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forêts tropicales
Plus de 8 millions d’hectares ont été détruits en 2024, notamment dans les régions tropicales, selon l’évaluation annuelle de suivi des engagements des pays en matière de déforestation publiée mardi.
La plus grande extinction de masse a effacé près de 90 % des espèces de la surface de la Terre il y a environ 250 millions d’années. Mais le grand mystère de cet événement porte sur sa suite : pourquoi le globe est-il resté invivable pendant cinq millions d’années ? Des scientifiques ont peut-être trouvé la solution et elle tient en partie aux forêts tropicales. De quoi nous alerter de leur importance encore à l’heure actuelle.
L'équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l'an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d'une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil.
Selon l’Observatoire mondial des forêts, 6,7 millions d’hectares ont disparu en un an dans ces écosystèmes cruciaux pour le climat et la biodiversité. Un niveau jamais atteint depuis deux décennies.
Au total, 6,7 millions d’hectares de forêt primaire ont été détruits l’an dernier, en partie dû aux incendies, eux-mêmes alimentés par le réchauffement climatique.
L’équivalent de 18 terrains de football par minute : la destruction des forêts vierges tropicales a atteint l’an dernier un niveau record depuis au moins vingt ans, en raison des incendies alimentés par le changement climatique et d’une situation qui se dégrade de nouveau au Brésil.
Les leaders du marché du collagène fabriquent des produits qui provoquent la destruction de forêts tropicales au Brésil.
Des scientifiques relèvent, jeudi, dans la revue « Nature Geoscience », un « déclin substantiel » de la capacité nette des arbres à absorber du CO₂.
Dans le nord du pays, de vastes étendues de forêt tropicale sont protégées par des populations locales qui y pratiquent une sylviculture durable. Un exemple qui pourrait s’exporter.
Les forêts mondiales couvrent un tiers des terres émergées. Bien qu’elles nous rendent de précieux services, elles n’ont jamais été autant sous pression. Au point de nous mettre parfois face à nos contradictions, entre forêts sanctuarisées et forêts (sur) exploitées, comme vous le découvrirez dans ce premier volet de notre série d'été consacrée à la forêt.
Les activités humaines menacent les forêts tropicales humides. Directement sur les zones où elles s’exercent. Mais aussi potentiellement bien au-delà, par celui que les scientifiques appellent l’« effet lisière ».
En 1998, les porcs d’une ferme du nord de la Malaisie ont développé une maladie respiratoire, caractérisée par une toux très forte. Certains animaux n’ont présenté aucun autre symptôme, d’autres ont eu de la fièvre et des spasmes musculaires, mais la plupart se sont rétablis. 265 personnes ont développé une encéphalite sévère et 105 d’entre elles sont décédées, soit un taux de mortalité comparable à celui d’Ebola.
Une étude pionnière publiée ce jeudi 11 janvier montre que plus de 80 % des espèces d’arbres endémiques d’une des forêts tropicales les plus riches du monde sont menacées d’extinction, principalement à cause de la déforestation.
Le président brésilien, Lula, présentera les détails du dispositif, supposé couvrir 80 pays, lors de la 28ᵉ conférence des Nations unies sur le climat, qui se tiendra à Dubaï du 30 novembre au 12 décembre.
Le président brésilien, Lula, va proposer la création d’un fonds international destiné à préserver les forêts tropicales, et supposé couvrir 80 pays, lors de la COP28 qui se tiendra à Dubaï.
La déforestation réduit la pluviométrie régionale, selon une étude récemment publiée dans la revue scientifique Nature. Le bassin du Congo pourrait voir ses précipitations diminuer de 10 % d’ici la fin du siècle.
Le One Forest Summit s'achève ce jeudi 2 mars à Libreville au Gabon, au cœur du bassin du Congo, l'un des trois bassins forestiers tropicaux les plus importants du globe. L'enjeu est de trouver des solutions pour inciter financièrement les pays du Sud à préserver leurs forêts afin de maintenir leur rôle de puits de carbone. Ce sommet est le premier rendez-vous d'une longue série qui doit aboutir au lancement de nouveaux mécanismes de financements climatiques Nord-Sud.
Selon une étude publiée en 2021, les forêts tropicales sont capables de se régénérer toutes seules, sans intervention humaine.
Lors de la COP26 de Glasgow, un accord historique de 500 millions de dollars a été signé en échange de la promesse du président de la République démocratique du Congo de protéger ses forêts tropicales. Neuf mois plus tard, le pays d’Afrique centrale fait volte-face. Jeudi 28 et vendredi 29 juillet, son gouvernement procède à l’appel d’offres pour l’octroi des droits d’exploitation de 27 champs pétroliers et trois champs de gaz naturel.
Le rythme de disparition des forêts a ralenti de près de 30% entre la première décennie du siècle et la période 2010-2018, selon un rapport publié cette semaine par l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Cela étant, les forêts pluviales tropicales de la planète sont toujours les plus menacées, que ce soit par le pâturage du bétail en Amérique du Sud ou par l’expansion des terres cultivées telles que les plantations de palmiers à huile en Asie. Selon l’enquête par télédétection de l’évaluation des ressources forestières mondiales, la déforestation annuelle a ralenti de 29% environ, passant de 11 millions d’hectares par an au cours de la décennie 2000-2010 à 7,8 millions d’hectares par an au cours de la période 2010-2018.