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2025
Dans une tribune au « Monde », la chercheuse Marine Ragnet pose la question de la gouvernance de l’intelligence artificielle et de ses usages. Ce sujet, souligne-t-elle, n’est « pas seulement une question d’éthique, c’est aussi une question de pouvoir ».
Les Etats les plus vulnérables, soutenus par les Européens, défendent un rehaussement des ambitions concernant l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre. D’autres pays, menés par la Chine et l’Inde, veulent rouvrir le sujet de la finance climatique.
Le 10 novembre s’ouvre la COP30 au Brésil. Boycott de Donald Trump, maintien des fossiles, objectifs climatiques beaucoup trop faibles... Reporterre récapitule les 5 points à retenir.
Pays le plus peuplé du monde et troisième plus gros émetteur de gaz à effet de serre de la planète, l'Inde reste profondément dépendante au charbon pour satisfaire sa demande en énergie. Et pourtant, elle est aussi un poids lourd de la diplomatie du climat. Voici ce que l'on sait des engagements de New Delhi en matière de climat, avant l'ouverture lundi au Brésil de la COP30, la conférence des Nations unies sur le climat. - Emissions - L'Inde a émis 4,4 milliards de tonnes équivalent CO2 en 2024 - une unité de mesure des gaz à effet de serre favorisant le changement climatique - selon l'ONU, dépassée seulement par la Chine et les Etats-Unis. Mais avec une population de 1,4 milliard d'habitants, ses émissions par tête sont loin de figurer en haut du tableau.
Après 24 heures de négociations difficiles, les 27 ministres de l’environnement européen·nes se sont entendu·es ce mercredi matin sur de nouveaux objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2035 et 2040. À quelques jours du sommet mondial sur le climat, l’UE sauve son image et son ambition, au prix de sérieuses concessions aux États réticents.
Les Vingt-Sept maintiennent leur objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre de 90 % en 2040 par rapport à 1990, en l’assortissant de marges de manœuvre supplémentaires pour les Etats.
La poursuite des politiques actuellement en place conduit la planète vers une hausse des températures mondiales de 2,8 °C d’ici à la fin du siècle, selon le Programme des Nations unies pour l’environnement.
La Belgique est encore loin de ses objectifs climatiques : selon le Baromètre de la transition de l’administration fédérale, les réductions d’émissions et la baisse de la consommation d’énergies fossiles doivent doubler pour atteindre la neutralité carbone en 2050.
A l’occasion des Journées de l’économie, qui s’ouvrent le 4 novembre, à Lyon, les trois économistes Mathias Abitbol, Philippe Aghion et Céline Antonin rappellent, dans une tribune au « Monde », qu’il faut pouvoir évaluer de façon indépendante l’empreinte environnementale de l’intelligence artificielle.
[…] Cette baisse reste très en deçà du rythme nécessaire pour atteindre les objectifs de la période 2022-2030, fixés à environ -5 % par an dans la version provisoire de la SNBC 3 (Stratégie Nationale Bas Carbone), toujours pas publiée.
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