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Le nouveau-né enveloppé d'une couverture rose dans un hôpital de la rive nord du fleuve Dniepr, en Ukraine, ne verra peut-être jamais ses grands-parents dans le sud annexé par la Russie.
L’implantation de la 5G au pays pourrait se traduire par une augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES), notamment en raison de la fabrication d’une multitude d’objets qui seront connectés et de la consommation énergétique qui s’ensuivra. Mais l’industrie croit, au contraire, que l’arrivée de la 5G se traduira par une amélioration de la performance énergétique des réseaux mobiles, ce qui favoriserait une baisse des émissions de GES. État des lieux.
Melancholia : Cet essai exprime la désillusion d’un homme qui ne veut plus faire semblant de croire dans l’avenir de l’espèce humaine. Après des années de militantisme en faveur de l’écologie, le constat est amer : l’humanité ne s’en sortira pas.
Au cours de sa longue existence, notre planète a connu plusieurs crises majeures, qui, à chaque fois, ont transformé en profondeur le vivant et entraîné l’extinction de la majorité des espèces. Les crises de la biodiversité avancent masquées, en silence. Aujourd’hui, tout laisse à penser que nous sommes à l’aube d’une sixième extinction qui arrive à une vitesse foudroyante : on estime que 500 000 à un million d’espèces sont en train de décliner et que d’ici quelques décennies elles pourraient s’éteindre. L’homme et sa consommation sans cesse croissante d’espace et d’énergie en est la première cause.
Une étude très controversée d’une virologue chinoise, publiée lundi, a cherché à donner un vernis scientifique à la théorie du complot selon laquelle un laboratoire chinois est à l’origine du Covid-19. Mais en coulisses, c’est Steve Bannon, l’ex-stratège en chef de Donald Trump, qui est à la manœuvre.
Un atelier de design nomade associatif qui parcourt les routes de France et d’Europe en quête d’alternatives à nos systèmes de production et modes de consommation actuels.
Le GIEC a approuvé le 6 octobre son rapport spécial sur « les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C »(1), qui répond à une demande exprimée fin 2015 lors de l’adoption de l’Accord de Paris (COP21). Une réduction des émissions nettes de CO2 de 45% d’ici à 2030 Pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5°C d’ici à la fin du siècle(2), « il faudrait modifier rapidement, radicalement et de manière inédite tous les aspects de la société », résume le GIEC(3). Les transitions « rapides et de grande envergure » que le Groupe d’experts sur le climat appelle de ses vœux concernent en premier lieu le secteur énergétique mais aussi les domaines de l’industrie, du bâtiment, des transports ou encore de l’aménagement du territoire. Selon le GIEC, les émissions mondiales nettes de CO2 d’origine anthropique (c’est-à-dire la différence entre le volume de CO2 émis et capturé) devraient être réduites d’environ 45% à l’horizon 2030 par rapport au niveau de 2010 pour espérer atteindre la cible de 1,5°C de réchauff
L’empreinte écologique de la France est trois fois supérieure à ce que la planète peut supporter à long terme. Les statistiques montrent que plus nous sommes riches, plus nous consommons et, par conséquent, plus notre empreinte écologique s’alourdit. Sur la planète, les pays et les individus les plus favorisés sont donc aussi les plus responsables du réchauffement climatique et de la fin programmée des ressources non renouvelables, comme les métaux, les énergies ou le pétrole avant la fin du siècle.


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octobre 2022

Le nouveau-né enveloppé d'une couverture rose dans un hôpital de la rive nord du fleuve Dniepr, en Ukraine, ne verra peut-être jamais ses grands-parents dans le sud annexé par la Russie.

mars 2022

L’implantation de la 5G au pays pourrait se traduire par une augmentation des émissions de gaz à effet de serre (GES), notamment en raison de la fabrication d’une multitude d’objets qui seront connectés et de la consommation énergétique qui s’ensuivra. Mais l’industrie croit, au contraire, que l’arrivée de la 5G se traduira par une amélioration de la performance énergétique des réseaux mobiles, ce qui favoriserait une baisse des émissions de GES. État des lieux.

juin 2021

Melancholia : Cet essai exprime la désillusion d’un homme qui ne veut plus faire semblant de croire dans l’avenir de l’espèce humaine. Après des années de militantisme en faveur de l’écologie, le constat est amer : l’humanité ne s’en sortira pas.

janvier 2021

Au cours de sa longue existence, notre planète a connu plusieurs crises majeures, qui, à chaque fois, ont transformé en profondeur le vivant et entraîné l’extinction de la majorité des espèces. Les crises de la biodiversité avancent masquées, en silence. Aujourd’hui, tout laisse à penser que nous sommes à l’aube d’une sixième extinction qui arrive à une vitesse foudroyante : on estime que 500 000 à un million d’espèces sont en train de décliner et que d’ici quelques décennies elles pourraient s’éteindre. L’homme et sa consommation sans cesse croissante d’espace et d’énergie en est la première cause.

septembre 2020

Une étude très controversée d’une virologue chinoise, publiée lundi, a cherché à donner un vernis scientifique à la théorie du complot selon laquelle un laboratoire chinois est à l’origine du Covid-19. Mais en coulisses, c’est Steve Bannon, l’ex-stratège en chef de Donald Trump, qui est à la manœuvre.
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décembre 2019

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septembre 2019

Un atelier de design nomade associatif qui parcourt les routes de France et d’Europe en quête d’alternatives à nos systèmes de production et modes de consommation actuels.

octobre 2018

Le GIEC a approuvé le 6 octobre son rapport spécial sur « les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5°C »(1), qui répond à une demande exprimée fin 2015 lors de l’adoption de l’Accord de Paris (COP21). Une réduction des émissions nettes de CO2 de 45% d’ici à 2030 Pour limiter le réchauffement planétaire à 1,5°C d’ici à la fin du siècle(2), « il faudrait modifier rapidement, radicalement et de manière inédite tous les aspects de la société », résume le GIEC(3). Les transitions « rapides et de grande envergure » que le Groupe d’experts sur le climat appelle de ses vœux concernent en premier lieu le secteur énergétique mais aussi les domaines de l’industrie, du bâtiment, des transports ou encore de l’aménagement du territoire. Selon le GIEC, les émissions mondiales nettes de CO2 d’origine anthropique (c’est-à-dire la différence entre le volume de CO2 émis et capturé) devraient être réduites d’environ 45% à l’horizon 2030 par rapport au niveau de 2010 pour espérer atteindre la cible de 1,5°C de réchauff

septembre 2018

L’empreinte écologique de la France est trois fois supérieure à ce que la planète peut supporter à long terme. Les statistiques montrent que plus nous sommes riches, plus nous consommons et, par conséquent, plus notre empreinte écologique s’alourdit. Sur la planète, les pays et les individus les plus favorisés sont donc aussi les plus responsables du réchauffement climatique et de la fin programmée des ressources non renouvelables, comme les métaux, les énergies ou le pétrole avant la fin du siècle.