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Dans les rues de Tunisie, les barbechas collectent et trient des déchets plastiques, du fer, du cuivre ou du carton. Ce travail, indispensable pour la chaîne de recyclage, repose en grande partie sur les femmes, invisibles et sous-payées. Alors qu’elles prennent des risques pour préserver l’environnement, ces travailleuses sont privées de reconnaissance sociale et de protection légale.
Les « barbechas » de Tunisie font partie des travailleurs les plus sous-estimés du pays. Bien que leur travail soit difficile et précaire, il n'en est pas
La gestion des déchets solides en Tunisie mais l'existence de ces sociétés et législations ne garantissait pas de pays de nettoyage des déchets, en particulier dans la période post-révolution. Par exemple, la municipalité d'Ariana faisait face à un grave manque de ressources et d'équipements après Il avait été brûlé pendant la révolution. Lotfi Dacaraoui, directeur des services de santé dans la municipalité d'Ariana ajoute que le problème plus important en 2014 était un manque de personnel qualifié et le délai bureaucratique relatif à ces soumissions pour de nouveaux équipements [8].
Ils disent eux-mêmes qu’ils nettoient le pays et font œuvre utile. Les "barbechas", chiffonniers de Tunis, vivent du ramassage des plastiques et autres produits recyclables. On estime leur nombre à 8000. Aucun, ou presque, ne dispose d’une couverture sociale.
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Dans les rues de Tunisie, les barbechas collectent et trient des déchets plastiques, du fer, du cuivre ou du carton. Ce travail, indispensable pour la chaîne de recyclage, repose en grande partie sur les femmes, invisibles et sous-payées. Alors qu’elles prennent des risques pour préserver l’environnement, ces travailleuses sont privées de reconnaissance sociale et de protection légale.
Les « barbechas » de Tunisie font partie des travailleurs les plus sous-estimés du pays. Bien que leur travail soit difficile et précaire, il n'en est pas
La gestion des déchets solides en Tunisie mais l'existence de ces sociétés et législations ne garantissait pas de pays de nettoyage des déchets, en particulier dans la période post-révolution. Par exemple, la municipalité d'Ariana faisait face à un grave manque de ressources et d'équipements après Il avait été brûlé pendant la révolution. Lotfi Dacaraoui, directeur des services de santé dans la municipalité d'Ariana ajoute que le problème plus important en 2014 était un manque de personnel qualifié et le délai bureaucratique relatif à ces soumissions pour de nouveaux équipements [8].
Ils disent eux-mêmes qu’ils nettoient le pays et font œuvre utile. Les "barbechas", chiffonniers de Tunis, vivent du ramassage des plastiques et autres produits recyclables. On estime leur nombre à 8000. Aucun, ou presque, ne dispose d’une couverture sociale.