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Cise Réunion, filiale du groupe SAUR et titulaire de contrats avec plusieurs communes, a distribué entre 2016 et 2022 sur plusieurs de ses réseaux de l’eau impropre à la consommation. La justice lui a imposé mardi d’indemniser plus de 89 000 personnes.
On ne le goûte pas, on ne le sent pas et pourtant il est là. L’arsenic est naturellement présent dans le riz. Mais les concentrations augmenteraient à cause du réchauffement climatique, selon une étude publiée dans The Lancet Planetary Health. Et cela pourrait avoir un impact bien concret sur notre santé : risques de cancers, de diabète, troubles cardiovasculaires… Alors qu’en est-il vraiment ? Le riz pourrait-il un jour devenir impropre à la consommation ? Y a-t-il des solutions pour consommer du riz en toute sécurité ? On fait le point.
Sur la base de nouvelles preuves scientifiques, l’agence des États-Unis pour l’environnement a drastiquement abaissé mi-juin les seuils «sans risque» pour deux polluants. Quand bien même les concentrations de ces polluants dans l’eau de pluie n’ont guère évolué depuis le début des années 2000, elles s’avèrent supérieures à ces seuils révisés.
Des chercheurs européens affirment que les niveaux mondiaux de “produits chimiques éternels” fabriqués par l’homme ont rendu l’eau de pluie impropre à la consommation dans le monde entier, même dans les régions les plus reculées. L’étude, publiée mardi dans la revue à comité de lecture Environmental Science and Technology par des chercheurs de l’Université de Stockholm et de l’ETH Zurich, affirme que les directives concernant les substances per- et polyfluoroalkyles (PFAS) dans l’eau potable, les eaux de surface et le sol ont chuté “de façon spectaculaire” au cours des dernières années. les 20 dernières années “en raison de nouvelles connaissances sur leur toxicité”.
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Cise Réunion, filiale du groupe SAUR et titulaire de contrats avec plusieurs communes, a distribué entre 2016 et 2022 sur plusieurs de ses réseaux de l’eau impropre à la consommation. La justice lui a imposé mardi d’indemniser plus de 89 000 personnes.
On ne le goûte pas, on ne le sent pas et pourtant il est là. L’arsenic est naturellement présent dans le riz. Mais les concentrations augmenteraient à cause du réchauffement climatique, selon une étude publiée dans The Lancet Planetary Health. Et cela pourrait avoir un impact bien concret sur notre santé : risques de cancers, de diabète, troubles cardiovasculaires… Alors qu’en est-il vraiment ? Le riz pourrait-il un jour devenir impropre à la consommation ? Y a-t-il des solutions pour consommer du riz en toute sécurité ? On fait le point.
Sur la base de nouvelles preuves scientifiques, l’agence des États-Unis pour l’environnement a drastiquement abaissé mi-juin les seuils «sans risque» pour deux polluants. Quand bien même les concentrations de ces polluants dans l’eau de pluie n’ont guère évolué depuis le début des années 2000, elles s’avèrent supérieures à ces seuils révisés.
Des chercheurs européens affirment que les niveaux mondiaux de “produits chimiques éternels” fabriqués par l’homme ont rendu l’eau de pluie impropre à la consommation dans le monde entier, même dans les régions les plus reculées. L’étude, publiée mardi dans la revue à comité de lecture Environmental Science and Technology par des chercheurs de l’Université de Stockholm et de l’ETH Zurich, affirme que les directives concernant les substances per- et polyfluoroalkyles (PFAS) dans l’eau potable, les eaux de surface et le sol ont chuté “de façon spectaculaire” au cours des dernières années. les 20 dernières années “en raison de nouvelles connaissances sur leur toxicité”.