Transition énergétique ?

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2025

En plus de désactiver leurs données de géolocalisation obligatoire, les navires de la flotte fantôme russe peuvent également transmettre de fausses données, afin de camoufler leur véritable position.
Taxer les très hauts patrimoines pour assurer une meilleure équité de l’effort fiscal, tout le monde devrait être pour. Mais ce n’est pas parce qu’une mesure semble juste, qu’elle sera aussi efficace.
Adopté il y a deux ans par les états membres des Nations Unies, le traité mondial de protection de la haute mer nécessitait la ratification de soixante pays pour enfin entrer en vigueur. C’est désormais chose faite avec la récente signature du Maroc. Que dit ce texte et quelles mesures seront possibles après son application en janvier 2026 ?
Il faut absolument se passer des délétères énergies fossiles car les coûts directs et indirects (dérèglement climatique, pollution, biodiversité, destruction de l'environnement,...) de leurs usages ne sont absolument pas soutenables. Mais s'en passer à des implications socio-économiques importantes qu'il y a lieu de comprendre et d'anticiper afin qu'une transition hors des énergies fossiles puisse se dérouler sans heurts.
Selon une étude, la rationalité des discours politiques aux États-Unis chute depuis les années 1970. Un déclin corrélé avec la polarisation du débat et les inégalités économiques, qui se ressent jusqu’en France.
Les tensions avec la Russie ont poussé la Pologne a fermé le principal point d'entrée ferroviaire en Europe pour les marchandises chinoises.
[Les idées reçues sur l’énergie] Beaucoup pensent qu’il faudrait arrêter de subventionner l’éolien et le photovoltaïque, qui coûteraient un pognon de dingue, alors que la France peut s’appuyer sur son nucléaire. Vraiment ?
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
Une question se pose aux écologistes : comment stopper le « backlash » contre l’écologie, cette offensive réactionnaire contre les politiques soutenues et développées depuis près de vingt ans ? Car un constat terrible s’impose : les politiques écologiques se heurtent à la défiance, voire à l’hostilité, des classes populaires, notamment hors des grandes agglomérations.
En se basant sur les dernières données d’une ONG, un média a élaboré une infographie très parlante à propos des coûts réels qu’engendrent les différents aléas climatiques de grande ampleur. Alors que ces aléas sont favorisés par l’actuel dérèglement climatique, les coûts dont il est ici question concerne l’aspect économique, les décès mais également, les impacts sur le quotidien des survivants.



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