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Mayotte
Le ministre des Outre-mer a donné ce vendredi 31 janvier une idée de l’enveloppe budgétaire nécessaire pour reconstruire l’archipel dévasté, avant d’assurer que l’Etat sera au «rendez-vous en termes de financement».
Dans le 101ème département français, les vents dévastateurs de décembre dernier ont tout emporté sur leur passage : cocotiers, manguiers, bananiers... Les habitant·es sont nombreux·ses à ne plus manger que du riz importé. Vert est allé à la rencontre d’agriculteur·ices qui ont tout perdu.
Mayotte panse ses plaies après le passage du cyclone Chido il y a un mois puis la tempête Dikeledi le weekend dernier. La vie reprend peu à peu dans l'archipel où les équipes municipales sont à pied d'oeuvre pour nettoyer les routes inondées, recouvertes d'arbres et autres débris transportés par les vents et les eaux.
De premières inondations ont été signalées sur la côte sud, notamment dans le village de Mbouini, une des rares localités à avoir été épargnées par le cyclone Chido, qui a ravagé l’île il y a moins d’un mois.
L’alerte est en vigueur depuis 9 heures, vendredi matin. Des rafales de vent de 90 km/h à 100 km/h sont attendues, ainsi que de fortes précipitations discontinues dès samedi soir.
Alors que l’on ne connaît toujours pas le nombre de décès consécutifs au passage du Cyclone Chido, qui a ravagé Mayotte
Quelle est la situation sur le petit archipel français de l’océan indien violemment frappé par le cyclone Chido voilà six jours ? Pourquoi le recensement des morts est-il si difficile à établir ? L’aide parvient-elle à être acheminée ? Quid de la reconstruction ? France 24 fait le point après la visite du président Emmanuel Macron à Mayotte.
Le cyclone Chido a eu des conséquences dramatiques à cause d’une combinaison de facteurs : sa puissance, sa trajectoire et des infrastructures très fragiles.
Plusieurs centaines voire quelques milliers de morts, c'est le lourd bilan qui pourrait être attribué au cyclone Chido qui vient de frapper Mayotte.
Le cyclone Chido, classé en catégorie 4 sur l’échelle Saffir Simpson (qui jauge l’intensité des tempêtes tropicales de 1 à 5), a ravagé les îles de Mayotte samedi. À cette heure-ci, les autorités font état de 20 morts - un bilan provisoire qui pourrait rapidement grimper à plusieurs centaines de victimes.
Le cyclone Chido a, selon les autorités, probablement causé des centaines ou même des milliers de victimes sur l’archipel français. Mais cette catastrophe n’est pas seulement un désastre naturel, c’est aussi un désastre politique, observe la presse étrangère.
Le cyclone tropical Chido a frappé Mayotte, samedi 14 décembre, avec une violence “exceptionnelle”, provocant des dégâts considérables. Les premières informations font état de deux morts mais les autorités craignent que le bilan ne s’alourdisse sensiblement dans les prochains jours.
Le cyclone Chido s'est abattu samedi matin sur l'archipel de l'océan Indien, placé en alerte violette, le plus haut niveau, provoquant d'importants dégâts. "La situation est catastrophique", a déploré le président de l'association des maires. ,
Les habitants de Mayotte se préparent au passage de Chido, un cyclone tropical intense qui s’apprête à balayer tôt samedi matin l’archipel de l’océan Indien, placé en alerte maximale.
Selon le ministère de l’intérieur, 1 600 policiers et gendarmes sont déployés. Aucun bilan humain ou matériel n’a pu être établi par les autorités à ce stade.
L’archipel de l’océan indien a été frappé ce samedi 14 décembre par un cyclone particulièrement violent. Au moins deux personnes sont mortes et une cellule interministérielle de crise doit se tenir dans la soirée.
Selon le météorologue François Gourand, la puissance du phénomène qui s’est abattu sur le territoire français ce samedi tient à deux raisons : il a directement frappé l’archipel et a été dopé par des eaux particulièrement chaudes.
Des chercheurs de l’Institut Pasteur retracent, dans une étude publiée mercredi, le parcours de la souche de choléra responsable des principales épidémies des dernières années.
Jusqu’alors coupée pendant vingt-six heures consécutives tous les deux jours, l’eau du robinet est désormais inaccessible pendant trente heures dans ce département français de l’océan Indien en proie à une hausse de la consommation.
Depuis lundi, l’accès à l’eau est une nouvelle fois réduit sur l’archipel pour faire face, disent les autorités, à une hausse de la consommation. Le robinet est désormais coupé jusqu’à deux jours et demi par semaine chez les Mahorais.
L’incident de l’usine d’Ourovéni intensifie les coupures d’eau dans plusieurs communes de Grande-Terre (Chiconi, Dembéni, Sada, Ouangani, Bandrélé, Chirongui, Bouéni et certains villages de Kani-Kéli).
"On est venu expliquer comment protéger la mangrove, en arrêtant de jeter des déchets". Sérieuse comme un professeur, Aïnati joue les guides d'un jour au milieu des racines tentaculaires des palétuviers qui s'engouffrent dans le sol vaseux de Mayotte.
Une femme de 62 ans est morte samedi 25 mai du choléra dans le département français touché par l’épidémie depuis le mois de mars et où une centaine de cas ont été recensés.
- France24
Le nombre de cas de choléra à Mayotte s'élève désormais à 85, selon un nouveau bilan communiqué vendredi par l'Agence nationale de santé publique qui a aussi appelé à la mobilisation de nouveaux réservistes sanitaires. Selon un syndicat infirmier qui œuvre à la vaccination sur place, "le nombre de cas réels est bien plus élevé".
La grande majorité des cas ont été détectés dans la commune de Koungou, dans un quartier précaire présentant des difficultés d’accès à l’eau potable et des défauts d’assainissement. L’épidémie a fait un mort, une fillette de 3 ans
- France24
Un enfant de 3 ans est mort du choléra à Mayotte, ont annoncé l'agence régionale de santé et la préfecture dans un communiqué mercredi. Il s'agit du premier décès enregistré sur le territoire depuis la détection d'un premier cas mi-mars.
Le nombre de cas de choléra à Mayotte, département d'outre-mer de l'océan Indien, a doublé, passant de 13 à 26 en deux jours, ont rapporté dimanche la préfecture et l'Agence régionale de santé. France 24 fait le point sur la situation sanitaire de l'archipel, où le système de santé est déjà très fragile et où la pénurie d’eau potable persiste.
La préfecture et de l’Agence régional de santé ont annoncé l’ouverture d’une nouvelle «unité choléra» pour prendre en charge les patients.
Il s’agit des premiers cas à découler d’une contamination interne au département de l’océan Indien. Ils ont été « identifiés dans la commune de Koungou », au nord de Mamoudzou, a précisé l’agence régionale de santé, vendredi.
Trois premiers cas de choléra "autochtones" ont été identifiés à Mayotte, où dix cas importés avaient été recensés depuis mi-mars chez des migrants en provenance notamment des Comores voisines, a annoncé vendredi l'Agence régionale de santé (ARS). Ces cas, les premiers à découler d'une con...
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Le ministre des Outre-mer a donné ce vendredi 31 janvier une idée de l’enveloppe budgétaire nécessaire pour reconstruire l’archipel dévasté, avant d’assurer que l’Etat sera au «rendez-vous en termes de financement».
Dans le 101ème département français, les vents dévastateurs de décembre dernier ont tout emporté sur leur passage : cocotiers, manguiers, bananiers... Les habitant·es sont nombreux·ses à ne plus manger que du riz importé. Vert est allé à la rencontre d’agriculteur·ices qui ont tout perdu.
Mayotte panse ses plaies après le passage du cyclone Chido il y a un mois puis la tempête Dikeledi le weekend dernier. La vie reprend peu à peu dans l'archipel où les équipes municipales sont à pied d'oeuvre pour nettoyer les routes inondées, recouvertes d'arbres et autres débris transportés par les vents et les eaux.
De premières inondations ont été signalées sur la côte sud, notamment dans le village de Mbouini, une des rares localités à avoir été épargnées par le cyclone Chido, qui a ravagé l’île il y a moins d’un mois.
L’alerte est en vigueur depuis 9 heures, vendredi matin. Des rafales de vent de 90 km/h à 100 km/h sont attendues, ainsi que de fortes précipitations discontinues dès samedi soir.
Alors que l’on ne connaît toujours pas le nombre de décès consécutifs au passage du Cyclone Chido, qui a ravagé Mayotte
Quelle est la situation sur le petit archipel français de l’océan indien violemment frappé par le cyclone Chido voilà six jours ? Pourquoi le recensement des morts est-il si difficile à établir ? L’aide parvient-elle à être acheminée ? Quid de la reconstruction ? France 24 fait le point après la visite du président Emmanuel Macron à Mayotte.
Le cyclone Chido a eu des conséquences dramatiques à cause d’une combinaison de facteurs : sa puissance, sa trajectoire et des infrastructures très fragiles.
Plusieurs centaines voire quelques milliers de morts, c'est le lourd bilan qui pourrait être attribué au cyclone Chido qui vient de frapper Mayotte.
Le cyclone Chido, classé en catégorie 4 sur l’échelle Saffir Simpson (qui jauge l’intensité des tempêtes tropicales de 1 à 5), a ravagé les îles de Mayotte samedi. À cette heure-ci, les autorités font état de 20 morts - un bilan provisoire qui pourrait rapidement grimper à plusieurs centaines de victimes.
Le cyclone Chido a, selon les autorités, probablement causé des centaines ou même des milliers de victimes sur l’archipel français. Mais cette catastrophe n’est pas seulement un désastre naturel, c’est aussi un désastre politique, observe la presse étrangère.
Le cyclone tropical Chido a frappé Mayotte, samedi 14 décembre, avec une violence “exceptionnelle”, provocant des dégâts considérables. Les premières informations font état de deux morts mais les autorités craignent que le bilan ne s’alourdisse sensiblement dans les prochains jours.
Le cyclone Chido s'est abattu samedi matin sur l'archipel de l'océan Indien, placé en alerte violette, le plus haut niveau, provoquant d'importants dégâts. "La situation est catastrophique", a déploré le président de l'association des maires. ,
Les habitants de Mayotte se préparent au passage de Chido, un cyclone tropical intense qui s’apprête à balayer tôt samedi matin l’archipel de l’océan Indien, placé en alerte maximale.
Selon le ministère de l’intérieur, 1 600 policiers et gendarmes sont déployés. Aucun bilan humain ou matériel n’a pu être établi par les autorités à ce stade.