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2025

Washington a annoncé jeudi des sanctions contre deux magistrats de la Cour pénale internationale, visés pour avoir soutenu l’enquête sur des crimes de guerre présumés à Gaza. L'annonce a provoqué une condamnation immédiate de la Cour qui dénonce une "atteinte flagrante à son indépendance".
La Cour pénale internationale (CPI) a rejeté, vendredi, la demande d’appel déposée par Israël contre une précédente décision confirmant les mandats d’arrêt délivrés à l’encontre du Premier ministre Benjamin Netanyahu et de l’ancien ministre de la Défense Yoav Gallant. Dans une décision qui a fait la Une de la presse internationale, la CPI avait estimé, en novembre, qu’il existait des « motifs raisonnables » de croire que les deux dirigeants israéliens portaient une « responsabilité pénale » pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité présumés commis lors de la guerre à Gaza.
La présidente du Conseil des ministres italien a affirmé ce mardi soir être la cible de cette procédure. En cause : les activités de Leonardo, un groupe d’aéronautique et de défense transalpin.
Alors que Washington prononce de nouvelles sanctions contre des juges et procureurs de la Cour pénale internationale, trois magistrats français rappellent, dans une tribune au « Monde », le temps où les Etats-Unis croyaient au droit pénal international humanitaire et contribuaient à le faire respecter.
La Cour pénale internationale estime que ces sanctions représentent une « attaque flagrante » contre l’indépendance de l’institution. La décision américaine a été saluée par le premier ministre israélien, lui-même visé par un mandat d’arrêt de la CPI.
La Cour pénale internationale (CPI) a estimé mercredi que les sanctions américaines visant quatre de ses magistrats représentait une "attaque flagrante" contre l'indépendance de l'institution.
Pressions, menaces, sanctions : les Etats-Unis, leur allié israélien et quelques pays européens ont multiplié, depuis le printemps 2024, les manœuvres visant à empêcher l’inculpation de Benyamin Nétanyahou par la CPI.
Cette mesure, annoncée alors que le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, se trouve à Washington, impose des restrictions financières et de visas aux personnels de la CPI qui aident aux enquêtes de la cour sur les citoyens américains ou leurs alliés.
Le président américain a signé jeudi un décret prévoyant des sanctions contre la CPI, accusée d’avoir «engagé des actions illégales et sans fondement contre l’Amérique et notre proche allié Israël».
Dans une déclaration commune, ces 79 pays regrettent « toute tentative de saper l’indépendance » de la Cour pénale internationale après la signature du décret américain interdisant notamment l’entrée aux Etats-Unis à ses dirigeants, employés et agents.



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