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financiers
2025
L’accord sur les pandémies signé en mai 2025 par les États membres de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est présenté comme un succès historique du multilatéralisme. Pourtant, il pourrait se révéler délétère pour les autres priorités de santé globale, du fait de la gouvernance technocratique qu’il propose et des coûts financiers élevés qui seraient alloués à des risques pandémiques hypothétiques.
Les médias américains se sont entichés d'un nouvel acronyme : "Taco", pour "Trump always chickens out", soit "Trump se dégonfle toujours". Ce simple mot de quatre lettres, inventé par un journaliste du Financial Times, pourrait entraîner de nouvelles secousses sur les marchés financiers. France 24 vous explique pourquoi.
Une étude, publiée dans « Nature Climate Change », le 7 mai, quantifie, pour la première fois, à quel point la consommation et les investissements financiers contribuent à accroître les vagues de chaleur et les sécheresses.
Le gouvernement a suspendu en février 2024 le plan Ecophyto, qui vise à réduire l’usage des pesticides en France. Dans une tribune au « Monde », un collectif de 379 élus le déplore en rappelant la haute toxicité de ces produits, ainsi que leur coût pour la communauté, évalué à 18 milliards d’euros par an, entre frais médicaux, indemnisations, dépollutions et soutiens à l’agriculture conventionnelle.
En plein chaos économique et financier, Donald Trump, Elon Musk et le secrétaire au Trésor, Scott Bessent – les trois figures de la politique économique américaine –, ont annoncé chacun une nouvelle, mardi 22 avril, attestant d’un léger retour à l’orthodoxie économique susceptible de requinquer les marchés financiers. Le président américain a fait savoir qu’il n’avait pas l’intention de limoger Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale (Fed) avant la fin de son mandat, en 2026, après l’en avoir menacé depuis quelques jours.
Créés pour gérer les excédents budgétaires des États, les fonds souverains sont devenus des acteurs incontournables de l’économie mondiale. Entre stratégies d’investissement à long terme et enjeux de gouvernance, ces instruments financiers suscitent autant d’intérêt que de débats. Pour mieux comprendre leur fonctionnement et leur impact, nous avons interrogé deux professeurs d’économie financière.
2024
Milton, Helene, Beryl, Boris, Kong-rey, Kirk… Ces noms résonnent pour les assureurs et les pays comme des gouffres à milliards, causés en l’espace de quelques heures par des inondations et des intempéries extrêmes. L’Europe, l’Asie et le nord de l’Amérique, aucun territoire n’est à l’abri. Ces événements mettent en question la viabilité et la pérennité des régions touchées au hasard des vents. Si le nombre de morts reste pour l’instant supportable par la communauté, les coûts financiers explosent et la quantité d’hydrocarbures et d’électricité nécessaires à la remise en état grimpe de manière exponentielle.
Ethnobotaniste et directrice de recherche à l’Institut de recherche pour le Développement, Geneviève Michon dénonce le développement de l’industrie de la forêt, encouragé par une supposée «transition verte».
Les soixante-trois projets de terminaux d’exportation de GNL prévus d’ici à 2030 pourraient émettre plus de 10 milliards de tonnes de CO2 à cet horizon, quasiment l’équivalent des émissions annuelles des centrales à charbon, selon l’ONG Reclaim Finance.
Avec l’ONG Reclaim Finance qu’elle dirige, Lucie Pinson œuvre à convaincre les institutions financières de repenser leurs investissements. Objectif: qu’elles abandonnent les énergies fossiles en faveur de projets durables.