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Le porte-parole du Fatah à Gaza a appelé samedi le Hamas à quitter le pouvoir, afin de préserver la "présence des Palestiniens" sur ce territoire à l'heure où Israël intensifie ses opérations militaires et ses menaces de déplacer la population et d'annexer des pans de la bande de Gaza.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé ce vendredi avoir ordonné à l’armée de «saisir davantage de territoire à Gaza» qui pourra selon lui être «annexé» à Israël si le Hamas ne libère pas les otages. [...] Une rare critique du président israélien envers Benyamin Nétanyahou. Alors que l’armée israélienne poursuit ce vendredi son opération au sol dans le sud de la bande de Gaza, le président israélien Isaac Herzog s’est dit «troublé» par la reprise des combats.
Le ministre israélien de la Défense a menacé vendredi d'annexer des parties de Gaza [...] "J'ai donné l'ordre à (l'armée) de saisir davantage de territoire à Gaza, tout en évacuant la population, et d'étendre les zones de sécurité (le long de la frontière à l'intérieur de la bande) de Gaza pour protéger les localités israéliennes", a déclaré vendredi le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, dans un communiqué.
Les bombardements font suite « au refus répété du Hamas de libérer » les otages, selon Israël. Le ministère de la santé du Hamas fait état de 330 morts à Gaza.
Le cessez-le-feu rompu. Israël a mené dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 mars des frappes d’une ampleur sans précédent sur la bande de Gaza depuis l’entrée en vigueur de la trêve, il y a deux mois. Celles-ci ont fait au moins 413 morts et «des centaines de blessés», selon la Défense civile du territoire palestinien, déclenchant immédiatement de multiples réactions à l’international.
Les représentants du Soudan, interrogés par Associated Press, ont déclaré qu’ils avaient rejeté l’offre de Washington, tandis que ceux de la Somalie et du Somaliland ont déclaré qu’ils n’étaient au courant d’aucun contact.
Selon l’agence Associated Press, les administrations américaines et israéliennes ont pris contact avec le Soudan, la Somalie et le Somaliland. L’objectif serait d’y installer les 2 millions d’habitants de Gaza délogés à cause de la guerre dans le cadre du plan de Trump.
Une commission d’enquête des Nations Unies estime ce jeudi 13 mars que «les autorités israéliennes ont en partie détruit la capacité des Palestiniens à Gaza - en tant que groupe - à faire des enfants». Israël «rejette catégoriquement» ces accusations.
Alors que la trêve vacille, Tel-Aviv prive Gaza de sa dernière source d’électricité extérieure. Une stratégie qui vise à forcer le groupe islamiste à céder sur la gouvernance future de l’enclave, mais qui aggrave une situation humanitaire déjà critique.
Après avoir coupé, dimanche dernier, l’aide humanitaire à Gaza, Israël a annoncé ce dimanche couper l’approvisionnement en électricité de la zone. Cette annonce a été faite par le ministre de l’Energie Eli Cohen.
Les pays musulmans se sont réunis vendredi en Arabie saoudite pour discuter du plan arabe pour la reconstruction de Gaza, adopté en réponse à la proposition du président américain Donald Trump de prendre le contrôle du territoire palestinien.
Il s’agissait, selon le groupe Action Palestine, qui a revendiqué l’action, d’une réponse face à «la manière dont Donald Trump traite Gaza, comme s’il s’agissait de sa propriété dont il peut disposer à sa guise».
Donald Trump a lancé mercredi un "dernier avertissement" au Hamas, l'enjoignant de libérer les otages, sans quoi le "peuple de Gaza" risque "la mort", le jour même où Washington a confirmé avoir eu des contacts directs avec le mouvement islamiste palestinien.
Lors d’un sommet organisé au Caire à l’initiative du président Sissi, les dirigeants de la Ligue arabe ont adopté ce mardi 4 mars un plan alternatif à celui proposé par Donald Trump, qui envisage le déplacement des Palestiniens.
Israël exige la "démilitarisation totale de la bande de Gaza" pour passer à la mise en oeuvre de la deuxième phase de l'accord de trêve conclu en janvier avec le Hamas par le biais d'une médiation internationale, a déclaré mardi le ministre des Affaires étrangères israélien.
L'Egypte a présenté un plan de 53 milliards de dollars pour reconstruire Gaza sur cinq ans, axé sur les secours d'urgence, la reconstruction et le développement économique à long terme, selon un projet de document que l'AFP a pu consulter.
Le sommet arabe a appelé mardi à unifier les rangs palestiniens sous la direction de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), ce qui aurait pour effet de mettre à l'écart le mouvement islamiste Hamas qui n'en fait pas partie.
Une enquête interne de l'armée israélienne sur l'attaque du 7 octobre a reconnu l'"échec total" de l'armée à empêcher l'attaque de commandos du Hamas à partir de Gaza, qui a fait plus d'un millier de morts en Israël, a déclaré un responsable militaire jeudi.
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme a rejeté mercredi les "propositions" d’annexion ou de transfert forcé des populations des Territoires palestiniens occupés, qui pourraient "menacer" toute la région.
Le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a reporté sine die sa visite, prévue le 18 février, à Washington, où il devait discuter avec Donald Trump de l’avenir de Gaza et du plan concernant le “trumpsfert” de 2 millions de Palestiniens. Au risque de perdre le soutien financier et politique américain, explique le site d’information “Daraj”.
Le chef de l'opposition israélienne, Yaïr Lapid, a proposé mardi que l'Egypte assume la responsabilité de la bande de Gaza pour huit ans une fois la guerre terminée, en échange d'un allégement massif de sa dette.
Historienne et anthropologue, directrice de recherche au CNRS, Stéphanie Latte Abdallah est spécialiste du Moyen-Orient. Elle explique à Vert pourquoi l’écologie palestienne qu’elle qualifie d’«existentielle» est une forme de résistance à la destruction d’une terre et du peuple qui y vit.
Huit dirigeants arabes se réunissent, vendredi, en Arabie saoudite, pour discuter d'un projet alternatif à celui exposé par Donald Trump sur l'avenir de Gaza. Un plan égyptien en trois phases est à l'étude.
Le Hamas est prêt à libérer tous les otages restants dans la bande de Gaza, lors de la deuxième phase de la trêve entre le mouvement islamiste palestinien et Israël après 15 mois de guerre, a déclaré mercredi l'un de ses responsables.
Un État israélo-palestinien unique représente une possibilité crédible, à condition que des concessions importantes soient faites de part et d’autre.
Le 4 février, le président américain, Donald Trump, annonçait vouloir prendre le contrôle de la bande de Gaza et “transférer” sa population palestinienne en Jordanie et en Égypte. La proposition a fait l’effet d’une bombe, mais elle n’est pas nouvelle, rappelle le quotidien israélien “Ha’Aretz”.
Le président américain a promis lundi un “enfer” si le Hamas ne relâchait pas tous les otages israéliens d’ici à samedi, après la menace du mouvement islamiste palestinien de reporter la prochaine libération prévue par le cessez-le-feu en vigueur à Gaza.
Le président américain exige qu’Israël annule l’accord de cessez-le-feu si les otages ne sont pas « tous ramenés avant samedi midi ». Une réclamation qui va plus loin que l’accord de trêve qui se déroule depuis le 19 janvier.
Joseph Pelzman a envoyé un rapport de 49 pages à Donald Trump pour essayer de trouver des solutions. Objectif : transformer Gaza comme la Côte d'Azur du Moyen-Orient. Un pari aussi fou que contraire au droit international.
Le président des Etats-Unis affirme que les palestiniens déportés dans le cadre de son projet pour reconstruire la bande de Gaza n’auront pas le droit de revenir sur leurs terres, apprend-on ce lundi 10 février.


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mars 2025

Le porte-parole du Fatah à Gaza a appelé samedi le Hamas à quitter le pouvoir, afin de préserver la "présence des Palestiniens" sur ce territoire à l'heure où Israël intensifie ses opérations militaires et ses menaces de déplacer la population et d'annexer des pans de la bande de Gaza.
Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé ce vendredi avoir ordonné à l’armée de «saisir davantage de territoire à Gaza» qui pourra selon lui être «annexé» à Israël si le Hamas ne libère pas les otages. [...] Une rare critique du président israélien envers Benyamin Nétanyahou. Alors que l’armée israélienne poursuit ce vendredi son opération au sol dans le sud de la bande de Gaza, le président israélien Isaac Herzog s’est dit «troublé» par la reprise des combats.
Le ministre israélien de la Défense a menacé vendredi d'annexer des parties de Gaza [...] "J'ai donné l'ordre à (l'armée) de saisir davantage de territoire à Gaza, tout en évacuant la population, et d'étendre les zones de sécurité (le long de la frontière à l'intérieur de la bande) de Gaza pour protéger les localités israéliennes", a déclaré vendredi le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, dans un communiqué.
Les bombardements font suite « au refus répété du Hamas de libérer » les otages, selon Israël. Le ministère de la santé du Hamas fait état de 330 morts à Gaza.
Le cessez-le-feu rompu. Israël a mené dans la nuit du lundi 17 au mardi 18 mars des frappes d’une ampleur sans précédent sur la bande de Gaza depuis l’entrée en vigueur de la trêve, il y a deux mois. Celles-ci ont fait au moins 413 morts et «des centaines de blessés», selon la Défense civile du territoire palestinien, déclenchant immédiatement de multiples réactions à l’international.
Les représentants du Soudan, interrogés par Associated Press, ont déclaré qu’ils avaient rejeté l’offre de Washington, tandis que ceux de la Somalie et du Somaliland ont déclaré qu’ils n’étaient au courant d’aucun contact.
Selon l’agence Associated Press, les administrations américaines et israéliennes ont pris contact avec le Soudan, la Somalie et le Somaliland. L’objectif serait d’y installer les 2 millions d’habitants de Gaza délogés à cause de la guerre dans le cadre du plan de Trump.
Une commission d’enquête des Nations Unies estime ce jeudi 13 mars que «les autorités israéliennes ont en partie détruit la capacité des Palestiniens à Gaza - en tant que groupe - à faire des enfants». Israël «rejette catégoriquement» ces accusations.
Alors que la trêve vacille, Tel-Aviv prive Gaza de sa dernière source d’électricité extérieure. Une stratégie qui vise à forcer le groupe islamiste à céder sur la gouvernance future de l’enclave, mais qui aggrave une situation humanitaire déjà critique.
Après avoir coupé, dimanche dernier, l’aide humanitaire à Gaza, Israël a annoncé ce dimanche couper l’approvisionnement en électricité de la zone. Cette annonce a été faite par le ministre de l’Energie Eli Cohen.
Les pays musulmans se sont réunis vendredi en Arabie saoudite pour discuter du plan arabe pour la reconstruction de Gaza, adopté en réponse à la proposition du président américain Donald Trump de prendre le contrôle du territoire palestinien.
Il s’agissait, selon le groupe Action Palestine, qui a revendiqué l’action, d’une réponse face à «la manière dont Donald Trump traite Gaza, comme s’il s’agissait de sa propriété dont il peut disposer à sa guise».
Donald Trump a lancé mercredi un "dernier avertissement" au Hamas, l'enjoignant de libérer les otages, sans quoi le "peuple de Gaza" risque "la mort", le jour même où Washington a confirmé avoir eu des contacts directs avec le mouvement islamiste palestinien.
Lors d’un sommet organisé au Caire à l’initiative du président Sissi, les dirigeants de la Ligue arabe ont adopté ce mardi 4 mars un plan alternatif à celui proposé par Donald Trump, qui envisage le déplacement des Palestiniens.
Israël exige la "démilitarisation totale de la bande de Gaza" pour passer à la mise en oeuvre de la deuxième phase de l'accord de trêve conclu en janvier avec le Hamas par le biais d'une médiation internationale, a déclaré mardi le ministre des Affaires étrangères israélien.