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octobre 2025

Un avis de l’Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection souligne « la grande complexité » et le manque de robustesse du plan de l’électricien pour renforcer le sol sur lequel doivent voir le jour deux EPR2.
EDF doit fournir des éléments prouvant que les mesures envisagées pour renforcer le sol pour l'implantation des deux futurs réacteurs EPR2 à Gravelines (Nord), au bord de la mer, sont sûres et fiables, selon des documents de l'Autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection (ASNR) rendus public jeudi. Dans un avis du 23 juillet, l'ASNR souligne qu'EDF devra "démontrer la robustesse de sa solution de renforcement de sol" de fondation du site de Gravelines, en soulignant le caractère inédit du système proposé par l'électricien, "d'une ampleur sans précédent, d'une grande complexité et sans retour d'expérience représentatif en France et à l'international".
L'exploitant nucléaire EDF a informé le régulateur français de l'énergie qu'il retenait l'hypothèse d'une puissance de son réacteur EPR de Flamanville (Manche) plus basse que celle communiquée officiellement, en raison d'un "rendement détérioré" non expliqué à ce jour, selon les éléments d'un rapport dévoilés mercredi. Cette information, reprise par le journal La Tribune, figure dans un rapport publié le 30 septembre par la Commission de régulation de l'énergie (CRE), gendarme du secteur, qui relève qu'EDF lui "a déclaré" une puissance électrique finale de l'EPR "inférieure de 35 MW à la puissance déclarée dans le cadre des données publiques".

septembre 2025

La Cour des comptes alerte sur le mur financier auquel est confronté l’électricien : 460 milliards d’euros à trouver d’ici à 2040. Mais personne ne devrait être surpris, à commencer par le chef de l’Etat : c’est la facture des futurs EPR et du nucléaire français.
L'énergéticien français EDF, qui exploite les cinq centrales nucléaires actuellement en activité au Royaume-Uni, a annoncé mardi prolonger la durée de vie de deux d'entre elles, assurant que cela "contribuera à la sécurité énergétique" du pays. Deux autres centrales prolongées en décembre dernier "Prolonger la durée de vie de ces centrales (...) permettra de garantir l'emploi plus longtemps à plus de 1 000 personnes qui y travaillent et de soutenir les ambitions du Royaume-Uni de disposer d'un approvisionnement en électricité propre et sûr", a fait valoir dans un communiqué le directeur des opérations nucléaires d'EDF au Royaume-Uni, Mark Hartley.

juillet 2025

Le gouvernement britannique a annoncé mardi sa "décision finale d'investissement" dans la future centrale nucléaire britannique de Sizewell C, dans l'est de l'Angleterre, qui coûtera environ 38 milliards de livres (presque 45 milliards d'euros) aux côtés d'investisseurs privés dont l'énergéticien public français EDF. Cette future centrale est un projet clé pour la sécurité énergétique britannique et le gouvernement britannique "fait les investissements nécessaires pour ouvrir un nouvel âge d'or au nucléaire", a assuré le ministre de l'Energie Ed Miliband dans un communiqué.

juin 2025

Le groupe électricien EDF a émis mardi un nouveau message annonçant de possibles restrictions de production dans son parc nucléaire, à partir du mercredi 2 juillet, notamment sur sa centrale de Golfech (Tarn-et-Garonne) en raison des conséquences des fortes chaleurs sur la température des eaux de la Garonne.
Avec la forte hausse des températures en France, le groupe a annoncé ce jeudi 18 juin se préparer à réduire la voilure à partir de mercredi pour respecter ses limites de rejets thermiques.
Cette découverte, qui a eu lieu à l’occasion d’un arrêt de la centrale pour maintenance, aura un « impact assez mineur » sur la durée de l’arrêt, a assuré EDF.
Le groupe électricien EDF a confirmé la présence de "deux indications" de micro-fissures sur des tuyauteries liées au circuit de refroidissement du réacteur nuclaire n°2 de Civaux (Vienne), tout en assurant qu'il s'agit à ce stade d'un événement "isolé", sans impact pour la production de l'ensemble du parc nucléaire.
Le gouvernement britannique a promis mardi d'investir 14,2 milliards de livres (presque 17 milliards d'euros) dans le projet Sizewell C de réacteurs nucléaires EPR dans l'est du Royaume-Uni, porté par l'énergéticien français EDF.

mars 2025

EDF va proposer des contrats d'achats d'électricité nucléaire à long terme à travers un système d'enchères à l'échelle européenne pour les besoins d'entreprises de taille importante et de ses concurrents fournisseurs alternatifs, a annoncé jeudi l'électricien.Depuis fin 2023, EDF a lancé une nouvelle politique commerciale consistant à proposer des contrats d'électricité de moyen et long terme à destination de grands clients professionnels.

janvier 2025

Opération de communication pro-nucléaire ou chance de reconversion? A Fessenheim (Haut-Rhin), cinq ans après la fermeture de la centrale, le projet de construction d'un "technocentre" pour recycler des déchets métalliques faiblement radioactifs réactive de vieux antagonismes. A l'issue de quatre mois d'échanges, la Commission nationale du débat public (CNDP) organise jeudi soir une ultime réunion sur le projet de technocentre prévu sur le site de l'ancienne centrale alsacienne.
La production d'électricité nucléaire et hydroélectrique d'EDF en France a fortement progressé l'an dernier, le groupe ayant connu moins d'arrêts de réacteurs et mis en grande partie derrière lui ses problèmes de corrosion sous contrainte, mais aussi grâce à l'absence d'aléa climatique majeur et de mouvements sociaux, a annoncé lundi le groupe électricien français.La production nucléaire en France est ressortie à 361,7 térawattheures (TWh) en 2024, en hausse de 12,9% par rapport à l'année précédente (soit + 41,3 TWh), a indiqué EDF.

septembre 2024

Nouveau retard pour l'EPR de Flamanville : EDF a annoncé lundi qu'il faudrait attendre trois mois supplémentaires pour voir son nouveau réacteur alimenter le réseau électrique, lequel ne recevra pas ses premiers électrons avant "la fin de l'automne", alors que l'électricien tablait jusqu'ici sur la fin de l'été.L'énergéticien a annoncé de manière concomitante avoir reçu le feu vert de l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour lancer la production des premiers électrons de l'EPR, avec douze ans de retard sur le calendrier initial.

août 2024

EDF a déposé vendredi sa demande d'autorisation pour procéder à la première "divergence", c'est-à-dire la première fission nucléaire, du réacteur EPR de Flamanville (Manche), a indiqué à l'AFP l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN).L'ASN "a reçu aujourd'hui la demande d'EDF pour la divergence de l'EPR", a indiqué le gendarme du nucléaire, qui doit l'examiner "dans les prochains jours".

juillet 2024

"On est dans la dernière ligne droite" : à Flamanville, EDF est près de lancer la première réaction nucléaire en chaîne dans son réacteur de nouvelle génération EPR, une étape symbolique avant l'arrivée des premiers mégawatts dans le bocage normand cet été.
EDF, qui devait mettre au point pour 2030 environ un premier modèle de petit reacteur nucléaire (SMR) baptisé Nuward, a décidé de revoir ses plans pour travailler à un autre design, a-t-on appris auprès du groupe, confirmant une information de L'Informé.Ce projet en était à la phase d'"avant-projet détaillé", mais le groupe a décidé de renoncer à ce design devant "les enseignements des travaux d'ingénierie et les échanges avec les acteurs de marché".

mai 2024

EDF a annoncé lundi pour la première fois "la signature de prêts bancaires verts" dédiés au financement de la maintenance et de l'extension de la durée de la vie de son parc nucléaire existant, pour un montant d'"environ 5,8 milliards d'euros".Ces prêts dont le remboursement sera étalé sur une durée de trois à cinq ans "ont été conclus avec de grandes banques internationales dont BNP Paribas, Bank of America, Crédit Agricole CIB, ING, Natixis CIB, Société Générale, Wells Fargo", a détaillé EDF dans un communiqué.
L'épilogue d'un long feuilleton: le gendarme du nucléaire français a donné mardi son feu vert à la mise en service du réacteur de nouvelle génération EPR de Flamanville en Normandie, une étape clé pour le lancement progressif de la production d'électricité prévu au cours de l'été, douze ans après le calendrier prévu. A l'heure où la France veut construire jusqu'à 14 réacteurs en France, ce feu vert est une étape majeure pour EDF et toute une filière qui entendent tourner la page d'un chantier laborieux de 17 ans, émaillé de multiples problèmes et de surcoûts colossaux.


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