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géologique

mars 2024

Coup de théâtre dans le monde de la géologie: après des dizaines d'années de débats, l'instance mondiale de référence a finalement décidé de ne pas accorder à l'Anthropocène, épisode caractérisé par les traces de la présence humaine partout sur la planète, une place à part dans l'Histoire géologique de la Terre.
Coup de théâtre dans le monde de la géologie: après des dizaines d'années de débats, l'instance mondiale de référence a finalement décidé de ne pas accorder à l'Anthropocène, épisode caractérisé par les traces de la présence humaine partout sur la planète, une place à part dans l'histoire géologique de la Terre.

décembre 2023

L’année 2024 pourrait officiellement marquer le début de l’Anthropocène, une nouvelle ère géologique dominée par les impacts planétaires des activités humaines.

novembre 2023

Les activités humaines ont-elles perturbé l'écosystème Terre au point que nous aurions engendrer une nouvelle ère géologique ? Baptisée Anthropocène, cette période "artificielle" de l'histoire de la Terre suscite de plus en plus l'intérêt de la communauté scientifique, au point qu'elle pourrait même servir à déceler les éventuelles traces d'une hypothétique civilisation disparue il y a des millions d'années... Sur Terre : "l'hypothèse du Silurien".

juillet 2023

Je me permets de partager avec vous cet article sur les travaux scientifiques relatifs à l’Anthropocène : Un lac canadien choisi pour représenter le début de l’Anthropocène. Et quelques réflexions, dans mon style prospectif habituel, que vous me pardonnerez (le prospectiviste émet des scénarios du pire pour espérer être détrompé, par le fait de les avoir « prophétisés » justement). La définition de l’Anthropocène au niveau scientifique est un processus scientifique qui a une énorme portée pour la pensée, le discours et l’action écologiques, environnementales, climatiques, sociales, démocratiques (NB : je choisis ici de mettre les adjectifs au féminin).
Plutonium, microplastiques, os de poulet… Phénomène inédit, notre espèce a modifié la Terre, tout en en ayant conscience, au point de donner son nom à une nouvelle époque géologique. Explications
Depuis 2009, un groupe de spécialistes interdisciplinaires travaille sur cette question complexe. Ils annonceront mardi le lieu qui, selon eux, recueille les meilleures preuves du passage à l'époque de l'Anthropocène, précédée par l'Holocène.

janvier 2023

En surface ou à 400 mètres sous terre, ils resteront radioactifs pendant des centaines de milliers d’années. L’avenir des déchets nucléaires, fardeau d’une filière émettant particulièrement peu de CO2, revient logiquement au-devant de la scène depuis l’accord survenu ce 9 janvier en vue du redémarrage de deux réacteurs nucléaires (Doel 3 et Tihange 4) dès l’hiver 2026.

mai 2022

Dans son document intitulé « Les Avis de l’Ademe, le captage et stockage géologique de CO2 (CSC) en France : un potentiel limité pour réduire les émissions industrielles », l’Agence de la transition écologique (Ademe) avance que cette solution « semble incontournable pour certains secteurs industriels fortement émetteurs et n’ayant pas d’autres solutions de décarbonation ». Et le temps presse car, à eux-seuls, les industriels tricolores émettent, chaque année, 80 millions de tonnes d’équivalent CO2.

avril 2022

Le printemps sera sec. Selon le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), cité par Franceinfo, le niveau des nappes d’eau souterraines est inférieur à la normale sur quasiment l’ensemble du territoire. Seuls l’Île-de-France, la Normandie, la Savoie, l’Aude, l’Hérault et une partie des Pyrénées sont épargnés. La raison : un déficit hydrique entre octobre et mars, période durant laquelle les nappes phréatiques se rechargent en profondeur. « La fin de l’hiver est une période charnière et les pluies insuffisantes ont fortement impacté l’état des nappes », explique le BRGM dans un communiqué.

mars 2022

Les réserves mondiales de cuivre seront-elles réellement épuisées dans 31 ans, comme on le lit parfois? Bien que les ressources minérales ne soient évidemment pas illimitées, ces spéculations ne reflètent aucunement l’état actuel de la recherche géologique. Nous ne serons pas à court de cuivre, comme de la plupart des autres métaux, dans un avenir prévisible. Les enjeux de rareté ne portent pas sur l’état des stocks, mais sur le débit de production. Il y a assez de cuivre dans le sous-sol, mais le rythme d’extraction ne suit pas le rythme de la demande.

février 2022

Des gisements en déclin Les 8000 tonnes annuelles d’uranium, qui alimentent les centrales de l’Hexagone, sont extraites principalement au Niger, au Canada et au Kazakhstan. Dans ce contexte, la faillite de l’action Barkhane au Mali sonne comme un signal d’alarme inquiétant. La force russe Wagner, stationnée au Sahel, se trouve à une portée d’obus des mines d’uranium du Niger. De son côté, la Chine grignote de plus en plus l’hégémonie de la France-Afrique. Pour garder la face, Paris a dû s’engager à livrer à Pékin, une partie de la production nigérienne d’uranium. Au Kazakhstan, inutile de rappeler les événements du début d’année et la franche camaraderie avec Vladimir Poutine. Le Kazakhstan est le premier producteur mondial d’uranium et le lien, qui relie les 56 réacteurs français à cette manne, ne tient qu’à la volonté du président russe. Combien de temps encore le Mali et le Kazakhstan seront d’accord et capables de livrer leurs trésors à la France? La question reste ouverte. Du côté géologique, le Niger a
Selon le Bureau national de recherche géologiques et minières (BRGM), les premiers kilos de carbonate de lithium de qualité batterie ont été extraits en décembre, des saumures géothermales pompées dans le sous-sol alsacien. Cet exploit technologique permet à l’industrie française d’envisager une exploitation à grande échelle de ce métal très prisé par les fabricants de batteries.

août 2021

Début mai 2021, le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) a réalisé une carte du risque de sécheresse estivale pour les nappes d’eau souterraine.
Quelles sont les conséquences de cette situation sur la production des métaux? Sur les techniques d’exploitation? Sur la capacité de l’industrie minière à répondre à nos besoins à long terme? Voilà quelques-uns des thèmes qu’aborde une récente étude de Simon P. Michaux, un géologue australien à l’emploi de la commission d’études géologiques de la Finlande.