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Cessez-le-feu

2025

Deux mois après l’entrée en vigueur de la trêve, la première phase du plan touche à sa fin. Les médiateurs appellent ce samedi 2 décembre à enchaîner sur une deuxième phase qui prévoit notamment le déploiement à Gaza d’une force internationale.
Le texte élaboré par la Maison Blanche sans consultation de Kyiv ou de l’Union européenne prévoit de nombreuses concessions à Moscou. Revue de détails des différents points.
Les bombardements ont fait 14 morts dans la ville de Gaza et 13 dans la région de Khan Younès, lors de l’une des journées les plus meurtrières depuis l’entrée en vigueur de la trêve, le 10 octobre. L’armée israélienne dit avoir riposté à des tirs.
La proposition de résolution américaine visant à garantir la permanence du cessez-le-feu dans l’enclave palestinienne a recueilli, lundi 17 novembre, une majorité de votes au Conseil de sécurité de l’ONU, et provoqué la fureur d’Israël.
Sous la pression américaine, les Nations unies ont validé lundi 17 novembre au soir le plan de paix de Donald Trump pour l’enclave palestinienne. Dans cette version du texte, l’éventualité d’un Etat palestinien est mentionnée.
Israël affirme que le plan de Trump sur Gaza apportera "paix et prospérité" après le vote à l’ONU. Le Hamas a de son côté déploré l’adoption d’une résolution qui "ne répond pas aux exigences et aux droits politiques et humains" du peuple palestinien.
Cent cinquante-trois habitants de l’enclave côtière ont atterri jeudi à Johannesburg au terme d’un périple coordonnée par une obscure agence humanitaire sur laquelle plane l’ombre du gouvernement israélien.
Le Hamas ne détient plus que trois dépouilles d’otages, laissant entrevoir la fin de la première phase de l’accord proposé par les Etats-Unis. Mais de nombreuses difficultés freinent la suite du processus, notamment le désarmement du mouvement islamiste, la mise en place d’une force internationale de stabilisation et les conditions du retrait des troupes israéliennes.
Le sort de près de 200 combattants du Hamas, retranchés dans des tunnels à Rafah, dans une zone contrôlée par l’armée israélienne, menace de faire voler en éclats le cessez-le-feu à Gaza. Alors que le mouvement islamiste palestinien rejette toute idée de reddition, Washington craint que leur élimination sur ordre d’un Benjamin Netanyahu sous pression empêche toute avancée du plan Trump.
Un cessez-le-feu est nécessaire de "toute urgence" en Ukraine après près de quatre années de guerre, a estimé le G7 mercredi à la fin d'une réunion au Canada des ministres des Affaires étrangères, au moment où les négociations sont au point mort.
Au moins 91 personnes sont mortes dans les frappes menées mardi soir par l’Etat hébreu, en réponse à une « attaque » contre des soldats israéliens à Rafah. Le Hamas nie toute responsabilité dans cet échange de tirs et dénonce une violation de l’accord de paix.
L'armée israélienne dit avoir frappé 30 chefs de mouvements armés à Gaza.
Le Premier ministre israélien a assuré que ces bombardements étaient une riposte à des attaques du Hamas à Rafah, ce mardi 28 octobre. En réponse, le mouvement islamiste a annoncé repousser la remise d’une dépouille d’otage prévue dans la soirée.
La Belgique a rapatrié lundi 75 personnes depuis Gaza. C'est ce qu'a annoncé lundi la VRT, une information confirmée à Belga par le SPF Affaires étrangères.
Pour acheminer et distribuer l’aide dans l’enclave, Washington dit vouloir s’appuyer en partie sur des groupes d’« assistance humanitaire », dont une organisation évangélique américaine, et des agences de l’ONU, mais en écartant l’UNRWA.
Après près de trois mois de blocage des opérations, une vingtaine d’étudiants boursiers ont été évacués de l’enclave palestinienne ce dimanche 26 octobre dans la matinée. Depuis le début du conflit, environ 500 personnes ont pu être exfiltrées vers le territoire français.
L’armée israélienne a commencé à marquer la "ligne jaune" derrière laquelle elle doit se retirer, conformément au plan de paix signé avec le Hamas. Une ONG juridique israélienne dénonce une "frontière floue" entraînant une "exposition accrue aux tirs" et bloquant l'accès d’une partie de la population aux habitations, terres agricoles et infrastructures civiles.
L'armée américaine a déployé des drones au-dessus de la bande de Gaza afin de surveiller le respect du cessez-le-feu entre Israël et le mouvement islamiste palestinien Hamas, rapporte samedi le New York Times, citant des sources militaires américaines et israéliennes.
Dans une longue interview accordée au magazine américain «Time», le Président raconte comment il a orchestré la fin des combats dans l’enclave, entre intimidations, négociations et mises en garde musclées.
L'armée israélienne a mené une frappe ciblée contre le Jihad islamique dans le centre de Gaza, affirmant viser un militant préparant une attaque imminente.
Le cessez-le-feu conclu le 10 octobre entre le Hamas et Israël a mis fin à la guerre ouverte, mais pas à la violence à Gaza. Au moins sept factions armées et clans se battent désormais contre le Hamas. Des images témoignent déjà d’affrontements impliquant ces groupes, dont plusieurs sont soupçonnés d'avoir des liens avec Tel-Aviv.
Des mouvements palestiniens réunis au Caire, dont le Hamas, se sont mis d'accord vendredi, dans un communiqué commun, pour remettre provisoirement la bande de Gaza à un comité indépendant de technocrates à la suite de l'accord de cessez-le-feu en vigueur depuis le 10 octobre et parrainé par Donald Trump.
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a averti mercredi que les initiatives d'annexion israéliennes en Cisjordanie occupée pourraient compromettre le cessez-le-feu dans la bande de Gaza. Attendu en Israël jeudi, il doit rencontrer Benjamin Netanyahu vendredi, selon le gouvernement israélien.
Le président américain Donald Trump a averti qu'Israël risquerait de perdre le soutien de Washington si le pays procédait à l'annexion de la Cisjordanie. Ses propos ont été tenus dans une interview accordée au magazine Time, diffusée jeudi.
Les frappes israéliennes ont repris, dimanche 19 octobre, dans la bande de Gaza. Israël et le Hamas s'accusant mutuellement de violer le cessez-le-feu. La Défense civile de la bande de Gaza fait état d'au moins 45 morts. Dans la soirée, Israël a annoncé l'arrêt de ses frappes aériennes.
Tenus à l’écart de la négociation, les Européens cherchent à revenir dans les discussions sur l’avenir de l’enclave palestinienne. En revanche, tant que la situation à Gaza n’est pas stabilisée, les Vingt-Sept souhaitent maintenir la menace de sanctions contre Israël.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a ordonné dimanche à l'armée d'agir "avec force" contre les cibles "terroristes" dans la bande de Gaza, accusant le Hamas de violation du cessez-le-feu en vigueur depuis le 10 octobre.
L’armée israélienne a confirmé ce dimanche avoir mené des frappes aériennes dans le sud de la bande de Gaza, en riposte à des attaques du Hamas contre ses positions dans la zone de Rafah, ce qu’a démenti le mouvement islamiste palestinien.
Icône des réseaux palestiniens et cible de campagnes israéliennes, Saleh al-Jafarawi a été tué dimanche à Gaza dans des affrontements entre le Hamas et un clan armé.Le journaliste palestinien Saleh al-Jafarawi, star des réseaux sociaux, a été tué dimanche 12 octobre à Gaza, trois jours après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu conclu entre Israël et le Hamas.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé lundi que le cessez-le-feu obtenu à Gaza par l'intermédiaire de Donald Trump donnait "davantage d'espoir pour la paix" en Ukraine, où le dirigeant américain ambitionne aussi de jouer un rôle de médiateur avec Moscou.
Donald Trump a déclaré dimanche, à bord d'Air Force One, en partance pour Israël et l'Égypte où il est attendu lundi au "Sommet pour la paix", que la guerre à Gaza était "terminée".
L'ONU dit être prête à lancer, dès l'entrée en vigueur d'un cessez-le-feu à Gaza, un plan sur 60 jours pour aider la population du territoire ravagé, plan pour lequel elle a déjà prépositionné 170.000 tonnes d'aide humanitaire.
La majorité des membres du Conseil de sécurité de l'ONU ont exprimé jeudi leur frustration et leur colère après un nouveau rejet américain d'une résolution appelant à un cessez-le-feu et à un accès humanitaire à la bande de Gaza.
Les Etats-Unis ont une nouvelle fois bloqué jeudi l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU d'un texte réclamant un cessez-le-feu et l'accès humanitaire à Gaza, provoquant la colère d'Etats membres qui ne veulent pas renoncer à peser sur ce dossier malgré les vétos américains répétés.
Les alliés de Kiev se sont réunis jeudi à Paris pour un sommet sur l'Ukraine, en présence du président Volodymyr Zelensky. Vingt-six pays, essentiellement européens, se sont "engagés" à participer à une "force de réassurance" dans le cadre d'un futur cessez-le-feu russo-ukrainien, a annoncé Emmanuel Macron, précisant que le soutien américain serait "finalisé dans les prochains jours".
Le Premier ministre canadien, Mark Carney, a appelé dimanche a un cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine, alors le président américain Donald Trump a dit mi-août préférer un accord de paix direct entre les belligérants pour mettre fin à la guerre.
La délégation du mouvement islamiste palestinien Hamas a accepté, lundi, la nouvelle proposition de cessez-le-feu dans la bande de Gaza présentée par l'Égypte et le Qatar. Elle prévoit une trêve initiale de 60 jours et la libération en deux étapes des otages.
Au lendemain de sa rencontre en Alaska avec son homologue russe Vladimir Poutine, le président américain Donald Trump a abandonné samedi toute exigence d'un cessez-le-feu préalable en Ukraine, prônant désormais un "accord de paix" pour mettre fin au conflit. Le locataire de la Maison Blanche doit recevoir le président ukrainien lundi à Washington, et une réunion avec les pays de la "coalition des volontaires" alliés de Kiev doit avoir lieu dimanche.
A la veille de sa réunion avec Donald Trump, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dénoncé le refus de la Russie d'appliquer un cessez-le-feu, qui selon lui "complique la situation" pour aboutir un accord de paix global. Une déclaration qui intervient alors que plusieurs sources font état du soutien du président américain à un plan russe qui imposerait le retrait des forces ukrainiennes de la région du Donbass.
A deux jours de sa rencontre avec son homologue russe en Alaska, le président américain a affirmé qu’il ne négociera pas de territoires sans les Ukrainiens et pourrait même offrir des gages de sécurité.




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