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écologie

2025

Cet été, « The Conversation » vous emmène à la rencontre de figures de pionnières, mais souvent méconnues, en matière d’écologie. Aujourd’hui, redécouvrons la figure de l’Américain George Perkins Marsh, diplomate, savant du XIXe siècle et précurseur du concept de durabilité.
Le monde va s’effondrer, et personne ne s’y prépare. Dans cet épisode vertigineux, Yves Cochet expose avec clarté et gravité sa vision de l’avenir : un effondrement systémique mondial est non seulement inévitable, mais imminent. Loin du fantasme survivaliste, il propose une lecture historique, politique et physique de notre civilisation thermo-industrielle. Il parle décroissance, relocalisation, chute brutale des systèmes complexes, et appelle à une révolution collective et poétique. À contre-courant du techno-solutionnisme ambiant, il nous invite à faire le deuil d’un monde, pour en bâtir un autre. Un témoignage lucide et essentiel.
Depuis 2019, les membres du collectif pour une Sécurité sociale de l’alimentation échangent, construisent et portent un projet de société à la hauteur des enjeux agricoles et alimentaires. Forts de travaux bien plus anciens, ils partagent leurs expériences, leurs convictions et leurs points de vue pour essayer de penser les institutions d’une socialisation de l’agriculture et de l’alimentation, seule voie à même de répondre aux urgences démocratiques, sociales et écologiques auxquelles nous sommes confrontés.
240 000 contributions citoyennes ont été recueillies dans des cahiers de doléances mis en place par l’Association des maires ruraux de France pendant le mouvement des Gilets jaunes. Vert a consulté certaines de ces propositions, ainsi que la synthèse nationale de tous les cahiers, qui font la part belle à la justice environnementale.
Depuis qu’elle forme des coalitions avec le parti d’extrême droite Vox, la droite espagnole a peu à peu renoncé sur l’environnement. Un virage qui s’est accéléré ces derniers mois, jusqu’à être officialisé lors du dernier congrès du Parti populaire, la principale formation de droite en Espagne.
L’écologie peut-elle être un outil de libération ? Dans ce talk percutant et engagé, Fatima Ouassak démonte les récits dominants d’une écologie blanche, urbaine, bourgeoise, déconnectée des enjeux des quartiers populaires et des héritages coloniaux. À travers son livre Terre et liberté et son engagement militant, elle relie climat, antiracisme, féminisme et justice sociale. Elle évoque la colonisation, l’école discriminatoire, la liberté de circuler comme droit fondamental, et la nécessité d’une écologie pirate, radicale, ancrée dans la réalité des luttes. Un échange essentiel pour repolitiser l’écologie et en faire une arme pour les oubliés de l'écologie.
La stratégie de désertion de l’écologie, qui intervient alors que les effets du dérèglement climatique sont de plus en plus concrets dans le quotidien des Français, pourrait se retourner contre les élites, juge Arnaud Gilles, spécialiste des politiques environnementales, dans une tribune au « Monde ».
Le Japon a déclaré que le mandat d’arrêt contre le militant écologiste américano-canadien restait valide, appelant « les parties concernées à procéder à son extradition ».
Dans la commune de Loos-en-Gohelle, le modèle de participation citoyenne qui combine chantiers participatifs, monnaie locale et sécurité sociale alimentaire est rentré dans les mœurs. Un succès basé sur l’accessibilité populaire.
Plus d'un million de citoyens en dix jours. La pétition contre la loi Duplomb, qui autorise le retour d’un néonicotinoïde controversé, bat tous les records. En plein backlash écologique, ce sursaut citoyen pourrait contraindre l’Assemblée nationale à rouvrir le dossier à la rentrée.
À Genay, près de Lyon, un couple a transformé son jardin en sanctuaire pour la biodiversité. Une démarche engagée soutenue par la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), aux vertus écologiques bien réelles.
Menaces, insultes, cyberattaques, divulgation de données personnelles… En 2024, plus de 90 % des défenseurs du climat et de l’environnement ont été visés par des violences en ligne, selon une enquête menée par l’ONG Global Witness auprès de 204 activistes répartis sur six continents, publiée le mercredi 16 juillet.
Militants et militantes écolos avaient-ils besoin d’être davantage caricaturés, raillés, décrédibilisés ? Pas vraiment. Le paysage médiatique et la classe politique s’en chargeaient déjà très bien tout seuls jusqu’ici, dans un exercice collectif de greenbashing chorégraphié à la perfection, où le cynisme le dispute à la mauvaise foi. Mais dorénavant, leur vie va être encore plus facile grâce à l’intelligence artificielle – elle tient décidément toutes ses promesses.
Une enquête de l’ONG britannique révèle que plus de neuf activistes sur dix ont été victimes d’attaques sur les réseaux sociaux en lien avec leur engagement en faveur du climat ou de l’environnement.
L’histoire de Reporterre est intimement liée à celle de Hervé Kempf, son fondateur. À l’occasion de son départ à la retraite, il revient sur son parcours, raconte la création du média et nous fait revivre les temps forts de l’écologie dans un podcast en 4 épisodes.
Les attaques répétées de la droite conservatrice contre l'écologie prouvent, paradoxalement, la place primordiale qu'a pris le sujet dans notre société. Cette agitation apeurée est le chant du cygne de l'ère industrielle.
Dans ce nouvel épisode, on revient sur les rapports entre les extrêmes droites et l'écologie, que nous avions commencé à aborder dans deux épisodes précédents (voir Peste brune et greenwashing). Pour approfondir le sujet, j'ai invité Antoine Dubiau, auteur notamment du livre Écofascismes (aux éditions Grevis). Avec lui on parle à la fois des grands partis d'extrême droite, ceux qui occupent le devant de la scène électorale et que l'on peut décrire comme relevant d'un fascisme fossile ou d'un carbofascisme, et de courants ou de sensibilités numériquement plus marginaux et qui construisent un rapport différent à l'écologie, mais toujours à partir d'un socle raciste et réactionnaire, une culture qu'on peut qualifier d' écofasciste. On montre que les rapports entre ces deux polarités, à l'extrême droite, ne sont pas simplement d'opposition : non seulement certains partis comme le FN/RN tentent de donner un vernis écologique à leurs obsessions identitaires mais on pourrait imaginer une cohabitation/col
Amnesty International alerte sur la répression croissante des militants écologistes en France. Dans un rapport publié jeudi, l'ONG dénonce une criminalisation systématique des mobilisations et une stigmatisation des défenseurs de l'environnement.




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