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mondiaux
2025
Dans le cadre d’une récente étude, des chercheurs ont souligné le manque de résilience des data centers face aux aléas climatiques. Ces risques concerneraient aujourd’hui environ un cinquième des centres de données à l’échelle mondiale, une situation dont les répercutions économiques d’ici 2050 pourraient être très importantes.
Dans le cadre d’une étude récente, des économistes européens ont simulé un arrêt des échanges alimentaires mondiaux. Selon les résultats, un seul pays brillant par son autosuffisance devrait survivre aisément à l’arrêt des échanges alimentaires.
Les projets de l'Inde visant à accroître massivement sa production d'acier, pour le développement de la construction notamment, mettent en péril les efforts mondiaux de réduction des émissions de gaz à effet de serre, indique un rapport publié mardi par le groupe de réflexion Global Energy Monitor. A elle seule, l'industrie mondiale du fer et de l'acier représente 11% des émissions de CO2 d'origine humaine qui réchauffent la planète, essentiellement en raison des hauts fourneaux traditionnels qui consomment du charbon d'origine fossile.
La stabilité mondiale est menacée par la désinformation et la crise écologique. C'est ce que pointe le rapport 2025 du Forum Economique de Davos.
2024
Aujourd’hui, jusqu’à 40 % des terres mondiales sont dégradées, affectant la moitié de l’humanité avec des conséquences graves pour le climat, la biodiversité et les moyens de subsistance des populations. Les sécheresses deviennent plus fréquentes et plus sévères, augmentant de 29 % depuis 2000 en raison du changement climatique et de la gestion non durable des terres. Si les tendances actuelles se poursuivent, il sera nécessaire de restaurer 1,5 milliard d’hectares de terres d’ici 2030 pour atteindre un monde neutre en termes de dégradation des terres.
Comment accélérer sur le climat sans la première puissance mondiale ? C'est le défi posé à quelque 75 dirigeants, en majorité de pays en développement, mardi et mercredi à la conférence climatique annuelle de l'ONU en Azerbaïdjan, une semaine après le séisme du prochain retour au pouvoir de Donald Trump.
Comment accélérer sur le climat sans la première puissance mondiale? C'est le défi posé à quelque 75 dirigeants, en majorité de pays en développement, mardi et mercredi à la conférence climatique annuelle de l'ONU en Azerbaïdjan, une semaine après le séisme du retour au pouvoir de Donald Trump.
Alors que les gouvernements se préparent à se réunir pour le Sommet du Futur de septembre prochain - une réunion de haut niveau des Nations Unies qui vise à "offrir un meilleur présent et à préserver l'avenir" - de récentes négociations ont supprimé deux mots du projet de résultat : les combustibles fossiles.
La consommation énergétique de l'IA générative est si élevée qu'elle met déjà à rude épreuve les réseaux électriques mondiaux, et le problème ne cesse de s'aggraver.
Canicules, inondations, sécheresses ou incendies ont frappé, parfois simultanément, tous les continents depuis quelques mois. Un effet direct du réchauffement climatique d’origine humaine, accentué par le phénomène El Niño.