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2025

Le pétrole peut-il aider à en finir avec le pétrole? C'est le credo du président brésilien Lula, qui défend l'exploitation d'hydrocarbures dans son pays, y compris près de l'Amazonie, pour financer la transition énergétique.
À moins d'un mois de la COP30 à Belém, ville portuaire d'Amazonie, Lula affiche un bilan climatique encourageant. Depuis son retour au pouvoir en janvier 2023, le président brésilien a fait de la protection de l'environnement l'une de ses priorités : il a ralenti la destruction de la forêt amazonienne, relancé le Fonds Amazonie ou encore créé un ministère des Peuples indigènes.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des États-Unis de l'Accord de Paris. Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie.
La COP30 s'ouvre dans moins d'un mois au Brésil avec le défi colossal d'unir les pays du monde pour ne pas relâcher l'action contre le changement climatique malgré les vents contraires, à commencer par le retrait des Etats-Unis. Le président brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, a insisté pour organiser cette 30e conférence des Nations unies sur le climat (10-21 novembre), événement de l'année dans les négociations climatiques, à Belem, ville portuaire d'Amazonie
Dix ans après l'adoption de l'accord de Paris, la diplomatie climatique se trouve à l'heure des bilans et des questions, dans un monde qui continue de se réchauffer et reste divisé par des fractures géopolitiques et économiques. Pour la présidence brésilienne de la COP30 (10-21 novembre), organisée à Belem, un nouveau chapitre s'ouvre: celui de la mise en œuvre des promesses formalisées depuis 2015 dans le cadre de négociations onusiennes fondées sur le consensus. A Paris, 196 pays s'étaient alors engagés à maintenir le réchauffement climatique "bien en dessous" de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels et à poursuivre les efforts pour le limiter à 1,5°C.
À un mois de l'ouverture de la conférence mondiale (COP30) sur le climat au Brésil, l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) met en lumière les conséquences néfastes de la hausse mondiale des températures et de la déforestation sur plusieurs espèces d'animaux.
Issus à 99 % du pétrole, les plastiques alimentent la crise écologique et climatique tout au long de leur cycle de vie. Derrière l’image trop familière des déchets qui polluent les rivières puis les océans, la production et le recyclage des plastiques sont aussi source d’émissions considérables de gaz à effet de serre, de quoi compromettre les efforts mondiaux de réduction des émissions. Surtout, les plastiques, un débouché du pétrole, entretiennent la dépendance de l’économie aux énergies fossiles. Le risque serait qu’ils deviennent la planche de salut des industriels de la pétrochimie à l’occasion de la COP30 sur le climat, qui se déroulera du 10 au 21 novembre 2025, à Belem, au Brésil.
Un équipage composé de militantes s’apprête à traverser l’Atlantique en voilier, pour rejoindre la COP30. Parmi elles, Maïté Meeûs et Mariam Touré, dont les combats féministes et antiracistes viennent élargir le récit écologique.
À un peu moins de deux mois de l’ouverture de la COP30 à Belém, deux informations importantes : pour la première fois la Chine va s’engager sur un objectif de baisse de ses émissions ; le rapport Production Gap(1) indique que les émissions mondiales de CO2 résultant de la combustion d’énergie fossile devraient continuer d’augmenter si l’on se fie aux prévisions d’extraction des grands producteurs.
A l’issue du sommet climat organisé par l’ONU, plus de 100 pays, dont la Chine, ont publié, ou ont promis de le faire d’ici à la COP30, de nouveaux engagements de réduction de CO₂. Un tour de force dans un monde fracturé par les guerres et les conflits commerciaux.
Le pays, fortement émetteur de carbone, prévoit de réduire ses rejets de gaz à effet de serre de 7 % à 10 % d’ici à 2035. Un objectif incompatible avec l’objectif de limiter le réchauffement à 1,5 °C.
Le président chinois a annoncé en personne le nouvel engagement climatique de son pays, s’engageant à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 7 à 10% d’ici 2035.
L'Australie s'est engagée jeudi à réduire d'ici 2035 ses émissions de gaz à effet de serre de 62 à 70% par rapport aux niveaux de 2005, après un rapport établissant que le changement climatique menace les conditions de vie de plus d'un million de personnes dans le pays. "Nous écoutons les scientifiques et nous agissons dans l'intérêt de l'Australie", a déclaré le Premier ministre Anthony Albanese lors de la présentation de cet objectif. Les engagements du pays sont supérieurs à ceux du Canada et de la Nouvelle-Zélande, mais inférieurs à ceux du Royaume-Uni, qui comptent parmi les plus ambitieux au monde. L'objectif précédent de l'Australie était de réduire ses émissions de 43% pour 2030, par rapport aux niveaux de 2005.
Les ministres de l’environnement de l’UE ont adopté, jeudi, une fourchette de baisse des émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2035, comprise entre − 66,25 % et − 72,5 % par rapport à 1990. Ils ont reporté à octobre la discussion concernant la cible 2040.
Les Vingt-Sept, qui doivent rapidement s’entendre à l’unanimité sur une cible de réduction de leurs émissions d’ici à 2035, sont très divisés. Ils ont par ailleurs repoussé l’adoption d’engagements ambitieux pour 2040.
Une étude destinée au gouvernement établit une série de risques sanitaires, économiques et environnementaux inédits alors que le pays doit dévoiler, dans la semaine, ses prochains objectifs de réduction de ses émissions de gaz à effet de serre.
À deux mois de la COP30 à Bélem en Amazonie, la participation des entreprises reste floue. Dix ans après l’Accord de Paris, elles hésitent à s’exposer, entre contraintes logistiques, tensions politiques et peur du greenwashing en plein blacklash écologique.
Cette ville brésilienne qui s’apprête à accueillir la conférence mondiale sur le climat se rêve en carte postale aux portes de l’Amazonie. Mais les travaux destinés au sommet exacerbent la fracture entre les quartiers privilégiés et les favélas. De haute lutte, les plus pauvres ont arraché des promesses d’accès à l’eau. Vert s’est rendu sur place.
La Commission espérait arracher jeudi 18 septembre un accord sur la baisse des émissions de gaz à effet de serre de 90 % d’ici quinze ans. Mais la France et l’Allemagne s’opposent à ce calendrier. Un signal fâcheux à l’aube de la COP30 au Brésil et des dix ans de l’accord de Paris.
De nombreuses délégations et représentants de la société civile ne parviennent pas à trouver de logement dans la cité amazonienne qui doit accueillir le sommet sur les négociations climatiques en novembre. Certains ont demandé au Brésil de changer de ville hôte.




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