Transition énergétique ?

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2025

Les sociétés humaines n'ont pas besoin d'énergie, elles ont besoin d'organisation !💡 ➡️ J'ai eu le plaisir d'échanger avec Frédéric Canévet, auteur du livre "Adapter son business dans un monde en déconsommation" (Eyrolles, 2024 : https://www.editions-eyrolles.com/liv...) 👉 Nous avons tenté ensemble un nouveau diagnostic de l'échec de la transition énergétique, fondé cette fois sur l'incapacité des énergies dites de substitution (ENS) à procurer à nos sociétés l'organisation dont elles ont besoin. 👉 Une lecture différente de l'ambition de décarbonation, qui disqualifie l'idée que l'énergie se suffirait à elle-même pour satisfaire nos attentes, alors que l'énergie peut très bien être destructrice : une explosion, c'est plein d'énergie ! Pour l'avenir nous avons besoin de capacités à nous organiser et cela ni le vent, ni le rayonnement solaire, ni les atomes radioactifs ne peuvent nous l'apporter. 📊 Une lecture pour ne plus être surpris, par exemple, par une surproduction d'électricité en Fran
Le journal The Lancet Planetary Health a publié récemment une étude qui évalue le soutien public à la décroissance[1]. Les chercheurs ont voulu distinguer l’adhésion aux idées concrètes derrière la décroissance de l’attitude spécifique vis-à-vis du terme “degrowth”, et examiner comment différents traits individuels (psychologiques, socioéconomiques…) influencent le soutien ou le rejet. Au Royaume-Uni, entre 74 % et 84 % des sondés sont favorables à la proposition globale, respectivement avec le label “décroissance” ou non. Aux États-Unis : le soutien se situe entre 67 % et 73 %[2].
Le magazine de vulgarisation scientifique La Recherche a publié au cours de l’été 2025 un dossier spécial[1] “consacré au faux sous toutes ses formes (fausses informations, deepfakes, théories du complot, croyances irrationnelles, etc.).[2]” En appui sur les rappels du magazine La Recherche, cet article invite à questionner la scientificité des présupposés du projet de transition énergétique pour les sociétés thermo-industrielles, en particulier dans l’objectif d’amortir ou d’empêcher leur effondrement. En reprenant par ailleurs l’analyse de Karl Popper, qui a montré que certaines théories scientifiques ont trouvé inspiration dans d’authentiques croyances métaphysiques, cette étude critique interroge l’imprégnation du narratif de transition par différents mythes évoquant la vie éternelle ou l’espérance de surmonter la finitude.
Olivier Hamant est chercheur en biologie et biophysique, spécialiste de la notion de robustesse, dont il explore la mise en œuvre pour nos sociétés, "hyper performantes" mais désormais fragiles face aux fluctuations écologiques, économiques et politiques. Au cours de cet échange, Olivier Hamant fait le point sur les apports de la robustesse pour nous aider à traverser les perturbations. La robustesse est-elle inspirée de l'entraide, chère à Pablo Servigne et Gauthier Chapelle ? La robustesse est-elle une valeur, au titre que "le vivant se construit selon un système de valeurs" ? Est-ce que s'opposer au culte de la performance permettrait d'amortir ou d'éviter un effondrement ? Comment éviter la récupération et l'instrumentalisation de la robustesse ? Olivier Hamant répond à nos questions avec sincérité, prolongeant un débat qui n'est pas encore clos, mais qui avance !
En mars dernier, je constatais une évolution des discours écologiques : enfin, en 2025, le pouvoir d'achat intégrait le débat (voir ce post : https://lnkd.in/dP3C7NzF). […] ❓ J’interpelais alors certains acteurs sur la difficulté à énoncer que la contrainte environnementale (l'impossible développement infini dans un monde fini) allait nécessairement impacter la production de richesse
Engager une décarbonation pour défendre la souveraineté engendrerait au contraire une plus grande servitude aux puissances carbonées.
Pour réussir la transition énergétique : ne plus confondre les frigos et les sociétés humaines !
La baisse des émissions de CO₂ ferait office de verdict en faveur de la transition énergétique si et seulement si l'économie ne s'effondrait pas en parallèle.
"Ce qu'on appelle transition énergétique, ce sont les sociétés pétrolières qui élargissent leur offre." Vincent Mignerot est essayiste. Explorant une "théorie écologique de l'esprit", il envisage que la transition énergétique relève de la pensée magique. Une fable qui nous expose à de nombreuses désillusions.
Ces dernières années, l’évidence de la Transition énergétique est remise en cause sous différents aspects. Quid des ressources ? Des pollutions engendrées par l’extraction de celles-ci ? Dans quel contexte économique et social ? Pour quel projet de société ? Vincent Mignerot, auteur de L’Énergie du déni, s’interroge sur l’absence de travaux scientifiques argumentant la faisabilité de cette transition. Avec Le Réveilleur, ils proposent que les chercheurs s’expriment : la transition énergétique est-elle basée sur des concepts solides ? Un débat passionnant à suivre.



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