Veille documentaire
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
science nucléaire civil
Depuis presque vingt ans, la Chine développe un réacteur de fusion nucléaire que l’on surnomme « soleil artificiel ». Dans le cadre de ces travaux, les ingénieurs ont récemment fabriqué un robot dont la mission sera d’assurer la maintenance complexe et couteuse de cette installation. Équipée de trois bras, cette machine est notamment capable de soulever une charge d’une soixantaine de tonnes.
Visiblement, les conséquences de la catastrophe nucléaire de Fukushima (Japon) de 2011 sont plus que jamais présentes. Il y a peu, une vaste enquête menée par un grand média étasunien a révélé une explosion des cas de cancer de la thyroïde. Néanmoins, la position des autorités est largement critiquée au sein de la population.
Les déchets nucléaires issus des réacteurs à fission pourraient être transformés en tritium, un isotope rare de l’hydrogène utilisé par les réacteurs à fusion, selon un chercheur. Alors que la mise à l’échelle commerciale de la fusion nucléaire est freinée en partie par les coûts élevés liés à la production de tritium, cette stratégie en faciliterait l’accès tout en valorisant des sous-produits radioactifs de la fission.
Pendant que l’Occident mise sur ITER, le pharaonique projet international de fusion nucléaire, la Chine développe dans l’ombre une arme secrète qui pourrait bouleverser la course à l’énergie du futur. Son nom de code : CHSN01. Derrière cette appellation technique se cache un alliage d’acier révolutionnaire qui repousse les limites de la physique des matériaux et pourrait propulser l’Empire du Milieu en tête de la révolution énergétique mondiale.
L’héritage toxique de la guerre froide continue de faire surface de manière inattendue. En Caroline du Sud, des ouvriers viennent de faire une découverte pour le moins troublante sur l’ancien site de production d’armes nucléaires de Savannah River : un nid de guêpes présentant un niveau de radioactivité dix fois supérieur aux seuils autorisés par la réglementation fédérale américaine. Cette trouvaille soulève des questions inquiétantes sur la persistance de la contamination radioactive dans des écosystèmes que l’on croyait sous contrôle, et illustre de manière saisissante comment la nature s’adapte aux environnements les plus hostiles créés par l’homme.
Imaginez chauffer un morceau d’or à une température 14 fois supérieure à son point de fusion… et le voir rester parfaitement solide. C’est exactement l’exploit que viennent de réaliser des physiciens américains, pulvérisant au passage une théorie fondamentale vieille de quatre décennies. Cette découverte accidentelle bouleverse notre compréhension de la matière dans des conditions extrêmes et ouvre des perspectives révolutionnaires pour la fusion nucléaire.
Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Laurent Testot, journaliste scientifique et spécialiste d’histoire globale.
Un nid de guêpes découvert sur un site nucléaire américain dépasse les seuils autorisés de radiation
(01/08) - Valisoa RasolofoEn travaillant sur le site de traitement des matériaux nucléaires de Savannah River, aux États-Unis, des ouvriers sont tombés par hasard sur un nid de guêpes contaminé par la radioactivité. Le nid a été retrouvé près des réservoirs de stockage de déchets nucléaires liquides et présentait des taux de radiation dix fois supérieurs aux niveaux de contamination autorisés par la réglementation fédérale.
Il prévoit d’acheter 200 mégawatts d’’électricité fournit par la première centrale commerciale de la start-up.
Un discret accord franco-arménien fait aujourd’hui l’objet d’une vive controverse internationale. Au cœur de l’affaire : des cargaisons de déchets radioactifs français, prétendument transférés en secret vers une région écologiquement sensible d’Arménie. Un scandale qui mêle géopolitique, nucléaire et accusations de « colonialisme vert », et qui pourrait bien avoir des conséquences dramatiques pour toute une région.
La quête pour maîtriser la fusion nucléaire, cette source d’énergie propre, quasi illimitée et sans déchets radioactifs à long terme, vient de franchir une étape majeure. Le stellarator Wendelstein 7-X, un réacteur expérimental installé en Allemagne, a pulvérisé plusieurs records mondiaux en démontrant sa capacité à maintenir un plasma ultra-chaud et stable plus longtemps que jamais auparavant. Ce succès marque un progrès crucial vers l’objectif de produire une énergie de fusion viable à l’échelle industrielle, capable un jour de remplacer nos sources d’énergie fossile polluantes.
Alors que le monde cherche désespérément des alternatives au charbon et au gaz pour produire une énergie décarbonée, la Chine vient peut-être de faire un grand pas vers un avenir plus propre. Pour la première fois, des chercheurs chinois ont réussi à réapprovisionner un réacteur nucléaire expérimental sans l’arrêter, une prouesse technologique jamais vue jusqu’ici. Ce réacteur n’est pas comme les autres : il fonctionne au thorium liquide, un combustible longtemps ignoré, mais qui pourrait bien devenir la clé d’une nouvelle ère énergétique.
La Lune pourrait bientôt abriter sa première centrale nucléaire, et ce ne seront pas les États-Unis qui en prendront l’initiative. La Chine, en collaboration avec la Russie, prévoit de construire un réacteur nucléaire sur notre satellite naturel dans le cadre de la Station Internationale de Recherche Lunaire (ILRS). Un projet ambitieux qui pourrait marquer un tournant dans l’exploration spatiale, notamment pour la production d’énergie durable sur la Lune.
Le tokamak français WEST établit un record en maintenant une réaction de fusion stable pendant plus de 22 minutes (1 337 secondes), surpassant de 25 % le précédent exploit chinois.
Un satellite espion américain a récemment révélé la construction d’une gigantesque installation de fusion laser en Chine.
Le réacteur chinois de fusion nucléaire EAST a établi un nouveau record mondial en maintenant un plasma ultra-chaud pendant 1 066 secondes.
Située dans le sud de la Finlande, l'île d'Olkiluoto va bientôt inaugurer un nouveau site d'enfouissement de déchets radioactifs.
JT-60SA, le plus grand réacteur à fusion nucléaire au monde, a généré un volume record de plasma de 160 mètres cubes, un exploit enregistré au Guinness World Records.
Des chercheurs chinois ont conçu une batterie nucléaire d'un nouveau genre exploitant l'américium pour produire de l'énergie. Elle serait d'une efficacité et d'une sûreté sans précédent, utilisable pendant plus de 10 ans avec une efficacité stable.
La centrale à fission nucléaire chinoise est la première au monde à être totalement à l’épreuve des fusions dangereuses, même en cas de panne d’alimentation électrique complète.