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2025
Négociateurs ukrainiens et américains se retrouvent samedi en Floride pour leur troisième jour de discussions sur le plan de Washington visant à mettre fin à la guerre avec la Russie, au moment où les forces russes poursuivent leur avancée sur le front et leurs bombardements nocturnes.
Le titre vous semble peut-être exagéré, mais ces prochains jours, nos droits fondamentaux risquent de voler définitivement en éclats. Les ministres européens se réuniront le 10 décembre à Strasbourg pour une conférence interministérielle qui pourrait attaquer le principe de base de notre démocratie : la séparation des pouvoirs. Plus que jamais, la mobilisation est nécessaire.
Les États-Unis de Donald Trump veulent mettre fin aux migrations de masse dans le monde, et faire du contrôle des frontières "l'élément principal de la sécurité" américaine, affirme un document de la Maison Blanche publié vendredi.
Un document publié sur le site de la Maison Blanche ce vendredi 5 décembre annonce la volonté de l’administration Trump de mettre fin aux «migrations de masse» dans le monde.
Le président russe Vladimir Poutine, reçu vendredi par le Premier ministre indien Narendra Modi, a déclaré que Moscou continuerait "de livrer du pétrole sans interruption" à New Delhi.
La Cour suprême des États-Unis a accepté vendredi d'examiner la constitutionnalité d'un décret de Donald Trump revenant sur le droit du sol pour les enfants d'immigrés en situation irrégulière, l'un des plus contestés de son nouveau mandat.
Le département de la sécurité intérieure a lancé, mercredi, une opération d’arrestation de sans-papiers dans la métropole de Louisiane. L’ICE, la police fédérale de l’immigration, devrait recevoir le renfort de la garde nationale dans « environ deux semaines ».
Le ministère de la défense américain a demandé, en septembre, aux journalistes accrédités de ne plus recueillir ni publier certaines informations sans autorisation explicite de sa part, au risque de perdre leur accréditation.
Le gouvernement américain a annoncé jeudi qu'il suspendait une partie de ses sanctions à l'encontre du géant russe Lukoil pour permettre aux stations-services situées en dehors de Russie de continuer à fonctionner. Les transactions impliquant ces stations-services sont autorisées "pour éviter de pénaliser" leurs clients et fournisseurs, et à condition que les recettes ne soient pas transférées en Russie, selon une publication du ministère américain des Finances. La dérogation court jusqu'au 29 avril 2026.
L’homme est poursuivi pour avoir posé des bombes artisanales devant les sièges des partis républicain et démocrate en janvier 2021. Il s’agit de la première arrestation annoncée en plus de quatre ans dans ce dossier.
La France a été choisie à ce stade par plus d'une trentaine de chercheurs qui préfèrent y poursuivre leurs travaux plutôt qu'aux Etats-Unis, où l'administration Trump a multiplié les attaques contre les scientifiques.
« Ces entreprises ont créé une crise de santé publique avec la conception et la commercialisation des aliments ultratransformés », qui « représentent plus de 70 % des produits des supermarchés » aux Etats-Unis, argumente le procureur de la ville.
« Aucune solution de compromis n’a encore été choisie, mais certaines propositions américaines peuvent être discutées », a estimé Iouri Ouchakov, le conseiller diplomatique du président russe, qui avait de son côté brandi plus tôt dans la journée la menace d’une guerre avec le reste de l’Europe.
"Aucun compromis" n'a été trouvé mardi sur l'épineuse question des territoires occupés par la Russie en Ukraine après une rencontre à Moscou entre le président Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff, qui lui présentait le plan de Washington pour mettre fin à près de quatre ans de guerre en Ukraine.
Moscou et Kiev se sont déclarés mercredi prêts à poursuivre les pourparlers sur le conflit en Ukraine, au lendemain d'une réunion entre le président russe Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff qui n'a débouché sur aucune percée.
Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi un allègement de la réglementation sur la consommation et les émissions des véhicules, arguant que cela baisserait leur prix d'achat mais des critiques anticipent une hausse des factures à la pompe et l'accélération du changement climatique. "Nous supprimons officiellement les ridiculement contraignants et horribles standards CAFE de Joe Biden qui imposaient des restrictions coûteuses, et toutes sortes de problèmes", a déclaré le président, depuis le Bureau ovale à la Maison Blanche, sans donner de détail.
Le groupe a déposé une plainte le 28 novembre auprès du Tribunal de commerce international, estimant les surtaxes douanières illégales et demandant le remboursement des sommes déjà versées au fisc américain.
La Défense allemande a récemment alerté quant au fait que sa communication avec le Pentagone avait été complètement coupée.
Alors que le Honduras a basculé à droite lors d’une élection encore indécise entre l’homme d’affaires Nasry Asfura, soutenu par Donald Trump, et le présentateur Salvador Nasralla, l’irruption du président américain dans le scrutin présidentiel d’un pays frappé par la violence des gangs et le trafic de drogue soulève une question : pourquoi s’intéresse-t-il autant à ce pays d’Amérique centrale ?
António Guterres propose de supprimer 18% des emplois au sein de l’Onu : plus de 2600 postes menacés
- Afp,
Le secrétaire général de l’Onu, Antonio Guterres, a officiellement proposé lundi de réduire le budget de base de l’Onu pour l’année prochaine de 577 millions de dollars (497 millions d’euros) et de supprimer plus de 18% des emplois au sein de l’organisation. Quelque 2681 emplois seraient supprimés, selon le site web de l’Onu.
Le retour à un usage décomplexé de la force dans les relations internationales s’accompagne de revendications qui étaient auparavant une caractéristique des régimes autoritaires ou faillis. Le président américain a aussi accordé une pléthore de grâces.
Le président russe accuse les Européens de vouloir "empêcher" les efforts américains visant à mettre fin à la guerre en Ukraine.
L’ancien président purgeait une peine de quarante-cinq ans de prison aux Etats-Unis pour trafic de drogue. Sa libération, annoncée par sa femme sur les réseaux sociaux, survient alors que deux candidats de droite sont au coude-à-coude dans le pays dans une élection présidentielle mouvementée.
Le président russe a assuré ce mardi 2 décembre être prêt à la guerre contre l’Europe, en l’accusant d’«empêcher» les efforts des Etats-Unis pour conclure une paix avec l’Ukraine, quelques minutes avant de rencontrer les émissaires américains.
Donald Trump a estimé dimanche qu'il y avait "de bonnes chances" pour un accord mettant fin au conflit entre la Russie et l'Ukraine, après des pourparlers entre Washington et Kiev, à l'issue desquels son chef de la diplomatie Marco Rubio est resté bien plus prudent. Qualifiées de "productives" par les deux délégations américaine et ukrainienne, ces négociations menées en Floride autour du plan dévoilé il y a dix jours par les Etats-Unis, mais jugé trop favorable à Moscou les Ukrainiens et les Européens, n'ont pas accouché d'annonce majeure. "Il reste encore du travail", a averti le secrétaire d'Etat Marco Rubio, après cette rencontre. Une source proche de la délégation ukrainienne a confié à l'AFP que ces discussions n'étaient "pas faciles".
En Ouganda, le nombre de nouveaux-nés infectés par le virus de l'immunodéficience humaine est en hausse.
Le président des Etats-Unis ne duplique pas seulement en Amérique latine la virulence et les menaces dont il use à profusion à l’intérieur des frontières de son pays envers ses adversaires politiques. Il y multiplie également les incohérences, qui rendent difficilement lisibles ses orientations politiques.
Dans ce pays d’Afrique, l’un des plus pauvres au monde, la suppression de l’aide américaine et la réduction globale des financements internationaux ont eu un impact immédiat sur la lutte contre le VIH et sur l’aide aux malades les plus vulnérables.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky et son homologue français Emmanuel Macron, réunis lundi à Paris, ont eu un échange avec l'émissaire américain de Donald Trump, Steve Witkoff, et le négociateur ukrainien Roustem Oumerov, qui étaient de leur côté en pleines discussions en Floride.
Un plan de paix entre la Russie et l'Ukraine ne peut être finalisé qu'avec Kiev et les Européens "autour de la table", a déclaré lundi Emmanuel Macron, lors d'une conférence de presse avec son homologue Volodymyr Zelensky à Paris.
Des drones navals ont frappé un terminal pétrolier dans le port russe de Novorossiïsk, samedi. Kiev n’a pas commenté l’attaque, qui survient alors que les négociations se poursuivent avec l’administration Trump sur un éventuel accord de paix jugé pour l’instant trop favorable à Moscou.
Le Congrès américain enquête sur des révélations accusant le ministre de la Défense Pete Hegseth d'avoir ordonné l'exécution d'occupants d'un bateau suspecté de trafic de drogue.
Sous la double contrainte des revers militaires et des remous politiques à Kiev, une délégation ukrainienne s’apprête à reprendre dimanche en Floride les discussions autour du plan américain destiné à esquisser une sortie de guerre avec la Russie. Alors que Moscou avance à l’est et multiplie les frappes nocturnes, Kiev tente de rester maître du tempo diplomatique, malgré la démission forcée d’Andriy Yermak et la crainte de concessions douloureuses.
Les négociations entre la délégation ukrainienne et de hauts responsables des Etats-Unis ont débuté dimanche en Floride, pour discuter du plan américain visant à trouver une issue à la guerre avec la Russie, Kiev étant sous fortes pressions militaire et politique. Les négociateurs ukrainiens dirigés par Roustem Oumerov et le secrétaire d'Etat américain Marco Rubio accompagné par l'envoyé spécial de Donald Trump, Steve Witkoff ainsi que le gendre du président américain, Jared Kushner, ont débuté la réunion aux environs de 10H10 locales (15H10 GMT). "Il ne s'agit pas simplement de mettre fin à la guerre (...). Il s'agit d'ouvrir une voie pour permettre à l'Ukraine de rester souveraine, indépendante et prospère", a déclaré le chef de la diplomatie américaine au début de la réunion.
Les discussions entre négociateurs ukrainiens et hauts responsables américains ne sont "pas faciles", a déclaré une source proche de la délégation ukrainienne à l'AFP, après le début de la réunion dimanche en Floride visant à parler du plan américain pour mettre fin à la guerre avec la Russie. "Le processus n'est pas facile, car la recherche de formulation et de solutions se poursuit", a déclaré cette source, précisant toutefois que la discussion était "constructive" et que "tout le monde souhait(ait) un résultat concret afin d'avoir un sujet de négociations ultérieures entre les Etats-Unis et la Russie". Une autre source haut placée, informée sur les négociations en cours, a déclaré à l'AFP que les Américains, lors de ces discussions, voulaient que "les points finaux (du plan) soient convenus et qu'ils puissent aller à Moscou".
Caracas a dénoncé dimanche "l'agression en préparation" face au déploiement militaire des Etats-Unis qui accentuent leur pression sur le Venezuela du président Nicolas Maduro et organisé une réception à l'Assemblée pour des proches des victimes des frappes américaines en mer des Caraïbes. Washington qui dit lutter contre les cartels de la drogue, a déployé des forces armées depuis septembre en mer des Caraïbes, notamment un porte-avions, le plus grand du monde. Bête noire des Etats-Unis depuis un quart de siècle, le Venezuela est accusé par le président américain Donald Trump d'être derrière le trafic de produits stupéfiants qui inondent les Etats-Unis. Caracas dément et rétorque que l'objectif véritable de Washington est un changement de régime et la mainmise sur le pétrole vénézuélien.
Le président américain a appelé à voter pour l’homme d’affaires de droite Nasry Asfura, puis annoncé qu’il gracierait l’ancien président hondurien Juan Orlando Hernández, condamné à 45 ans de prison pour trafic de drogue aux Etats-Unis.
Les propos du président américain surviennent alors que Washington intensifie la pression sur le Venezuela, avec un déploiement militaire majeur dans les Caraïbes. Il a également envisagé des frappes terrestres sur le territoire vénézuélien, dans un objectif officiel de lutte contre les cartels de la drogue.
En s’immisçant dans la campagne, le président américain lie l’avenir du pays à la lutte contre les « narcocommunistes » et agite la menace d’une intervention militaire régionale.
Cette coopération entre les deux alliés survient alors que le président américain menace de frappes sur le territoire vénézuélien.
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