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écologie
L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
Dans cette conférence sur la chaîne France Nature Environnement Haute Savoie l’astrophysicien et philosophe Aurélien Barrau professeur à l’Université Grenoble Alpes directeur du Centre de Physique Théorique Grenoble Alpes et chercheur au LPSC CNRS explore la transformation nécessaire de notre modèle agricole et économique pour le rendre vivable pour les praticiens et soutenable pour la Terre il insiste sur la responsabilité collective la justice sociale la réduction du temps de travail la sobriété matérielle et l’importance d’une vision systémique au delà des réponses individuelles il évoque les enjeux de la formation des élites la critique de la croissance matérielle la place du vivant la solidarité locale et la recherche de sens mots clés écologie agriculture transition écologique décroissance modèle agricole CO2 emploi collectif politique public sobriété résilience effondrement formation élites université Grenoble sciences philosophie poésie
Au cours des premiers débats budgétaires, le Rassemblement national a tenté de détricoter la fiscalité écologique et de supprimer l’Office français de la biodiversité et l’Agence bio. Sans succès.
« L’avenir n’est pas un destin écrit, c’est une décision collective. » L’humanité a franchi toutes les frontières visibles. Du feu à la roue, de la poudre à canon à la bombe atomique, de la voile au saut vers la Lune. Nous avons ouvert la croûte terrestre pour en extraire des minéraux, construit des villes qui brillent comme des étoiles artificielles, connecté la planète entière en quelques secondes, et pourtant nous sommes toujours prisonniers des mêmes guerres tribales d’il y a 3 900 ans, aujourd’hui maquillées de drones, d’algorithmes et d’ogives nucléaires.
L’effondrement écologique est tout sauf un fantasme millénariste : c’est une réalité documentée, incontestable. Les émissions de CO2 continuent à augmenter au niveau mondial, la biodiversité animale et végétale est anéantie à un rythme toujours plus accéléré, le cycle de l’eau est profondément perturbé, les diverses formes de pollution continuent à transformer le monde entier en poubelle (notamment en poubelle à micro-plastiques), les points de bascule irréversibles sont atteints et franchis les uns après les autres, etc. Pas la peine de dresser ici une énième fois et dans le détail un tableau apocalyptique, on peut aller directement à la conclusion, qui est assez évidente : une partie de l’espèce humaine, la plus riche, la plus soumise à la folie productiviste et consumériste, la plus inconsciente, la plus égoïste, est en train de rendre la Terre inhabitable.
15 controverses éclairées par la science pour avancer sur les transitions agricoles et alimentaires Projet issus de la collaboration de 19 co-autrices et auteurs, coordonné par Viviane Trèves
Bilan personnel et intellectuel d’une décennie de réflexion sur nos trajectoires. Peurs, doutes, effondrement, anarchie, révolution, vivant, entraide et sérénité. Biologiste de formation, chercheur indépendant et auteur majeur de la pensée écologique contemporaine, Pablo Servigne revient dix ans après "Comment tout peut s’effondrer" pour faire le point : Qu’est-ce que l’effondrement voulait dire, et que veut-il encore dire aujourd’hui ? Pourquoi nos sociétés semblent conscientes mais inertes ? Et comment rester humain, lucide et vivant dans une époque en perte de sens ?
Depuis trente ans, l’écologie mondiale a eu un visage, celui du changement climatique. Mais il est temps d’élargir notre regard.
Pionnier des écovillages, Findhorn prouve depuis six décennies qu’autonomie et durabilité peuvent aller de pair. Énergie éolienne, chauffage biomasse et potager collectif : ici, tout est pensé pour réduire l’impact environnemental. Déterminée à aller plus loin, la communauté s’engage sur un nouveau cap : la neutralité carbone d’ici 2032. Entre habitat éco-construit et vie communautaire, ce village écossais trace la voie d’un futur plus vert.
Sujet tabou, la droite aurait pourtant beaucoup à gagner en se saisissant de ces dossiers, analyse Ferréol Delmas, directeur général du think tank Ecologie responsable.
Le 25 mai 1970, un mois à peine après le premier Jour de la Terre qui vit des millions d’Américains manifester pour la défense de l’environnement, le New York Times évoquait déjà l’hypothèse d’un ecological backlash, d’un retour de bâton contre l’écologie. La menace n’était pas prise au sérieux. La vague environnementaliste semblait portée par la démocratie américaine elle‑même.
Le groupe Anti-tech Résistance développe sa notoriété dans le milieu écologiste grâce à une communication tapageuse. Son idéologie lui attire l’hostilité d’une large part du mouvement social, qui la qualifie de réactionnaire.
William Benedetto, directeur du cinéma l’Alhambra à Marseille, et Samah Karaki, neuroscientifique, évoquent la place de la science et de la culture dans l’écologie et affirment la volonté de la rendre accessible à tous.
Un équipage composé de militantes s’apprête à traverser l’Atlantique en voilier, pour rejoindre la COP30. Parmi elles, Maïté Meeûs et Mariam Touré, dont les combats féministes et antiracistes viennent élargir le récit écologique.
Notre ancien collègue, influenceur et animateur radio, notamment sur Tarmac, Vinz Kanté, a complètement revu son mode de vie après le Covid. Il a fondé la chaîne YouTube LIMIT qui s’intéresse aux limites planétaires, aux enjeux écologiques et sociétaux. Pour bien comprendre dans quelle direction l’humanité est en train de se diriger et éveiller les consciences, il vient de sortir son premier livre : « Reprendre le contrôle » aux éditions Tana. TARMAC a eu la chance de retrouver Vinz à cette occasion.
Anne Trombini, directrice générale de l’association Pour une Agriculture du Vivant, insiste sur l’urgence de repenser nos modes de production et de coopération pour garantir l’avenir de notre alimentation.
« Je n’ai jamais vu ça », dit son avocate. Rachel, 23 ans, a été condamnée à 6 mois de prison ferme pour avoir aspergé l’hôtel Matignon de peinture à l’eau. La militante du collectif Dernière rénovation va faire appel.
La coprésidente d’Ecolo fustige le « choix de société » des majorités actuelles au fédéral et en Wallonie. Elle pointe l’absence de toute préoccupation pour le changement climatique alors que l’opinion s’inquiète et s’engage et que les entreprises veulent avancer.
En mars dernier, je constatais une évolution des discours écologiques : enfin, en 2025, le pouvoir d'achat intégrait le débat (voir ce post : https://lnkd.in/dP3C7NzF). […] ❓ J’interpelais alors certains acteurs sur la difficulté à énoncer que la contrainte environnementale (l'impossible développement infini dans un monde fini) allait nécessairement impacter la production de richesse
Dans le plus grand pays musulman au monde, où des mosquées en plastique recyclée et balles de riz sont en construction, la religion joue un rôle de plus en plus central dans la lutte contre le réchauffement climatique.
Why Environmental Writing Isn’t Resonating As Much Anymore Active hope, not optimism. And why facts alone no longer move people. Environmental pieces aren’t landing like they used to. Writers, researchers, and activists are noticing the shift: climate content that once sparked engagement now fades into the background. The question isn’t whether people care about the planet — it’s that many readers are moving past narratives of awareness and individual action (or at least I think they should!). They want to understand power. They want to understand systems. They want hope rooted in collective transformation, not optimism sold as personal therapy. We Know the Planet Is Dying. So Now What?
Sauver à la fois des emplois et la planète, c'est possible. À l'occasion de la grande mobilisation intersyndicale organisée partout en France ce jeudi, Vert vous raconte cinq luttes récentes qui ont soudé travailleur·ses et écologistes.
Le parti d’extrême droite a fait sa rentrée politique ce week-end et a lancé sa campagne municipale tout en appelant à des élections législatives anticipées. Entre désir d’incarner «l’alternance» et obsession migratoire, les cadors du RN ont réservé quelques saillies aux énergies renouvelables et aux politiques sur l'écologie. Vert était sur place.
Au Parlement européen, les députés RN et leurs alliés ont noué une alliance de fait avec la droite pour saborder les régulations et les objectifs du Pacte vert. Et ne rechignent pas – à rebours de leurs (…)
Une question se pose aux écologistes : comment stopper le « backlash » contre l’écologie, cette offensive réactionnaire contre les politiques soutenues et développées depuis près de vingt ans ? Car un constat terrible s’impose : les politiques écologiques se heurtent à la défiance, voire à l’hostilité, des classes populaires, notamment hors des grandes agglomérations.
Le parti à la flamme lance sa campagne pour les prochaines élections municipales, ce dimanche à Bordeaux. L’écologie sera-t-elle mentionnée ? Au moins pour fustiger les idées des formations de gauche, jugées «punitives». Vert s’est penché sur l’évolution de la doctrine du Rassemblement national sur les questions liées au changement climatique.
À contre-courant du défaitisme ambiant, Lucie Pinson obtient des victoires écologiques décisives. Ses méthodes ? Développer une expertise de haut niveau ; révéler des informations ; négocier et accompagner ; parfois occuper le siège d’une banque et y déverser des tonnes de charbon. Lauréate du prix Goldman, équivalent d’un Nobel environnemental, elle nous entraîne dans ses combats contre des grands projets d’infrastructures fossiles aux États-Unis, en Australie, en Indonésie et en Ouganda. D’abord impliquée aux côtés des Amis de la Terre, elle a ensuite fondé Reclaim Finance en 2020. Cette ong compte aujourd’hui 42 salariés et entend mettre enfin le système financier au service des impératifs sociaux et écologiques.
En pleine révolution industrielle, la Britannique Octavia Hill s’est battue pour que les plus pauvres aient accès à une nature non détériorée, pour que les villes se végétalisent, et contre la pollution atmosphérique urbaine.
La primaire du Green Party d’Angleterre et du Pays de Galles est bousculée par un candidat « écopopuliste » qui veut bâtir à gauche un succès qui puisse rivaliser avec l’extrême droite.