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Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Depuis l’accident survenu au large du Royaume-Uni le 10 mars, des microbilles de plastique s’échouent dans la baie du Wash, une zone sensible qui héberge de nombreux oiseaux marins menacés.
IA qu’à forer. Avec l’aide du géant de l’informatique, les majors pétrolières espèrent gagner en productivité et ne pas perdre une goutte d’or noir. Exxon Mobil, Equinor, TotalEnergies et consorts bardent leurs forages d’intelligence artificielle pour optimiser leur production et découvrir de nouveaux gisements.
Les microplastiques sont devenus l’une des préoccupations environnementales majeures du vingt et unième siècle. Ces minuscules fragments de plastique, généralement de moins de cinq millimètres, se retrouvent désormais partout : dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons et dans la nourriture que nous consommons. Néanmoins, ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les microplastiques ont été retrouvés dans des parties du corps humain telles que les poumons, les reins, le foie, le cœur et même le cerveau. Ce phénomène soulève une question fondamentale : les microplastiques représentent-ils un danger réel pour notre santé ?
Avec la disparition progressive des glaciers sous l’effet du changement climatique, c’est bien plus que de l’eau qui disparaît. En effet, les ruisseaux et autres rivières alimentées par les glaciers abritent une diversité microbienne méconnue. Une mission scientifique unique en son genre s’est attelée à recenser ce microbiome à travers 11 chaînes de montagnes et 170 cours d’eau glaciaires.
Our study presents a global assessment of microplastic pollution’s impact on food security. By analyzing a comprehensive dataset of 3,286 records, we quantify the reduction in photosynthesis caused by microplastics across various ecosystems.
Les microplastiques ne se contentent pas de polluer l’environnement : ils perturbent aussi la photosynthèse, un processus clé pour la vie sur Terre. Cette menace, révélée par une étude récente, pourrait réduire la productivité agricole et exposer jusqu’à 400 millions de personnes à la famine d’ici vingt ans.
Des études antérieures ont déjà mis en évidence la présence de microplastiques dans plusieurs organes humains, notamment les poumons, le foie, les reins et même le placenta. Plus récemment, des recherches menées sur des modèles murins ont révélé que ces particules pouvaient s’accumuler dans la circulation sanguine cérébrale, entraînant des obstructions et menant parfois à des troubles neurologiques.
D’après une étude publiée dans “PNAS”, les microplastiques altèrent la photosynthèse des plantes et donc leur croissance, ce qui se répercute sur les récoltes. Et cela pourrait empirer au cours des prochaines décennies.
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
Microsoft a présenté mercredi Majorana 1, une puce quantique qui pourrait intégrer à terme un million de qubits, soit une puissance qui dépasserait largement les superordinateurs actuels. Selon le géant américain, cette innovation pourrait permettre de construire dans les prochaines années des ordinateurs quantiques dont la puissance n'était jusqu'ici pas attendue avant plusieurs dizaines d'années.
Chimique mac. Ces substances nuisent à de nombreuses espèces qu’elles ne sont pas censées cibler, démontre une étude majeure publiée dans la revue Nature Communication, jeudi. Une preuve supplémentaire de leur rôle dans l’effondrement du vivant.
La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.
Amerikaans onderzoek heeft een veel hogere concentratie microplastics aangetroffen in de hersenen dan in andere organen. En die concentratie stijgt snel: met de helft in amper acht jaar tijd.
Des chercheurs ont analysé des échantillons de cerveau obtenus lors d'autopsies aux États-Unis et ont fait plusieurs découvertes.
On savait que de toutes petites particules de plastique pénétraient dans le corps humain. Une nouvelle étude montre que leur concentration a augmenté au fil du temps, en particulier dans le cerveau, en même temps que la production de ces matériaux continue de croître.
La concentration de microparticules PM 2,5, a dépassé durant la matinée plus de huit fois le seuil toléré par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Emerging infectious diseases, biodiversity loss, and anthropogenic environmental change are interconnected crises with massive social and ecological costs. In this Review, we discuss how pathogens and parasites are responding to global change, and the implications for pandemic prevention and biodiversity conservation. Ecological and evolutionary principles help to explain why both pandemics and wildlife die-offs are becoming more common; why land-use change and biodiversity loss are often followed by an increase in zoonotic and vector-borne diseases; and why some species, such as bats, host so many emerging pathogens. To prevent the next pandemic, scientists should focus on monitoring and limiting the spread of a handful of high-risk viruses, especially at key interfaces such as farms and live-animal markets. But to address the much broader set of infectious disease risks associated with the Anthropocene, decision-makers will need to develop comprehensive strategies that include pathogen surveillance across s
Après avoir travaillé sur la récupération de pétrole dans l’eau, une équipe coréenne a adapté son outil pour aspirer les billes de plastique présentes en surface.
Plantaardige alternatieven voor vlees en zuivel zijn niet alleen goed voor het milieu en het klimaat, maar ook voor het microbioom in de darmen, blijkt uit onderzoek in Nature. Zelfs kleine verschuivingen kunnen al een impact hebben.
Chaque année la grippe et d’autres virus causent des vagues d’infections qui "peuvent mettre sous tension le système de soins au niveau des généralistes et des hôpitaux, et peuvent avoir un impact important sur la société en termes économiques ou d’absentéisme. C’est pourquoi une série de mesures sont prises, dont la protection par la vaccination des personnes plus âgées par exemple. On a tiré beaucoup de leçons et on a acquis de l’expérience de la période Covid. Mais on ne peut pas empêcher le fait que chaque année on sera confronté à ces épidémies", explique le docteur Emmanuel André, microbiologiste à l’hôpital universitaire UZ Leuven, interrogé sur La Première. C’est ainsi que, comme cela avait été mis en place lors de la crise Covid, chaque semaine un groupe d’experts surveille les infections respiratoires afin de donner des recommandations préventives dans les hôpitaux, par exemple.
Dans une étude publiée ce jeudi 26 décembre, l’Agence de la transition écologique met pour la première fois en lumière l’ampleur de cette pollution dans les forêts, prairies, vignes et zones de grandes cultures du pays.
De nombreuses études se sont déjà penchées sur la contamination qu'ils génèrent dans les océans, mais la contamination des sols est moins connue et n'a fait l'objet que de peu de travaux en France.
Pour la première fois, l’Ademe a mesuré la concentration de microparticules de plastique dans la terre en France. Prairies, vignes, vergers ou grandes cultures, aucun type de sol n’est épargné.
Microplastics are ubiquitous environmental contaminants for which there are documented human exposures, but there is a paucity of research evaluating their impacts on human health. We conducted a rapid systematic review using the “Navigation Guide” systematic review method. We searched four databases in July 2022 and April 2024 with no restriction on the date.
Spiegelmicroben zijn kunstmatig vervaardigde bacteriën die spiegelbeelden zijn van natuurlijke microben. In de synthetische biologie wordt daar momenteel volop onderzoek naar gedaan, maar dat is allesbehalve zonder risico.
Experts warn that mirror bacteria, constructed from mirror images of molecules found in nature, could put humans, animals and plants at risk of lethal infections
L’addiction de nos sociétés vis-à-vis du plastique ne se dément pas. Or, les preuves de la toxicité de ce matériau, auquel il est désormais impossible d’échapper, s’accumulent depuis quelques années.
L’association Expédition MED alerte sur la hausse notable de la pollution plastique dans cette mer semi-fermée, qui s’accumule notamment entre la Corse et l’île toscane de Capraia
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Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Nocives pour la santé et l’environnement, capables de charrier bactéries et produits toxiques, ces particules souvent invisibles à l’œil nu sont omniprésentes dans la Garonne, la Tamise ou le Tibre, dévoile ce lundi une étude inédite.
Depuis l’accident survenu au large du Royaume-Uni le 10 mars, des microbilles de plastique s’échouent dans la baie du Wash, une zone sensible qui héberge de nombreux oiseaux marins menacés.
IA qu’à forer. Avec l’aide du géant de l’informatique, les majors pétrolières espèrent gagner en productivité et ne pas perdre une goutte d’or noir. Exxon Mobil, Equinor, TotalEnergies et consorts bardent leurs forages d’intelligence artificielle pour optimiser leur production et découvrir de nouveaux gisements.
Les microplastiques sont devenus l’une des préoccupations environnementales majeures du vingt et unième siècle. Ces minuscules fragments de plastique, généralement de moins de cinq millimètres, se retrouvent désormais partout : dans l’air que nous respirons, dans l’eau que nous buvons et dans la nourriture que nous consommons. Néanmoins, ce qui est encore plus inquiétant, c’est que les microplastiques ont été retrouvés dans des parties du corps humain telles que les poumons, les reins, le foie, le cœur et même le cerveau. Ce phénomène soulève une question fondamentale : les microplastiques représentent-ils un danger réel pour notre santé ?
Avec la disparition progressive des glaciers sous l’effet du changement climatique, c’est bien plus que de l’eau qui disparaît. En effet, les ruisseaux et autres rivières alimentées par les glaciers abritent une diversité microbienne méconnue. Une mission scientifique unique en son genre s’est attelée à recenser ce microbiome à travers 11 chaînes de montagnes et 170 cours d’eau glaciaires.
Our study presents a global assessment of microplastic pollution’s impact on food security. By analyzing a comprehensive dataset of 3,286 records, we quantify the reduction in photosynthesis caused by microplastics across various ecosystems.
Les microplastiques ne se contentent pas de polluer l’environnement : ils perturbent aussi la photosynthèse, un processus clé pour la vie sur Terre. Cette menace, révélée par une étude récente, pourrait réduire la productivité agricole et exposer jusqu’à 400 millions de personnes à la famine d’ici vingt ans.
Des études antérieures ont déjà mis en évidence la présence de microplastiques dans plusieurs organes humains, notamment les poumons, le foie, les reins et même le placenta. Plus récemment, des recherches menées sur des modèles murins ont révélé que ces particules pouvaient s’accumuler dans la circulation sanguine cérébrale, entraînant des obstructions et menant parfois à des troubles neurologiques.
D’après une étude publiée dans “PNAS”, les microplastiques altèrent la photosynthèse des plantes et donc leur croissance, ce qui se répercute sur les récoltes. Et cela pourrait empirer au cours des prochaines décennies.
PFAS, pesticides, microplastiques… La qualité de l’eau en bouteille ou au robinet ne va plus de soi et oblige chacun à trouver des solutions pour boire sans trembler. Mais la filtration miracle ne coule pas de source.
Microsoft a présenté mercredi Majorana 1, une puce quantique qui pourrait intégrer à terme un million de qubits, soit une puissance qui dépasserait largement les superordinateurs actuels. Selon le géant américain, cette innovation pourrait permettre de construire dans les prochaines années des ordinateurs quantiques dont la puissance n'était jusqu'ici pas attendue avant plusieurs dizaines d'années.
Chimique mac. Ces substances nuisent à de nombreuses espèces qu’elles ne sont pas censées cibler, démontre une étude majeure publiée dans la revue Nature Communication, jeudi. Une preuve supplémentaire de leur rôle dans l’effondrement du vivant.
La pollution plastique ne se contente plus d’envahir les océans et l’atmosphère : elle s’insinue dans notre propre organisme, y compris dans notre cerveau. Une étude récente, publiée le 5 février 2025 dans la revue Nature Medicine, révèle une accumulation inquiétante de microplastiques et nanoplastiques dans le cerveau humain, posant de nombreuses questions sur ses impacts sur la santé.
Amerikaans onderzoek heeft een veel hogere concentratie microplastics aangetroffen in de hersenen dan in andere organen. En die concentratie stijgt snel: met de helft in amper acht jaar tijd.