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gouvernance
2025
La « COP30 » débute le 11 novembre à Belém au Brésil. Cette nouvelle Conférence Climat intervient « à un moment périlleux », juge Paul Watkinson dans une note publiée le 21 octobre par le Centre Énergie et Climat de l'Ifri (accessible en bas de cette page). COP30 : « pas une énième conférence sur le climat » Pour Paul Watkinson, qui a une riche expérience dans les négociations climatiques (il était déjà l'un des principaux négociateurs de l'UE lors de la COP15 à Copenhague en 2009 et faisait partie de l'équipe en charge de la COP21 à Paris fin 2015), la COP30 au Brésil n'est « n’est pas une énième conférence sur le climat : c’est une occasion de réaffirmer l’engagement en faveur de l’action multilatérale pour le climat, malgré les vents contraires significatifs ». Une attente qui apparaît bien ambitieuse dans le contexte actuel, alors que même l'Union européenne « doit restaurer sa crédibilité en matière d’ambition en soumettant une CDN avec l’ambition la plus élevée possible et en ne diluant pas le Pac
En septembre 2025, la Chine a organisé une grand-messe de l’Organisation de coopération de Shanghai et un immense défilé à l’occasion des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ce fut l’occasion pour elle d’afficher sa volonté de réformer la gouvernance mondiale et de se poser en leader du « Sud global ». Dans le même temps, comme l’a démontré la dernière Assemblée générale de l’ONU, la République populaire cherche à s’imposer toujours davantage au sein des Nations unies, tout en rapprochant les institutions onusiennes des plateformes multilatérales qu’elle contrôle.
Lorsque survient une crise économique majeure, les regards se tournent naturellement vers les facteurs financiers : déséquilibres budgétaires, surendettement, spéculation, erreurs de gouvernance, etc. Sans occulter leurs impacts respectifs, une autre variable, à nos yeux essentielle, reste trop souvent absente des analyses : la disponibilité énergétique. Toute économie repose en effet sur un socle physique invisible mais décisif : sa capacité à mobiliser de l’énergie abondante, bon marché et stable pour produire, transformer, transporter et consommer. Lorsque ce socle vacille, les structures économiques sont mises à rude épreuve. […] Le choc énergétique est le moteur physique du déraillement économique, le déclencheur de la crise dans une situation en déséquilibre.
L'intelligence artificielle s'invite dans l'entreprise. Quel rôle pour le management dans un contexte d'adoption rapide et souvent sans cadre clair ?
L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme. Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Dans une tribune publiée par Vert et intitulée «L’Océan, l’autre plafond de verre : pour une gouvernance de l’océan paritaire et inclusive», Women for Sea, Les Impactrices et SHE Changes Climate France plaident pour plus d'égalité dans les prises de décision concernant l’océan, à quelques jours du sommet mondial (Unoc3) sur le sujet à Nice. Leurs revendications feront l’objet d’une table ronde, ce jeudi, au palais des expositions de la cité azuréenne.
L’entrée en vigueur de l’accord sur la gouvernance de la haute mer, l’arrêt de la surpêche mondiale et la défense de la science font partie des priorités énoncées, lundi, par le chef de l’Etat.
Curtis Yarvin est la figure intellectuelle qui émerge de la galaxie trumpiste. Son projet politique, défini comme « néoréactionnaire », propose d’en finir avec l’idée démocratique et de structurer le gouvernement comme une entreprise dirigée par un monarque absolu.
« Nous avons besoin de continuer à faire avancer une gouvernance internationale de l’intelligence artificielle », a déclaré Emmanuel Macron en clôture de l’événement.
Nombre d’experts considèrent désormais inévitables ces technologies très controversées visant à modifier, de manière volontaire, le climat de la Terre en vue d’atténuer le réchauffement climatique, mais dont les conséquences demeurent imprévisibles.
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