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l’eau

2025

A Donetsk et dans une partie du Donbass occupé par la Russie depuis 2014, les habitants souffrent d’une pénurie menaçant de dégénérer en catastrophe humanitaire.
Alors que la Méditerranée enregistre des températures bien au-dessus des normales saisonnières, les vagues de chaleur marine deviennent de plus en plus fréquentes. Le chercheur en écologie marine Thierry Perez alerte sur les conséquences dévastatrices de ce phénomène sur les écosystèmes.
Dans l'est de l'Ukraine, les habitants de la région de Donetsk, occupée par la Russie, sont confrontés à une grave crise de l'eau, à l'origine de pénuries qui rendent difficiles les conditions de vie. Une situation qui, selon les experts, résulte de l'occupation russe, de la mauvaise gestion qui en a découlé et des destructions causées par la guerre.
Alors que la majorité des rivières du département souffrent de la sécheresse, la fédération de pêche locale se mobilise depuis mi-juin pour éviter la mort de certaines espèces. Plus de 20 opérations de sauvetage ont déjà été menées.
Alors que l’Organisation des Nations unies a reconnu l’accès à l’eau comme droit humain fondamental en 2010, Simon Porcher, professeur en sciences de gestion, plaide, dans une tribune au « Monde », pour un traité global contraignant qui rendrait ce droit réellement effectif.
Dans les différentes «sierras» du pays, des collectifs d’irrigateurs, éleveurs ou agriculteurs, utilisent d’anciens canaux creusés dans la terre pour retenir l’eau de pluie et lutter contre les effets du réchauffement climatique.
Le ministère de la Transition écologique a publié le 31 juillet une carte de ces composantes toxiques.
La publication permet notamment d’accéder à une carte de surveillance des PFAS dans les eaux souterraines, de surface ou distribuées au robinet, ainsi que dans les sites industriels.
Neuf agriculteurs condamnés pour utilisation de mégabassines illégales, plusieurs ouvrages vandalisés au cutter, des journalistes et un militant écologiste agressés… La question du partage de l’eau a généré trois nouveaux épisodes conflictuels au mois de juillet dans le département.
Un seul dossier ce jeudi à l’ordre du jour de la Commission de la santé, de l’environnement et de l’action sociale du Parlement de Wallonie : la contamination de l’eau de distribution à la station de captage de Ramillies. Pendant plus de cinq heures, le ministre wallon de la Santé et de l’Environnement, Yves Coppieters, ainsi que les responsables du SPW Agriculture, Ressources naturelles et Environnement et de la SWDE ont répondu aux très nombreuses questions des parlementaires.
Des taux de « polluants éternels » supérieurs à la limite légale, de 100 nanogrammes par litre, ont été relevés. La durée de cette interdiction, qui concerne 2 800 habitants, n’a pas été précisée.
Dans les Deux-Sèvres, la Coopérative de l’eau qui gère les mégabassines est en difficulté financière. Les coûts de ces ouvrages ont explosé, alors que s’accumulent les jugements défavorables et les ras-le-bol d’agriculteurs.
Des restrictions sont également en vigueur dans l’ensemble du département voisin du Nord, placé en vigilance renforcée la semaine dernière.
La pollution pourrait être due à l’épandage de boues papetières sur des parcelles agricoles situées à proximité des captages d’eau potable, selon la préfecture de la Meuse.
Selon France 3 et le média Disclose, seize communes à cheval entre la Meuse et les Ardennes sont concernés, après qu’elles ont présenté des taux de PFAS dépassant de 3 à 27 fois la limite autorisée. Le maximum a été prélevé à Villy, avec 2 729 ng /l. Un record en France.
Sur la commune de Durbuy, l’eau de distribution n’est plus potable sur une partie du réseau de Barvaux. Une pollution bactérienne a été détectée dimanche. Plusieurs analyses ont été réalisées ainsi que des purges. La situation devrait se normaliser d’ici la fin de la journée. En attendant, une distribution de bouteilles d’eau est organisée à 14 heures dans le parc communal de Barvaux.l’hypothèse la plus probable, et c’est quasiment certain, c’est la contamination du réseau de distribution par de l’eau de pluie via le raccordement d’un circuit d’eau de pluie au réseau de distribution"
Des centaines de milliers de personnes ont été exposées pendant plus de quarante ans à une contamination de l’eau potable par les polluants éternels dans le nord-est de l’Italie.
Toujours plus de besoins et toujours moins de disponibilité. Dans une note, l’organisme de réflexion prospective met en évidence les conflits à venir entre les différents usages de l’eau en France, sous l’effet du réchauffement climatique, et recommande de revoir notamment les pratiques agricoles.
L’usage de ce pesticide néonicotinoïde est autorisé dans le pays, notamment en traitement dans la culture du riz et des monocultures de pins.
La principale compagnie de distribution du pays s’est vu infliger une amende de près de 150 millions d’euros par le régulateur de l’eau.




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