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migrant
2025
Lima mobilise pendant soixante jours armée et police pour tenter de contenir l’arrivée massive de familles fuyant la possible élection au Chili d’un président d’extrême droite.
Le souverain pontife déplore le traitement « extrêmement irrespectueux » réservé aux migrants dans le pays et exhorte Washington à écouter l’appel du clergé pour mettre fin au « climat de peur » qui y règne.
Le décret met en place un moratoire sur les expulsions et une aide financière et sociale pour les migrants locataires touchés par la politique de l’administration Trump.
Le comté de Los Angeles a déclaré mardi l'état d'urgence en raison de la répression continue du gouvernement du président américain Donald Trump à l'encontre des migrants. Il s'agit de la mesure la plus récente prise par une autorité locale contre les rafles de la police de l'immigration du ministère américain de la Sécurité intérieure.
Une cour d’appel a considéré, vendredi, que le gouvernement américain ne pouvait pas révoquer le statut légal de protection temporaire accordé à ces migrants en grande partie sous l’administration de Joe Biden.
Le département d’Etat compte vérifier plusieurs critères, dont les dépassements de la date de validité, les infractions à la loi, les activités criminelles, la participation à toute forme d’activité terroriste ou le soutien à une organisation terroriste.
La justice ordonne le démantèlement de l’«Alcatraz des alligators», la prison pour migrants de Trump
- Libération,Afp,
Un juge de Floride a tranché jeudi 21 août au soir en défaveur du projet de l’administration républicaine, qui était attaqué sur les plans des droits humains et de l’environnement.
Surveillance par drone, inspection des voitures, persécution des personnes perçues comme étrangères : depuis fin juin, des milices d’extrême droite mettent en scène leur obsession raciste à la frontière germano-polonaise.
Volker Türk parle d’une situation avec « de graves préoccupations », alors que 142 000 personnes ont été expulsées des Etats-Unis entre le 20 janvier et le 29 avril et que le sort d’au moins 245 Vénézuéliens et d’une trentaine de Salvadoriens reste incertain.
Donald Trump avait utilisé une loi de 1798 pour expulser vers le Salvador des personnes soupçonnées d’appartenir à des gangs. Par ailleurs, une délégation du Congrès américain a visité sur place, vendredi, une prison de haute sécurité et rencontré le président salvadorien, Nayib Bukele.
Le président américain veut annuler un programme spécial institué sous Joe Biden autorisant les ressortissants de quatre pays – Venezuela, Cuba, Nicaragua et Haïti – à résider aux Etats-Unis en raison de la situation des droits humains dans ces Etats.
Le président américain mène depuis sa prise du pouvoir une politique très agressive contre les flux migratoires. L’affrontement avec les juges sur les expulsions extra-judiciaires masque le bouleversement survenu dans la politique migratoire des Etats-Unis. En cent jours, Donald Trump a pris 140 décrets sur l’immigration, selon la Maison Blanche. Le Migration Policy Centre, un institut d’études indépendant, compte 175 décrets et mesures sur la question, soit six fois plus que pendant la même période de son premier mandat.
A titre humanitaire, Joe Biden avait accueilli depuis 2023 un quota de demandeurs d’asile de Cuba, de Haïti, du Nicaragua et du Venezuela. Leur statut étant révoqué, ils ont un mois pour faire leurs valises sous peine de devenir des clandestins expulsables. [...] La décision révolte les défenseurs des droits humains, notamment parce que les migrants concernés ne pourront pas aller au bout de leurs deux ans de résidence initialement accordés.
Le ministère américain de la Sécurité intérieure a annoncé vendredi mettre fin par ordonnance au statut légal de plus de 500 000 migrants latino-américains, sommés de quitter les États-Unis d'ici quelques semaines. Une décision qui a suscité une levée de boucliers.
Alors que le premier vol transportant des migrants clandestins a atterri au début du mois à Guantanamo Bay – la célèbre prison américaine sur l’île de Cuba – où Donald Trump envisage d’installer un centre de détention de migrants de 30.000 places, plusieurs vidéos (comme celle-ci ou celle-là) ont refait surface sur les réseaux sociaux. Elles avancent que Barack Obama, surnommé "Deporter in Chief" par certains de ses détracteurs, est le "champion incontesté des expulsions".
2024
Na zeven jaar van valse beschuldigingen, lasterlijke uitspraken en een flagrante criminaliseringscampagne tegen organisaties die zoek- en reddingsoperaties op zee uitvoeren, werd het onderzoek dat eind 2016 door het openbaar ministerie in Trapani, Sicilië, werd gestart, op 19 april 2024 afgewezen. Zeven jaar van onwaarheden zijn weggevaagd, maar de aanvallen gaan door. Levens redden is geen misdaad.
Des déplacés climatiques, il y en a aussi en France. En 2022, 45 000 personnes ont ainsi dû quitter leur domicile après un événement extrême.
Face aux migrations vouées à exploser avec le réchauffement, l’idée d’un « passeport climatique » refait surface. Une « citoyenneté mondiale » à laquelle se heurtent des intérêts politiques.
2023
Grignoté par la montée des eaux, Tuvalu, petit archipel du Pacifique, voit son territoire disparaître progressivement, menaçant la survie de ses quelque 11 000 habitants. Grâce à un traité sans précédent, ils vont pouvoir progressivement migrer en Australie, un pays-continent dont les émissions de gaz à effet de serre des industries contribuent à amplifier le réchauffement climatique responsable de ce phénomène.
Cela représente une augmentation de près de 50 % par rapport à la même période de 2022. Au total, 186 000 personnes sont arrivées dans le sud de l’Europe depuis le 1er janvier, soit une hausse de 83 %.
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