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mai 2024

Le géant pétrolier TotalEnergies encourage ses actionnaires à voter lors de l'assemblée générale, "afin de soutenir" la stratégie du groupe "face à une campagne" de "certains activistes" opposés au renouvellement du mandat du PDG Patrick Pouyanné.Dans un message publié cette semaine sur le site du groupe, signé par le "service relations actionnaires individuels", le groupe se dit visé par une "campagne" visant à empêcher le renouvellement de M. Pouyanné et de l'administrateur référent Jacques Aschenbroich.
Le Congrès américain dénonce les pratiques de déni climatique de l'industrie du pétrole. Une trentaine de procès sont déjà en cours.
En France, si l’abandon du charbon et, dans une moindre mesure, celui du pétrole font (relativement) consensus, le gaz naturel jouit d’une complaisance certaine. Est-ce parce qu’il a été identifié comme un « allié de la transition énergétique » par les grands groupes d’hydrocarbures, comme le reprennent en chœur les médias et les politiques français ?
L'Agence internationale de l'énergie (AIE) a revu mercredi légèrement à la baisse sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour 2024, sous l'effet d'un repli constaté au premier trimestre dans les pays de l'OCDE et notamment en Europe.La demande mondiale de pétrole devrait ainsi croître de 1,1 million de barils par jour (mb/j) en 2024, soit 140.000 barils par jour de moins que prévu par l'AIE dans son précédent rapport mensuel. La demande totale cette année devrait dépasser les 103 mb/j, estime l'agence basée à Paris.
Les patrons de TotalEnergies, ExxonMobil et QatarEnergy réunis au Forum économique du Qatar ont assuré mercredi que le monde aura besoin de gaz liquéfié (GNL) pour "très longtemps", écartant de fait le risque de surcapacité. "Je ne suis pas inquiet, je pense qu'il y a une place, une place claire pour le gaz dans la transition" énergétique, a déclaré Patrick Pouyanné, au côté du PDG du géant américain du pétrole, Darren Woods, et du ministre de l'Energie du Qatar, Saad al-Kaabi, également PDG du géant public des hydrocarbures QatarEnergy.
Le Qatar prévoit de conclure cette année de nouveaux contrats de fourniture de gaz naturel liquéfié (GNL) à long terme pour répondre à la forte demande mondiale, a affirmé mercredi le ministre de l'Energie de l'émirat du Golfe. QatarEnergy a signé des contrats portant sur 25 millions de tonnes de GNL l'année dernière, et va en "en signer d'autres cette année", a déclaré Saad al-Kaabi, qui dirige également le géant public des hydrocarbures.
Les géants bancaires du monde financent encore massivement le charbon, le pétrole et le gaz, dévoile un rapport du consortium d’ONG Reclaim Finance ce lundi 13 mai. Chez les banques françaises les montants sont néanmoins en repli.
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté ou arrangé l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
La chute est particulièrement notable pour BNP Paribas, assignée en justice début 2023 sur son devoir de vigilance.
Les géants bancaires mondiaux, américains et japonais en tête, ont prêté l'an dernier plus de 700 milliards de dollars au profit des énergies fossiles, affirme lundi un consortium d'ONG, un montant néanmoins en repli, notamment chez les banques françaises."Les banques doivent de toute urgence cesser de financer l'expansion pétro-gazière et privilégier des financements aux énergies soutenables pour la production d'électricité", a commenté Lucie Pinson, fondatrice et directrice de Reclaim Finance, citée dans un communiqué.
Plus fossile à dire qu’à faire. Malgré certains efforts, le financement des banques aux producteurs d’énergie fossile est toujours bien trop important à l’échelle mondiale pour limiter le réchauffement climatique, révèle un rapport de huit ONG.
Donald Trump, le candidat de la droite américaine à la présidentielle, a promis à des dirigeants de compagnies pétrolières d'inverser les politiques environnementales du président Joe Biden s'il était élu en novembre, affirme jeudi le Washington Post.Le magnat républicain leur a par la même occasion suggéré de lever pas moins d'un milliard de dollars pour financer sa campagne, indique le quotidien, s'appuyant sur des sources anonymes pour relater cette rencontre qui s'est tenue en avril dans sa résidence floridienne de Mar-a-Lago.
L'ancien président américain Donald Trump, futur candidat à l'élection présidentielle de novembre, a appelé les hauts dirigeants des entreprises pétrolières à financer sa campagne par des dons, rapporte jeudi le quotidien The Washington Post.
L'équipe de campagne de Joe Biden a vivement dénoncé jeudi des informations selon lesquelles son rival Donald Trump a promis à des dirigeants de compagnies pétrolières d'inverser plusieurs politiques favorables à l'environnement s'il était élu en novembre. Des révélations du Washington Post C'est le Washington Post qui a fait état de cet engagement du candidat de la droite américaine à la présidentielle de novembre à des responsables du secteur du pétrole.
Oubliez l’optimisme des leaders politiques qui répètent que le réchauffement planétaire peut encore être limité à un seuil viable. L’inaction climatique et l’influence du lobby des énergies fossiles nous ont placés irrémédiablement sur la trajectoire d’un dérèglement catastrophique pour l’avenir de l’humanité. Ce constat pour le moins inquiétant se dégage d’une enquête inédite du réputé quotidien britannique The Guardian, qui a sondé 380 auteurs et collaborateurs du Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) qui ont contribué aux rapports produits depuis 2018. Ces rapports constituent l’assise scientifique des négociations climatiques mondiales. Les résultats obtenus auprès des spécialistes du climat indiquent que 77 % d’entre eux estiment que le réchauffement au cours du présent siècle dépassera les 2,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Ce réchauffement est nettement plus élevé que l’objectif convenu dans le cadre de l’Accord de Paris. En vertu de cette entente adoptée par l’