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Selon le président ukrainien, la Russie a lancé plus de 70 missiles et 100 drones ce mercredi, ciblant des structures énergétiques du pays.
La Russie a lancé mercredi plus de 70 missiles et plus de 100 drones explosifs sur l'Ukraine dont elle a visé le système énergétique, une attaque qui a causé la mort d'une personne et laissé, selon Kiev, des centaines de milliers de foyers sans électricité ni chauffage le jour de Noël. Le président russe Vladimir "Poutine a consciemment choisi Noël pour son attaque. Qu'est-ce qui peut être plus inhumain?" a lancé son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky sur Telegram.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé lundi le Premier ministre slovaque, qui a visité Moscou la veille, de vouloir "aider" Vladimir Poutine "à gagner de l'argent pour financer la guerre avec Kiev", en pleine tension autour du transit de gaz russe vers l'UE.Confrontée depuis bientôt trois ans à l'invasion russe, l'Ukraine a fait savoir l'été dernier qu'elle ne renouvellerait pas le contrat la liant jusqu'à la fin de l'année à la Russie pour faire transiter le gaz russe vers l'Europe via son réseau étendu de gazoducs.
Plus de 3000 soldats nord-coréens ont été "tués" ou "blessés" dans les combats avec les forces ukrainiennes dans la région frontalière russe de Koursk, dont ces dernières occupent une partie du territoire, a assuré lundi le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a affirmé samedi qu'il avait vu directeur de la CIA William Burns en Ukraine, alors que ce type de rencontre est rarement dévoilé depuis l'invasion déclenchée par la Russie.
Vladimir Poutine s’est prêté jeudi à son exercice annuel de questions-réponses télévisé, répondant pendant plus de quatre heures aux questions des Russes et des médias. Interrogé sur la guerre en Ukraine, il s’est dit prêt à faire des “compromis” pour mettre fin au conflit, et disposé à en discuter avec Donald Tump “à n’importe quel moment”.
Au moins 100 soldats nord-coréens envoyés combattre aux côtés des forces russes contre l'Ukraine ont été tués sur le champ de bataille en décembre, a affirmé jeudi un député sud-coréen, Lee Seong-kweun.
Lors de sa très longue conférence de presse annuelle à Moscou ce jeudi 19 décembre, le président russe s’est dit prêt à échanger avec Donald Trump, potentiellement autour d’un cessez-le-feu en Ukraine.
Le commandant des forces russes de défense radionucléaire, chimique et biologique a été tué ce mardi 17 décembre dans une explosion survenue près d’un immeuble résidentiel, un assassinat revendiqué par les services secrets ukrainiens.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mardi à "une paix durable" en Ukraine, lors d'une réunion de responsables de dix pays européens à Tallinn en Estonie, estimant que la guerre pouvait s'achever l'an prochain.
L’officier, tué mardi 17 décembre dans un attentat commis dans la capitale russe, était, selon les autorités britanniques et américaines, l’un des principaux relais de la propagande du Kremlin. A Kiev, il était considéré comme un criminel de guerre.
L'Ukraine a affirmé samedi avoir bombardé pendant la nuit un site pétrolier dans la région russe d'Oriol (ouest), déclenchant un incendie, les autorités locales confirmant une "attaque massive" de drones.
"L'ennemi continue avec la terreur. Une fois encore, le secteur énergétique, à travers l'Ukraine, est la cible d'une attaque massive", a indiqué le ministère ukrainien de l'Energie.
Le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre polonais Donald Tusk ont martelé jeudi à Varsovie que la paix en Ukraine ne pouvait se faire aux dépens des Ukrainiens et discuté d'un potentiel envoi de troupes européennes dans ce pays, à un mois du retour de Donald Trump à la Maison Blanche.
Le Kremlin a salué vendredi la dernière déclaration de Donald Trump s'opposant à l'emploi par l'Ukraine de missiles américains contre le territoire russe.
"Tout est cher". A Dedovsk, une petite ville à 40 km au nord-ouest de Moscou, certains dépriment face à une hausse des prix largement alimentée par l'assaut en Ukraine, près de trois ans après son déclenchement par le Kremlin.
En raison des sanctions imposées à Moscou après l’invasion de l’Ukraine, le secteur traverse une zone de fortes turbulences, montre l’enquête de “Novaïa Gazeta Europe”. Obligées de se fournir en pièces détachées au marché noir, les compagnies enregistrent des pannes à répétition.
Les chefs de la diplomatie de six pays européens et l'UE ont réaffirmé jeudi soutenir l'Ukraine sur sa voie "irréversible" vers l'adhésion à l'Otan, estimant aussi que "la paix en Ukraine et la sécurité en Europe sont indissociables".
Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a condamné jeudi "une attaque directe" ayant visé plus tôt cette semaine un véhicule officiel de l'instance onusienne en Ukraine, évoquant "une intention claire" de nuire." Mardi, un drone a frappé un véhicule clairement identifié de l'AIEA qui achevait la rotation du personnel de l'agence" à la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijjia (sud), a rappelé Rafael Grossi à l'ouverture à Vienne d'un Conseil extraordinaire des gouverneurs sur la situation dans le pays en guerre.
Une frappe russe menée mardi sur Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, a fait sept morts et 22 blessés, selon un nouveau bilan fourni mercredi par les autorités, alors que secouristes tentent toujours de retrouver des survivants sous les décombres. Cette frappe, qui a notamment détruit une clinique privée et un immeuble de bureaux, est la dernière en date d'une série d'attaques qui se sont intensifiées dans le sud de l'Ukraine, renforçant les craintes d'une nouvelle offensive russe dans la région.
Kiev a développé depuis 2022 une vraie supériorité en matière de drones longue distance, une arme sur laquelle les autorités restent encore très discrètes mais qui leur permet de frapper en Russie sans l’aval des Occidentaux.
Dans l’est de l’Ukraine, l’officier ukrainien 'Goth' allume sa pipe, insensible aux explosions autour de lui, stressé...
Le président américain élu Donald Trump a appelé dimanche à un "cessez-le-feu immédiat" et des négociations pour mettre fin au conflit en Ukraine, sur sa plateforme Truth Social. "Il devrait y avoir un cessez-le-feu immédiat et des négociations devraient commencer. Trop de vies ont été perdues en vain, trop de familles ont été détruites, et si ça continue, cela pourrait se transformer en quelque chose de plus gros, et bien pire", a-t-il écrit en affirmant que l'Ukraine a perdu "de façon ridicule" 400.000 soldats et "bien plus de civils".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a insisté samedi, lors d'une rencontre à Paris avec Donald Trump, sur la nécessité de conclure une "paix juste" avec la Russie.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dit dimanche rechercher une "paix durable" pour son pays, que la Russie ne pourra pas "détruire dans quelques années" en lançant un nouveau conflit, des propos qui font suite à une rencontre la veille avec le président élu américain Donald Trump à Paris.
De “la chair à canon” : ces trois derniers mois, l’armée russe aurait perdu 125 000 combattants pour prendre ou reprendre 2 350 km2 de territoire, selon un rapport de l’Institute for the Study of War. Tant pour Moscou que pour Kiev, les recrutements ne parviendraient plus à compenser les pertes.
Le président élu américain a affirmé dimanche que le dirigeant ukrainien et son pays « aimeraient conclure un accord et mettre fin à la folie ».
Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken s'en est pris jeudi à son homologue russe Sergueï Lavrov, l'accusant de propager un "tsunami de désinformation" et rendant Moscou responsable de l'escalade en Ukraine.
Des nouvelles attaques russes contre des infrastructures en Ukraine ont provoqué de vastes coupures d'électricité dans l'ouest du pays, à des centaines de kilomètres de la ligne de front, ont déclaré mardi les autorités ukrainiennes. Pendant la nuit de lundi à mardi, un drone russe a frappé un "site des infrastructures électriques" à Ternopil, cité comptant plus de 220.000 habitants, a indiqué son maire, Serguiï Nadal, sur Telegram.
Le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte ne voit aucun signe indiquant que le président russe Vladimir Poutine souhaite mettre fin à la guerre en Ukraine.
Washington a annoncé lundi une aide militaire supplémentaire pour l'Ukraine, évaluée à 725 millions de dollars et comprenant notamment des missiles et d'autres munitions, selon un communiqué du secrétaire d'État américain, Antony Blinken.
L'armée russe a avancé sur 725 kilomètres carrés en territoire ukrainien au cours du mois de novembre, son gain territorial le plus important en un mois depuis mars 2022 et les premières semaines de la guerre, d'après une analyse de l'AFP lundi à partir des données de l'Institut américain pour l'étude de la guerre (ISW).
Le chancelier allemand Olaf Scholz a promis lundi au président ukrainien Volodymyr Zelensky que la Russie n'imposerait pas ses conditions à l'Ukraine dans l'hypothèse de négociations de paix entre les deux pays."Rien de ce qui concerne l'Ukraine ne se décidera sans l'Ukraine", a déclaré le chancelier allemand lors d'une visite à Kiev où il a évoqué avec M. Zelensky la perspective de pourparlers. "La Russie ne peut pas dicter la paix à l'Ukraine", lui a-t-il assuré, disant vouloir "explorer les voies qui peuvent conduire à une paix juste et durable pour l'Ukraine".
Le général américain à la retraite Keith Kellogg, choisi par Donald Trump pour devenir l'émissaire pour l’Ukraine et la Russie, a des idées très précises pour mettre fin aux combats en Ukraine. Son plan fait largement écho aux revendications russes.
En intégrant 10 000 soldats nord-coréens dans les forces russes qui combattent sur le front ukrainien, Kim Jong-un et Vladimir Poutine ont rebattu les cartes du grand jeu stratégique. Dans ce nouveau rapport de force, quels sont les alliés de Moscou ? Et à qui font-ils face ? Le point en carte.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assuré dimanche qu'une invitation à intégrer l'Otan était "nécessaire à la survie" de l'Ukraine, près de trois ans après le début de l'invasion russe du pays.
Alors que les appels à entamer des négociations avec Moscou se font plus pressants, y compris chez les alliés de Kiev, Volodymyr Zelensky a assuré que son pays avait besoin "d'armes" et d'un "pas en avant avec l'Otan".
Le président ukrainien s’est dit prêt, vendredi sur la chaîne Sky News, à figer les positions actuelles si l’Alliance atlantique garantissait la protection des territoires contrôles par Kiev, afin de « mettre fin à la phase chaude de la guerre » menée par la Russie. Il espère ensuite « récupérer l’autre partie [du] territoire par des voies diplomatiques ».
Volodymyr Zelensky avait jusqu'à présent exclu de céder des territoires en échange de la paix. Le chef d'État ukrainien s’est dit prêt, vendredi, à accepter des garanties de protection de l’Otan limitées dans un premier temps aux territoires contrôlés par Kiev.
Le président ukrainien a laissé entendre vendredi 30 novembre qu’il était disposé à attendre avant de récupérer les zones occupées par l’armée russe - près d’un cinquième du pays - afin de «mettre fin à la phase chaude de la guerre».
Plus d'un million d'Ukrainiens sont privés d'électricité jeudi matin après une nouvelle attaque aérienne "massive" de la Russie contre les infrastructures énergétiques, en pleine escalade des menaces de Moscou contre l'Ukraine et l'Occident.Cette vague d'attaques intervient à un moment où Moscou intensifie sa pression militaire sur l'Ukraine, en attendant, comme les Européens, l'arrivée à la Maison Blanche en janvier de l'imprévisible Donald Trump.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé jeudi la Russie d'avoir frappé son infrastructure énergétique avec des bombes à sous-munitions, minant de facto ces sites et compliquant les réparations, une escalade "méprisable".
Le président russe Vladimir Poutine a une nouvelle fois vanté jeudi la puissance de l'Orechnik, son missile hypersonique dernière génération conçu pour porter des têtes nucléaires, utilisé pour la première fois en Ukraine la semaine dernière.
La Russie a toujours été prête à utiliser l'arme nucléaire. Depuis le premier jour de l'invasion de l'Ukraine jusqu'à aujourd'hui.
«The Financial Times» a révélé, dimanche 24 novembre, que la Russie comptait dans ses rangs des rebelles houthis du Yémen, avec qui ils partagent un même adversaire, les Etats-Unis, pour continuer la guerre contre l’Ukraine.
Donald Trump a annoncé mercredi nommer l'ancien général Keith Kellogg, qui lui est très fidèle, comme émissaire pour l'Ukraine et la Russie. "Il est avec moi depuis le début! Ensemble, nous obtiendrons la paix par la force et nous rendrons l'Amérique et le monde sûrs à nouveau!", a écrit le président élu dans une publication sur son réseau Truth Social.
A l’approche de l’investiture de Donald Trump en janvier et du troisième anniversaire de l’invasion russe de l’Ukraine en février, le conflit s’accélère. C’est aux pays européens les plus déterminés d’organiser, d’urgence, la réponse à un éventuel désengagement américain.
Un tribunal russe a ordonné l'arrestation de Catherine Norris Trent, grand reporter pour France 24, a rapporté mardi l’agence de presse russe Tass. Accusée d'avoir pénétré "illégalement" dans la région frontalière russe de Koursk, la journaliste franco-britannique avait accompagné l'armée ukrainienne sur le terrain. France 24 rappelle que ce reportage "embarqué" est "protégé par les droits accordés aux journalistes en vertu de la convention de Genève et du droit international".
Moscou a rapporté mardi avoir été visé ces derniers jours par deux nouvelles frappes ukrainiennes réalisées à l'aide de missiles américains ATACMS, plusieurs missiles ayant "atteint leurs cibles".
Dans la perspective d’un désengagement américain vis-à-vis de Kiev en raison du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, Paris et Londres n’excluent pas de prendre la tête d’une coalition en Ukraine, selon des modalités qui restent à préciser.
Les autorités allemandes ont annoncé lundi qu’elles étaient en train de répertorier bunkers et abris où la population pourrait trouver refuge en cas d’attaque, souhaitant augmenter leur nombre, dans un contexte de tensions accrues avec la Russie. "Tous les bâtiments – propriétés privées comprises – qui pourraient servir d’abri, tels que les caves, les garages et les stations de métro" sont en train d’être inventoriés, a déclaré un porte-parole du ministère allemand de l’Intérieur, lors d’un point presse régulier à Berlin. "Un répertoire numérique de tous les bunkers sera établi afin que les gens puissent les trouver rapidement à l’aide de leur téléphone portable", a-t-il ajouté.
Le pape François a dénoncé lundi au Vatican "l'arrogance de l'envahisseur" en Ukraine mais aussi en "Palestine", une rare prise de position contre la politique israélienne, une semaine après avoir évoqué pour la première fois les accusations de "génocide" à Gaza.
"La Troisième Guerre mondiale a commencé", alerte l'ancien commandant en chef militaire de l'Ukraine
- Caroline VandenabeelePour l'ancien commandant en chef militaire ukrainien Valeri Zaloujny, la guerre en Ukraine est entrée dans une nouvelle dimension et s'apparente désormais à une Troisième Guerre mondiale.
Fortement impacté par les sanctions occidentales, le pétrole russe est aujourd'hui en grande difficulté et des raffineries pourraient fermer.
Plusieurs centaines de combattants yéménites combattent actuellement en Ukraine, révèle le “Financial Times”. Leur présence dans les rangs de l’armée russe montre que Moscou recrute de plus en plus de mercenaires étrangers à mesure que les pertes augmentent, l’objectif du Kremlin étant d’éviter une mobilisation générale.
Le président russe a directement menacé jeudi les alliés de l’Ukraine, après avoir lancé sur l’Ukraine un nouveau type de missile balistique, conçu pour porter une ogive nucléaire.
Selon l’Open Source Centre, un centre de recherches britannique, les pétroliers nord-coréens ont effectué plusieurs voyages vers la Russie depuis mars 2024.
Le président russe Vladimir Poutine a ordonné vendredi de produire en série et de continuer à tester au combat le nouveau missile balistique hypersonique Orechnik, utilisé la veille pour frapper l'Ukraine. Une arme inconnue jusque-là, testée pour la première fois par Moscou contre Kiev et comme une mise en garde à l'Occident.
Alors que les tirs inédits de missiles balistiques par la Russie sur Dnipro représentent un seuil supplémentaire dans l’escalade, les pays occidentaux affirment qu’ils ne se laisseront pas intimider et poursuivront leur soutien à l'Ukraine.