Documentation
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
objectif
2025
Le palmarès annuel des ambitions climatiques des grands groupes français établi par l’ONG Les Ateliers du futur montre des progrès chez certains industriels, mais pointe aussi du doigt des lacunes dans le secteur financier.
La croissance des énergies renouvelables est en train de ralentir en raison principalement de changements politiques aux Etats-Unis et en Chine, ce qui met hors de portée l'objectif de tripler les capacités mondiales d'ici 2030 fixé lors de la COP28, selon l'Agence internationale de l'énergie (AIE). L'AIE estimait encore l'an dernier possible d'atteindre cet objectif, prévu par l'accord final de la COP28 de Dubaï en 2023.
L’écrasante majorité des multinationales cotées n’ont toujours pas aligné leurs plans d’investissement sur leurs objectifs de décarbonation, selon la London School of Economics. Les plans de transition des grandes entreprises manquent de crédibilité, et risquent de faire exploser le budget carbone mondial.
Le ministre de la Santé américain, Robert Kennedy Jr, a indiqué jeudi que les Etats-Unis s'opposeraient à une déclaration de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) sur les maladies chroniques, estimant notamment qu'elle défendait l'avortement et une "idéologie de genre radicale".
Le pays, fortement émetteur de carbone, prévoit de réduire ses rejets de gaz à effet de serre de 7 % à 10 % d’ici à 2035. Un objectif incompatible avec l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C.
Les pays producteurs d'énergies fossiles du monde entier prévoient d'augmenter toujours plus leurs extractions ces prochaines années, à des niveaux radicalement incompatibles avec les objectifs climatiques internationaux, soit une limitation du réchauffement mondial entre 1,5°C et 2°C, selon un rapport publié lundi par plusieurs instituts de référence.
Les pays producteurs d'énergies fossiles du monde entier prévoient d'augmenter toujours plus leurs extractions ces prochaines années, à des niveaux radicalement incompatibles avec les objectifs climatiques internationaux, selon un rapport publié lundi par plusieurs instituts de référence. "Les gouvernements, au total, prévoient de produire beaucoup plus d'énergies fossiles que ce qui serait cohérent avec une limitation du réchauffement mondial entre 1,5°C et 2°C", a souligné devant des journalistes Derik Broekhoff, de l'Institut de l'environnement de Stockholm (SEI), coauteur de cette étude. "Les pays prévoient désormais une production de ces énergies encore plus élevée comparé à il y a deux ans", lors de sa dernière édition, souligne-t-il, pointant du doigt la "déconnexion entre les ambitions climatiques et ce que les pays prévoient réellement de faire".
Canberra se fixe une cible comprise entre 62 % et 70 % de baisse d’ici à 2035 par rapport aux niveaux de 2005. Le pays est candidat à l’organisation de la COP31 en 2026.
L'Australie a dévoilé jeudi un nouvel objectif de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre de 62 à 70% d'ici 2035 par rapport à 2005, un objectif qui n'est toutefois pas jugé assez ambitieux par les défenseurs de l'environnement.
Les Vingt-Sept, qui doivent rapidement s’entendre à l’unanimité sur une cible de réduction de leurs émissions d’ici à 2035, sont très divisés. Ils ont par ailleurs repoussé l’adoption d’engagements ambitieux pour 2040.
Une étude destinée au gouvernement établit une série de risques sanitaires, économiques et environnementaux inédits alors que le pays doit dévoiler, dans la semaine, ses prochains objectifs de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
La Commission espérait arracher jeudi 18 septembre un accord sur la baisse des émissions de gaz à effet de serre de 90 % d’ici quinze ans. Mais la France et l’Allemagne s’opposent à ce calendrier. Un signal fâcheux à l’aube de la COP30 au Brésil et des dix ans de l’accord de Paris.
Moscou atteindra ses objectifs en Ukraine par la voie militaire si les négociations avec Kiev échouent, a averti mercredi le président russe Vladimir Poutine, assurant que ses troupes demeuraient "à l'offensive" sur l'ensemble du front. "Voyons comment se développera la situation. Sinon (si les pourparlers n'aboutissent pas, NDLR), nous devrons résoudre nos problèmes militairement", a-t-il déclaré depuis Pékin. "Tous les groupements des forces armées russes sont à l'offensive" dans tous les secteurs du front, a-t-il ajouté.
Dans une vidéo tournée fin août, l'armée russe laisse entrevoir une carte affichant ses futurs objectifs de conquête en Ukraine. Simple oubli, ou propagande volontaire ?
Ce cap avait été fixé en 2014 après l’annexion de la Crimée par la Russie. Face à la menace croissante de Moscou, les pays de l’Alliance atlantique se sont engagés à un effort financier supplémentaire avec des dépenses s’élevant à 5 % de leurs PIB à l’horizon 2035.
This article examines the technocentric bias that characterizes climate mitigation literature, focusing on the reports of the IPCC's Working Group III. This bias stems from structural features of the scientific field that prioritizes innovation, leading to the overrepresentation of technological solutions in climate research. Funding mechanisms further reinforce this tendency by incentivizing collaboration with industrial R&D, creating a self-reinforcing loop in which scientific authority and industrial interests converge. The IPCC's institutional positioning—as a policy-relevant yet politically cautious body—amplifies this dynamic by favoring allegedly “cost-effective” technological pathways that lack practical feasibility.
Le colonel à la retraite et expert de la défense éclaire sur la nouvelle offensive de Netanyahu.
La transition énergétique européenne franchit une nouvelle étape décisive avec l’entrée en vigueur, ce 18 août 2025, du règlement (UE) 2023/1542 sur les batteries électriques. Ce texte ambitieux bouleverse la gestion de toute la filière, des producteurs aux recycleurs, et impose de nouvelles normes destinées à répondre aux défis environnementaux et industriels de l’ère électrique
Le chef d’Etat ukrainien, Volodymyr Zelensky, redoute que le pire scénario n’émerge du sommet entre les présidents des Etats-Unis et de la Russie, qui doit se tenir vendredi 15 août en Alaska, mais se dit prêt à résister à la «pression».
A l’image de l’industrie automobile, le secteur aérien réclame un assouplissement de leurs obligations en matière d’incorporation de carburant « durable » imposées par Bruxelles.