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Nestlé
Samedi, Mediapart a révélé que les eaux Contrex et Hépar, produites dans les Vosges par le géant de l’agroalimentaire Nestlé, sont massivement contaminées aux microplastiques. Un énième rebondissement dans ce scandale qui a éclaté il y a plus d’un an. Vert fait le point.
Nestlé Waters est poursuivi pour avoir stocké des déchets et maintenu quatre décharges sauvages dans les Vosges. Le procès se tiendra du 24 au 28 novembre. Des taux de pollution de microplastiques « incommensurables » ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l’enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle Mediapart dans un article paru samedi 9 août.
Des taux de pollution aux microplastiques "incommensurables" ont été retrouvés dans les eaux Contrex et Hépar, selon le magistrat chargé de l'enquête préliminaire dans le cadre des poursuites contre Nestlé Waters concernant des décharges sauvages de déchets polluants dans les Vosges, révèle samedi Mediapart.
Nestlé Waters est soupçonné d’avoir laissé plusieurs décharges sauvages de déchets plastiques - l’équivalent de 126 piscines olympiques - s’écouler dans les sols vosgiens. La multinationale suisse dément.
Nestlé a déposé une nouvelle demande d’autorisation pour continuer à exploiter seulement deux puits sur cinq sur le site Perrier. Le préfet du Gard demande au groupe de prouver que son eau reste naturellement pure, après le retrait annoncé des filtres illégaux.
L’association de consommateurs entend dénoncer l’immobilisme des pouvoirs publics et les tromperies de Nestlé via plusieurs actions en justice annoncées ce mardi 3 juin.
La marque du groupe Nestlé voit sa consommation chuter de 24 % en avril par rapport au même mois l’année dernière, selon des données révélées par France Info ce mardi 27 mai.
Les conclusions de la commission d’enquête sénatoriale sur les eaux en bouteille, révélées par « Le Monde » et Radio France, montrent comment les services de l’Etat ont édulcoré un rapport soulignant des contaminations des sources Perrier à la demande du géant suisse.
Nestlé filtre l’eau de sa source de Vergèze, dans le Gard, pour faire face à des épisodes répétés de pollution chimique ou par des bactéries fécales. Ces contaminations pourraient être liées à la surexploitation des nappes par le numéro un mondial des eaux en bouteille.
Le rapport de la commission d'enquête sénatoriale sur le scandale des eaux en bouteille qui frappe Nestlé Waters fournit de nouvelles révélations sur l'implication de l'Etat dans ce dossier. L'industriel serait intervenu auprès de l'Agence régionale de santé pour modifier un rapport en sa faveur.
Lenteur, fausse route, manque de transparence… Alors que le rapport de la commission d’enquête du Sénat sera rendu lundi 19 mai, «Libé» raconte les coulisses de la gestion gouvernementale du dossier de la fraude aux eaux minérales.
Un communiqué du Sénat indique ce lundi 12 avril que le président de la commission d’enquête Laurent Burgoa (LR) a décidé de saisir la justice, après l’audition le 26 mars du directeur industriel de Ronan Le Fanic.
Le géant suisse de l’agroalimentaire, qui vient de publier des ventes en hausse au premier trimestre, est globalement peu touché par les fraudes aux eaux minérales concernant Vittel et Perrier. Mais l’entreprise a entamé un processus de désengagement de l’activité des eaux, comme il s’était séparé de l’activité de pizzas surgelées après le scandale Buitoni.
D’après les informations de la cellule investigation de Radio France, de nouvelles contaminations bactériologiques mettent à mal le label «eau minérale naturelle» de la marque de Nestlé, ce qui pourrait signer sa disparition.
Le directeur général du groupe a joué l’agent conciliateur devant la commission d’enquête du Sénat après les auditions mouvementées de deux dirigeantes du groupe empêtré dans un scandale aux eaux en bouteilles. […] «Oui, des traitements non conformes ont été mis en place, ce n’est pas admissible et cela n’aurait jamais dû l’être», a désamorcé Laurent Freixe, au début de son intervention. Et «de réitérer ses plus sincères regrets pour cette situation du passé qui n’était pas en phase avec les valeurs de notre groupe».
La commission d'enquête sénatoriale sur le scandale des eaux en bouteille contaminées confirme l'implication de l'Elysée.
Une information judiciaire a été ouverte le 13 février par un juge du pôle santé du tribunal de Paris à propos du traitement, possiblement illicite, des eaux minérales du géant suisse, selon une information du «Monde» et de Radio France.
Mardi 4 février 2025, de nouveaux documents révélés par la presse française dénoncent une entente entre l’État et Nestlé dans l’affaire des eaux minérales filtrées illégalement par la multinationale suisse. En attendant les résultats de la commission d’enquête sénatoriale, Emmanuel Macron a nié toute “connivence”.
Des mails et des notes ministérielles révélés par « Le Monde » et Radio France montrent comment l’exécutif a autorisé le groupe suisse à continuer à commercialiser ses eaux en bouteille (Perrier, Vittel, Hépar, Contrex) avec des filtres illégaux.
Selon l’enquête du « Monde » et Radio France, de nombreux échanges de courriels et de notes ministérielles montrent que l’Elysée et Matignon ont privilégié les intérêts de la multinationale au détriment de ceux des consommateurs.
Selon les informations du « Monde » et de Radio France, le numéro 1 mondial des eaux en bouteille (Perrier, Vittel, Contrex…) tente d’utiliser cette procédure pour se soustraire à la commission d’enquête sénatoriale chargée de faire la lumière sur cette affaire, révélée début 2024.
Les dernières révélations de la cellule investigation de Radio France et du journal Le Monde sur le traitement de l’eau minérale naturelle sur le site de Perrier à Vergèze, dans le sud de la France, appartenant au groupe Nestlé Waters, pose question. En Belgique, une quinzaine de sources d’eau minérale naturelle sont exploitées (Bru, Thermale, Valvert, Spa Reine, etc.). Quelles sont les règles en la matière ? Comment sont-elles contrôlées ? Mais tout d’abord qu’est-ce qu’une eau minérale naturelle ?
En raison de risques sanitaires, l’Agence régionale de santé d’Occitanie envisage «un arrêt de la production d’eau minérale naturelle sur le site de Vergèze», dans le Gard, révèlent ce lundi 16 décembre les deux médias.
La synthèse d’un rapport sur les traitements interdits utilisés par Nestlé sur ses eaux en bouteille adopté ce mercredi 16 octobre au Sénat dénonce l’opacité «de certains acteurs privés comme public». Une commission d’enquête va être créée.
L’ONG Foodwatch, qui conteste l’accord judiciaire signé avec Nestlé pour éteindre les poursuites, dépose deux plaintes contre X pour « tromperie ».
L’association de défense des consommateurs a déposé ce mercredi 25 septembre deux nouvelles plaintes pour les traitements de purification illégaux auxquels les deux géants de l’eau en bouteille ont eu recours.
La filiale du groupe suisse s’apprête à payer 2 millions d’euros après avoir conclu une convention judiciaire d’intérêt public (CJIP) avec le parquet d’Epinal, mardi 10 septembre 2024, pour éviter un procès.
C'est la crise pour Nestlé, sous le coup de plusieurs enquêtes pour des soupçons de fraudes et d'exploitation illégale de forages pour la production d'eaux minérales.
Le groupe est aussi soupçonné, dans une autre affaire, d’avoir eu recours à des traitements illégaux pour purifier ses eaux vendues comme eaux minérales naturelles.
Selon «Mediapart», citant un rapport d’enquête des services de la répression des fraudes, la filiale française du groupe suisse aurait eu recours à des méthodes interdites pour ses trois eaux minérales vosgiennes depuis 2010 au moins.