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palestiniens
2025
Le porte-parole du Fatah à Gaza a appelé samedi le Hamas à quitter le pouvoir, afin de préserver la "présence des Palestiniens" sur ce territoire à l'heure où Israël intensifie ses opérations militaires et ses menaces de déplacer la population et d'annexer des pans de la bande de Gaza.
Les représentants du Soudan, interrogés par Associated Press, ont déclaré qu’ils avaient rejeté l’offre de Washington, tandis que ceux de la Somalie et du Somaliland ont déclaré qu’ils n’étaient au courant d’aucun contact.
Selon l’agence Associated Press, les administrations américaines et israéliennes ont pris contact avec le Soudan, la Somalie et le Somaliland. L’objectif serait d’y installer les 2 millions d’habitants de Gaza délogés à cause de la guerre dans le cadre du plan de Trump.
Il s’agissait, selon le groupe Action Palestine, qui a revendiqué l’action, d’une réponse face à «la manière dont Donald Trump traite Gaza, comme s’il s’agissait de sa propriété dont il peut disposer à sa guise».
Le sommet arabe a appelé mardi à unifier les rangs palestiniens sous la direction de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), ce qui aurait pour effet de mettre à l'écart le mouvement islamiste Hamas qui n'en fait pas partie.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a reporté sine die sa visite, prévue le 18 février, à Washington, où il devait discuter avec Donald Trump de l’avenir de Gaza et du plan concernant le “trumpsfert” de 2 millions de Palestiniens. Au risque de perdre le soutien financier et politique américain, explique le site d’information “Daraj”.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.
Dans un extrait d’une interview qui doit être diffusée sur Fox News lundi 10 février au soir, le président américain a déclaré vouloir attribuer aux Gazaouis un “endroit permanent” autre que la bande de Gaza, ravagée par la guerre entre Israël et le Hamas.
La fin annoncée jeudi 30 janvier des activités de l’agence officielle représente un traumatisme pour les millions de personnes qui en bénéficient, à travers écoles, soins et services essentiels, depuis des années.
Le président américain Donald Trump a proposé de déplacer les habitants de la bande de Gaza vers l'Egypte et la Jordanie dans le cadre d'un plan de paix consistant à "faire le ménage" dans le territoire palestinien, où la trêve entre Israël et le Hamas est entrée dimanche dans sa deuxième semaines.
2024
Les ONG Human Rights Watch et Médecins sans frontières ont affirmé jeudi que les actions d'Israël dans la bande de Gaza constituent des "actes génocidaires" à l'encontre du peuple palestinien. Des accusations rejetées par l'État hébreu, qui dénonce une "propagande anti-israélienne".
Plus d’une année s’est écoulée. Une année de morts, de blessés, de déplacés — de désespoir. A Gaza, parmi les dizaines de milliers de victimes, les journalistes meurent toujours sous les tirs ou les frappes israéliennes. Et les journalistes internationaux sont toujours tenus à l’écart sur décision israélienne.
L'Assemblée générale de l'ONU a réclamé mercredi la fin de l'occupation israélienne des territoires palestiniens dans les "12 mois" et appelé à des sanctions contre Israël, en colère contre cette résolution non contraignante, la qualifiant de "cynique".
Cette résolution non contraignante, adoptée mercredi, a provoqué la colère d’Israël, la qualifiant de « cynique ».
Les autorités du Hamas parlent d’une centaine de morts après une attaque samedi matin contre une école. Israël affirme qu’elle abritait un centre de commandement du mouvement armé palestinien.
« Les témoignages recueillis font état d’une série d’actes épouvantables tels que la simulation de noyade et le lâcher de chiens sur des détenus », selon le haut-commissaire aux droits de l’homme des Nations unies, Volker Türk.
L’avis rendu par l’organe judiciaire de l’ONU n’est pas contraignant, mais pourrait accroître la pression juridique croissante sur l’Etat hébreu concernant la guerre dans la bande de Gaza.
L’ONG publie ce mercredi un rapport dans lequel elle relate de nombreux crimes, notamment «contre l’humanité», perpétrés contre des civils lors de l’attaque terroriste en Israël. Des faits imprescriptibles au regard du droit international.