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2025

La Terre passera officiellement au-dessus du seuil de réchauffement de 1,5 °C d’ici la prochaine décennie, selon le dernier rapport du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE). Pour rester en-dessous de cette limite, il faudrait en effet réduire les émissions annuelles de gaz à effet de serre de 55 % d’ici 2035 par rapport à 2019 – un objectif non réaliste compte tenu du temps qui reste et des mesures insuffisantes prises jusqu’à présent par les pays.
Invisible à l’œil nu mais indispensable à la vie sur Terre, Prochlorococcus règne silencieusement sur nos océans depuis des millions d’années. Cette cyanobactérie marine, plus petite qu’un virus mais plus puissante qu’une centrale électrique biologique, vient pourtant de révéler sa talon d’Achille dans une étude qui bouleverse nos certitudes sur l’avenir des écosystèmes marins. La découverte est troublante : l’organisme qui produit un tiers de l’oxygène que nous respirons pourrait être beaucoup plus fragile face au réchauffement climatique qu’on ne l’imaginait.
En 2015, l’Accord de Paris sur le climat semblait signer une nouvelle ère, celle du consensus international face à la gravité du dérèglement climatique, celle du passage à l’action. Pourtant, on assiste depuis au démantèlement des politiques environnementales. Les programmes politiques et les discours ouvertement anti-écologiques prolifèrent. Malgré le désastre écologique, toute tentative de mise en œuvre d’une transition à la hauteur des enjeux suscite une puissante réaction, un greenbacklash planétaire.
Cet été, 24 ministres européens se sont soumis à un test sanguin pour les PFAS afin de sensibiliser à la contamination du Vieux continent par ces "polluants éternels", alors que la proposition pour les interdire sur le sol européen est en cours d’examen. Les résultats montrent que la moitié des politiciens testés présentent des niveaux au-dessus de seuils sanitaires.
Pourquoi l’histoire de l’énergie est-elle intimement liée à celle des inégalités sociales ? Comment penser les débats sur la transition énergétique à l’aune des conflits de répartition des richesses ? Depuis des millénaires, l’usage de l’énergie façonne les sociétés humaines, structurant leurs hiérarchies et leurs rapports de pouvoir. Sa maîtrise est un vecteur d’émancipation autant qu’elle est un outil de domination. La propriété des ressources et des infrastructures énergétiques est un terrain de luttes sociales, politiques et géostratégiques. Selon qui possède l’énergie, des choix de société radicalement différents peuvent advenir. Mais comment le lien entre énergie et inégalités s’est-il construit depuis la Préhistoire ?
En ce début de XXIe siècle, l’alliance chaotique de Donald Trump et d’Elon Musk a fait surgir une créature technopolitique à deux têtes. L’une orchestre le show, l’autre code le système. Quelque chose d’insaisissable est pourtant à l’œuvre. Gourous de la Silicon Valley et idéologues néo-réactionnaires orchestrent un fascisme-simulacre annonciateur d’un bouleversement plus profond. Un nouveau régime, hybride, où l’État s’efface… pour mieux tout contrôler.
A quoi ressemblerait notre vie quotidienne, en 2049, sur une Terre qui franchirait les principaux points de basculement ? Fort de savoirs sans cesse actualisés, Nathanaël Wallenhorst anticipe d’une façon très concrète ce que pourrait être 2049 côtés écosystème, climat et société. Aurons-nous toujours des saisons en 2049 ? De quoi sera faite notre alimentation ? Quels seront nos loisirs ? Climat, eau, santé et migrations, l’auteur raconte notre quotidien dans ce futur proche si rien ne change.
Des dépassements des seuils de recommandation sont possibles ce jeudi 14 août, aggravés par les fortes chaleurs. Avec de nombreuses conséquences sanitaires et environnementales.
En travaillant sur le site de traitement des matériaux nucléaires de Savannah River, aux États-Unis, des ouvriers sont tombés par hasard sur un nid de guêpes contaminé par la radioactivité. Le nid a été retrouvé près des réservoirs de stockage de déchets nucléaires liquides et présentait des taux de radiation dix fois supérieurs aux niveaux de contamination autorisés par la réglementation fédérale.
Toute la glace accumulée par les glaciers en Suisse au cours de l'hiver a déjà fondu, alerte vendredi le service de surveillance Glamos. Par conséquent, toute nouvelle fonte d'ici au mois d'octobre entraînera une diminution de la taille des glaciers suisses.
Depuis plusieurs années, les scientifiques alertent sur les conséquences du changement climatique, et l’objectif international majeur a toujours été clair : limiter le réchauffement planétaire à 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Pourtant, les dernières données publiées par un consortium international réunissant soixante chercheurs, parmi lesquels des experts français de Météo-France, du CNRS, du CEA et de Mercator Ocean International, viennent de jeter un sérieux froid. Selon leur étude récente, le budget carbone restant, c’est-à-dire la quantité maximale de gaz à effet de serre que l’humanité peut encore émettre pour rester sous ce seuil, sera épuisé dans seulement trois ans si les émissions continuent au rythme actuel.
Un réchauffement climatique d’au moins +1,5°C est désormais inéluctable, concluent des scientifiques dans un rapport publié ce jeudi, qui vise à dresser un état des lieux de la santé de la planète.
Il y a 70% de probabilité que le réchauffement moyen au cours des années 2025-2029 dépasse le seuil crucial de +1,5°C, estiment l'Organisation météorologique mondiale (OMM) et le Met office britannique dans un nouveau rapport publié mercredi.
La planète a déjà connu, en 2024, une année au-dessus de 1,5 degré de réchauffement. Mais ce seuil fixé par l'accord de Paris va-t-il pour autant être franchi durablement? C'est probable car les températures récentes s'inscrivent dans une tendance de long terme, selon deux études publiées lundi.
Plusieurs cours d’eau wallons ont franchi, vendredi soir, le seuil de pré-alerte à la suite des fortes pluies qui sont tombées sur le sud du pays, avertit vendredi la cellule d’expertise pluies du Service Public de Wallonie (SPW).
Le principal moteur de la surchauffe réside dans l’accumulation des gaz à effet de serre dans l’atmosphère, essentiellement en raison de la combustion de charbon, de pétrole et de gaz. Elle a entraîné une multiplication des canicules, inondations, sécheresses et incendies.
2024 est officiellement l’année la plus chaude jamais enregistrée, selon Copernicus. Les températures ont franchi le seuil symbolique de 1,5 °C, la limite la plus ambitieuse de l’Accord de Paris.
L’observatoire européen pour le climat Copernicus a présenté, vendredi 10 janvier, ses résultats concernant 2024. Le planisphère des anomalies de température montre que notre planète se réchauffe de façon hétérogène.
Les deux dernières années ont dépassé en moyenne la limite de 1,5°C de réchauffement fixée par l'accord de Paris, signe d'une hausse des températures continue et inédite dans l'histoire moderne, a annoncé le 10 janvier 2025 l'observatoire européen Copernicus.
2024 restera dans les annales comme la première année à avoir franchi la barre symbolique des 1,5°C, contenue dans l'Accord de Paris.

2024

Le président libertarien se vante d’avoir réduit l’inflation et retrouvé l’équilibre financier du pays. Au prix pourtant d’une explosion de la précarité et du sacrifice des services publics, retrace la sociologue Maricel Rodriguez Blanco.
2024 sera la première année où le réchauffement de la Terre dépassera les 1,5 °C. Le franchissement durable de ce seuil décuplerait les dégâts du changement climatique et le risque de franchir d'irréversibles points de bascule.
Avec un mois de novembre très chaud, l’année 2024 va battre avec certitude le record de 2023. Pour la première fois, la moyenne des températures mesurées entre janvier et décembre franchira temporairement l’objectif de l’Accord de Paris.
Encore plus chaude que le record de 2023: il est maintenant certain que 2024 sera la première année au-delà de la barre de 1,5°C de réchauffement par rapport à la période préindustrielle, limite à long terme fixée par l'accord de Paris.
En 2023, la température moyenne de la Terre a franchi un seuil critique. Une part importante de ce réchauffement demeurait inexplicable.
Lassé·es d’alerter en vain sur la catastrophe écologique et sociale en cours, les scientifiques passent à l’action : marches, conférences sauvages, désobéissance civile non violente… jusqu’à finir en prison parfois. Face à la gravité de la situation, la « neutralité » scientifique vole en éclats. Il est de la responsabilité des chercheuses et des chercheurs de s’engager pour que le fruit de leurs travaux contribue à changer les politiques et les imaginaires.
Cette année est en passe de devenir la plus chaude jamais enregistrée et également la première à franchir le seuil de 1,5 °C au-dessus de la moyenne préindustrielle, selon un rapport.
Il nous arrive d’entendre cette formule : nos politiques ne sont pas à la hauteur. C’est évident dans le cas de l’écologie, puisque rien ou si peu n’est fait par le gouvernement pour enrayer la machine infernale. Mais sa responsabilité, tout comme celle des multinationales et du fameux 1 %, n’est (presque) plus à prouver. Clément Sénéchal s’attelle ici à comprendre les autres causes, plus discrètes, qui conduisent l’écologie politique à l’échec : celles qui s’enracinent dans son propre camp. Structurellement, l’écologie, fruit de l’environnementalisme, s’est constituée comme une cause des élites.
En dix-sept ans, les riches n’ont rien appris, rien compris, rien changé. Ils se gavent. Les milliardaires ont multiplié leur fortune, la catastrophe écologique s’amplifie, la crise sociale est mondiale. Le lien entre ces phénomènes ? Les inégalités. On n’évitera pas le désastre climatique si l’on ne ramène pas les ultra-riches à la raison. C’est ce qu’explique ce livre détonnant, où une analyse implacable se combine à un dessin complice et surprenant.
Moins ! , Kohei Saito, Jean-Christophe Helary : Il fait de plus en plus chaud, on n’arrête pas de travailler, tout est transformé en marchandise. En quête de survie et de liberté, un jeune philosophe japonais, né en 1987, lit les carnets d’un vieux philosophe allemand, mort en 1883. Il y découvre une pensée qui aurait tout pour sauver le monde entier et la partage dans le livre que vous tenez entre vos mains. Rien de plus, tout au moins. S’appuyant sur les carnets tardifs inédits de Marx et voyant dans le pacte vert le nouvel opium des masses, Kohei Saito déconstruit le désastre social et écologique du capitalisme, dénonce le mode de vie des pays développés, et prône une société fondée sur les communs. Radical et urgent, cet essai fixe un objectif politique et civilisation...
Les 12 derniers mois ont tous enregistré des records de température, dépassant à chaque fois la limite de 1,5 °C au-dessus de la moyenne préindustrielle.
Le seuil d’alerte de deux cours d’eau a été dépassé dans les villes de Grammont et Zwalm, en Flandre orientale. Plusieurs autres endroits des Ardennes flamandes ont également été touchés par les inondations, indiquent l’Agence flamande de l’Environnement et les services de secours.
Peur de l’avenir, peur de l’échec ou du conflit, stress, éco-anxiété, angoisse existentielle… la peur plane sur nos vies. Sous prétexte qu’elle peut faire paniquer ou tétaniser, nous en sommes arrivés à la mépriser, à l’ignorer, à la fuir, et même à la combattre. Erreur stratégique  ! Car la peur nous constitue et nous fait grandir. Elle est pure énergie. Elle protège, stimule et mobilise. Elle nous sauve la vie. À une condition : en faire une alliée. Pablo Servigne et Nathan Obadia invitent à revisiter notre rapport à la peur. Ils proposent une boussole et une carte pour naviguer dans ce territoire méconnu et choisissent la métaphore du Suricate – ce petit animal du désert posté en sentinelle à l’affût de la moindre menace –, pour désigner notre système interne de détection des dangers.
Cette nouvelle réglementation doit permettre de réduire l'exposition aux PFAS d'environ 100 millions de personnes.
Le sud-est de la France est touché samedi par un épisode de pollution aux particules fines en raison du passage d'un nuage de sable du Sahara, ont annoncé les préfectures de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca) et de l'Hérault.
Suite à la publication de l’étude de Nature&Progrès et Pan Europe, voici la réaction de la Cellule environnement de la Société scientifique de médecine générale.
La température mondiale a été de 1,52 °C supérieure à la période 1850-1900 entre février 2023 et janvier 2024, pour la première fois. La hausse des températures doit cependant être mesurée sur une période plus longue pour être pertinente.
Le mois de janvier 2024 a été le plus chaud jamais enregistré, avec une température moyenne mondiale 1,7 °C au-dessus des niveaux préindustriels.
Les climatologues ont récemment confirmé que 2023 a été officiellement l’année la plus chaude jamais enregistrée. Cela signifie que cette année (2024) pourrait être la première à surpasser de manière constante le seuil de 1,5 °C au-dessus des niveaux préindustriels. 2024 devrait ainsi donner un premier aperçu des changements et événements climatiques auxquels nous devrions nous attendre dans les années à venir.
Une nouvelle ruée minière d'une ampleur inédite a commencé. Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, il faudrait produire en vingt ans autant de métaux qu’on en a extrait au cours de toute l’histoire de l’humanité. Ruée sur le cuivre en Andalousie, extraction de cobalt au Maroc, guerre des ressources en Ukraine, cette enquête sur des sites miniers du monde entier révèle l’impasse et l'hypocrisie de cette « transition » extractiviste.




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