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2025

Un pan entier de la Maison Blanche qui tombe dans la poussière, mis à bas par un engin de chantier... L'image illustre presque trop bien le retour au pouvoir de Donald Trump.
Autour de Donald Trump, nous retrouvons bon nombre de personnalités influencées par l’idéologie des Lumières sombres. L’auteur de l’essai qui a donné son nom à cette école de pensée, Nick Land, demeure relativement peu connu mais ses travaux sont de plus en plus étudiés. Pour les comprendre, il est nécessaire de bien appréhender la notion d’hyperstition qu’il a forgée.
Théologie de la prospérité, pensée hostile aux Lumières, antiwokisme, libertarisme techno-chrétien... Tour d’horizon des idéologies dont ceux qui comptent dans l’ère Trump II se réclament.
Les terrifiantes idées de Curtis Yarvin, un « philosophe » du trumpisme Sous le nom provocateur de Dark Enlightenment, une frange de la droite intellectuelle américaine – inspirée par Curtis Yarvin (né en 1973) – prône un renversement des valeurs du XVIIIe siècle : raison, égalité, universalité des droits. Il croit l’humanité aboutie et prône presque son extinction. Il ne veut plus de démocratie. Et je pense qu’il arrivera à ses fins : il est improbable que les élections présidentielles de 2028 ne soient autre chose qu’un plébiscite au candidat unique : un fils de Donald Trump. Sous le pseudonyme de Mencius Moldbug, ce blogueur-philosophe californien théorisait dès 2007 la faillite inéluctable et programmée de la démocratie libérale, qu’il jugeait faible, inefficace et corrompue. Face à ce constat, il propose une destruction méthodique, c’est-à-dire un redémarrage complet du système.
L’histoire est trop souvent convoquée pour attiser la haine, justifier les guerres, minimiser les avancées. Contre la progression de l’obscurantisme, la garantie des savoirs n’est plus une option. Elle est obligatoire.
Dans quelques jours, je publie mon dernier essai « Donald Trump : le spectre d’un fascisme numérique ». C’est un texte qui traite, de manière profonde et historique, tout en le mêlant à mon histoire américaine, de cette gigantesque fracture américaine. En effet, le trumpisme n’est pas un phénomène de surface, mais l’expression percutante de fractures profondes qui fissurent la société du pays, amplifiées par les grandes entreprises technologiques et menaçant une dérive aux accents autoritaires.
Techno-libertarien, fasciste isolationniste, plouto-populiste ? La politique du 47ᵉ président des Etats-Unis est impossible à définir. Si certains la comparent à des régimes européens, d’autres plaident pour une lecture américano-américaine, quitte à inventer un nouveau terme.
Populiste, autocratique, unilatéraliste, mercantiliste, antiwoke… Difficile de définir l’idéologie du président américain. Ce qu’il n’est pas, en revanche, c’est libéral, que ce soit sur le plan politique, culturel et même économique fait valoir l’historien Jérôme Perrier.
Sous couvert de défendre une liberté d’expression prétendument menacée, deux représentants du département d’Etat américain ont multiplié, ces derniers mois, les rencontres sur le Vieux Continent. Notamment en France, avec le Rassemblement national. Une opération d’ingérence visant en réalité à assurer de leur soutien les mouvements conservateurs et réactionnaires européens.
Des milliers de formulaires de candidature ont été dérobés. Parmi eux : le dossier de l’actuel prétendant démocrate à la mairie de New York, qui a été transmis à des médias.



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