l'année, un record pour un premier trimestre.Avec la baisse des cours de l'énergie sur un an, son chiffre d'affaires total a pourtant reculé de 4% à 86,6 milliards de dollars.
L’économie solidaire, qui concentre l’activité économique sur la satisfaction des besoins humains, le développement durable et la justice sociale, joue un rôle d’une importance particulière dans les pays en développement, où elle favorise la réduction de la pauvreté et améliore la qualité de vie des communautés locales grâce à l’appropriation collective ou communautaire, gestion participative et redistribution équitable des bénéfices.
Les géants chinois du pétrole Sinopec et Cnooc ont dégagé en 2022 des bénéfices en forte hausse, en raison de la guerre en Ukraine et de la reprise mondiale qui ont fait bondir les prix de l'énergie.L'invasion russe de l'Ukraine en février 2022 et la salve de sanctions occidentales qui ont suivi contre Moscou, en particulier contre son secteur gazier, mettent l'approvisionnement mondial sous pression et ont logiquement fait grimper les cours.
Le géant pétrolier saoudien Aramco a annoncé dimanche des bénéfices "records" en 2022, grâce à l'envolée des cours du brut dans le sillage de la guerre en Ukraine, dopant l'économie du premier exportateur mondial de brut.La compagnie, détenue en grande partie par l'Etat saoudien, a dégagé un bénéfice net 161,1 milliards de dollars l'année dernière, en hausse de 46% sur un an, selon un communiqué publié à la bourse de Ryad.Il s'agit des profits les plus élevés pour Aramco depuis sa cotation en bourse, a précisé le texte.
Les majors sont sous la pression du gouvernement libéral de Justin Trudeau, déterminé à réduire de 42 % les émissions de gaz à effet de serre de l’industrie gazière et pétrolière d’ici à 2030.
Renouveau des coopérations territoriales, mise en mouvement collective, transformation des imaginaires... : conduire les transitions vient avec son lot de défis. D’autant plus lorsqu’il faut faire face à un modèle économique dominant porté par un discours puissant. Face à ces enjeux, la Mise en récits des projets de transitions est une méthode stratégique aux multiples bénéfices.
Dopées par la flambée des prix de l’énergie causée par l’invasion russe en Ukraine, les principales entreprises pétrolières ont enregistré l’an dernier des résultats monstres.
Les deux géants américains du pétrole et du méthane (gaz naturel) ExxonMobil et Chevron vont certainement annoncer plus de $100 milliards de bénéfices pour l’année 2022. De son côté, le géant de l’Arabie Saoudite, Saudi Aramco va largement dépasser les $160 milliards de bénéfices. BP, Shell et Total boucleront la boucle pour dépasser les $300 milliards de profits.
Ce terme, davantage politique que scientifique, revient dans le débat public pour appuyer la création d’une taxe sur les bénéfices records des majors de l’énergie.