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Invisible à l’œil nu mais indispensable à la vie sur Terre, Prochlorococcus règne silencieusement sur nos océans depuis des millions d’années. Cette cyanobactérie marine, plus petite qu’un virus mais plus puissante qu’une centrale électrique biologique, vient pourtant de révéler sa talon d’Achille dans une étude qui bouleverse nos certitudes sur l’avenir des écosystèmes marins. La découverte est troublante : l’organisme qui produit un tiers de l’oxygène que nous respirons pourrait être beaucoup plus fragile face au réchauffement climatique qu’on ne l’imaginait.
Convivial, écolo et moins cher : le chauffage au bois a le vent en poupe. Mais sa généralisation à l’échelle du territoire ne serait pas sans risque, entre émissions de particules fines dangereuses pour la santé et effet rebond, explique Simon Mathex de l'INRAE.
Alors que la 50e édition du salon EquipAuto, salon international des pros de l’automobile, s’ouvre à Paris ce 14 octobre, penchons-nous sur l’autre problème de pollution, grandissant, posé par toutes les voitures, même électriques : les émissions hors échappement, dues à l’usure des freins, des pneus et de la chaussée. La question est indépendante de l’enjeu de réduire les émissions à l’échappement des voitures neuves, qui ont déjà fortement diminué du fait des progrès techniques. Une norme européenne, qui doit entrer en vigueur en 2026, entend les réduire, mais sa mise en œuvre pourrait ne pas livrer les effets escomptés.
Imaginez une souris âgée de l’équivalent de 90 ans humains qui retrouve la vivacité cognitive d’un jeune adulte. Ce scénario est devenu réalité dans un laboratoire catalan, où des chercheurs ont accompli ce que la médecine jugeait irréalisable : inverser complètement la maladie d’Alzheimer. Leur arme secrète ? Des nanoparticules microscopiques qui réparent le système de défense du cerveau, ouvrant une perspective révolutionnaire pour les millions de personnes touchées par cette pathologie dévastatrice.
Interdit en France en tant qu’additif alimentaire depuis quelques années, le dioxyde de titane est un cancérigène possible. Faisant l’objet d’une utilisation sous forme de nanoparticules, ce composé a été récemment retrouvé dans différents laits. De plus, les sources d’exposition ne manquent pas puisque le dioxyde de titane se trouve également dans plusieurs produits de soin, cosmétiques et autres médicaments.
Le docteur Clémence Rose est chargée de recherche CNRS au Laboratoire de météorologie physique depuis 2018. Elle étudie les plus fines particules qui composent notre atmosphère et ses travaux ont été salués par le CNRS, qui lui a décerné cette année la médaille de bronze.
Dans la capitale, les niveaux de ces particules de la taille d’un virus, sont deux à trois fois plus élevés sur les grandes artères que dans les quartiers préservés des voitures, alerte un nouveau rapport d’AirParif ce vendredi 20 juin.
Alors que de les microplastiques se retrouvent désormais partout, plusieurs études ont livré des conclusions préoccupantes sur le plan de la santé humaine. Or, si certaines recherches évoquent une augmentation de la concentration de particules dans l’organisme, d’autres mettent en avant des effets sur les animaux.
Envisagée comme une cause majeure de la hausse des températures en 2023 et 2024, la diminution des particules libérées par les navires n’a pas joué un rôle crucial. Pour le climatologue Christophe Cassou, une étude récente clarifie ce débat.
Le ministre de la Santé de Donald Trump, ancien antivax, a donné son opinion sur le vaccin contre la rougeole. Et sans surprise, Robert Kennedy s'est montré très critique. Il a par ailleurs affirmé que ce vaccin contenait "de nombreux débris de fœtus et des particules d'ADN" et que c'est pour cela que certaines communautés religieuses du pays étaient contre la vaccination. […] Une information complètement fausse et qui représente un danger alors que les cas de rougeole, qui avaient pourtant été éradiqués aux États-Unis, augmentent avec une forte virulence. En 2024, 285 cas ont été recensés, contre 884 pour ce début d'année 2025.
Des études scientifiques sur neuf grands cours d’eau montrent une pollution « alarmante » en petites particules. Pour la première fois, une bactérie virulente pour les humains a été retrouvée sur des microplastiques.
Selon une étude sur la qualité de l'air publiée mardi 11 mars par l'entreprise suisse IQAir, avec le soutien de Greenpeace, seulement 17% des villes étudiées dans 138 pays avaient en 2024 un air qui respectait les recommandations de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) en termes de particules fines (PM2,5). C'est mieux que les 9% de 2023, mais un air pur reste une denrée rare.
Les seuils de pollution de l’air préconisés par l’OMS sont dépassés dans la quasi-totalité des pays, dont la France, d’après une étude d’IQAir. Seuls 12 territoires sur 138 évalués ne dépassent pas les normes de particules fines.
De la Normandie au Vaucluse en passant par la Haute-Savoie, plusieurs départements français traversent à partir de mardi un épisode de pollution aux particules fines dû à la combustion hivernale.Dans l'est du pays, la préfecture de Haute-Savoie a annoncé "un épisode de pollution atmosphérique de type +combustion+ (particules fines PM10 et dioxyde d'azote NO³)" dans la Vallée de l'Arve.Plusieurs mesures sont donc en vigueur et notamment l'interdiction d'utiliser des chauffages individuels au bois d'appoint ou d'agrément ou l'abaissement de la vitesse de 20km/h.
La concentration de microparticules PM 2,5, a dépassé durant la matinée plus de huit fois le seuil toléré par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
La présence de particules fines dans l’atmosphère, associée à des conditions météorologiques particulières, peut mener à des chutes de neige dans des secteurs très localisés. «Libé» décrypte ce phénomène courant mais peu connu.
Les Bouches-du-Rhône, le Var et le Vaucluse sont placés au même niveau mercredi jusqu’en milieu de journée, en raison de conditions atmosphériques défavorables, selon l’observatoire Atmo Auvergne-Rhône-Alpes.
La vigilance rouge aux particules fines, activée lundi pour la vallée de l'Arve en Haute-Savoie, est maintenue au moins jusqu'à mardi après-midi en raison de conditions atmosphériques défavorables, selon l'observatoire Atmo Auvergne-Rhône-Alpes.
Le niveau de vigilance rouge aux particules fines a été déclenché dimanche dans la vallée de l'Arve en Haute-Savoie, touchée ces derniers jours par un épisode de pollution atmosphérique, a annoncé la préfecture de département.Plusieurs mesures entrent en vigueur "dès cette nuit (...) à minuit" jusqu'à la fin de l'épisode de pollution de "type combustion" (particules fines PM10), qui s'étend de la vallée de Chamonix jusqu'aux limites du Pays Rochois, précise-t-elle dans un communiqué.
Depuis l'entrée en vigueur de la Zone de Basses Emissions (LEZ) à Bruxelles en 2018, les émissions du transport routier ont baissé de plus de 30% pour l'oxyde d'azote (NOX) et particules fines PM2.5, selon le monitoring 2024 de Bruxelles Environnement rendu public lundi.
La pollution de l'air aux particules fines a tué 239.000 personnes dans l'Union européenne en 2022, une baisse de 5% sur un an, selon un rapport de l'Agence européenne de l'environnement (AEE) publié mardi.
Au moins 239.000 décès en Europe peuvent être attribués chaque année à l'exposition aux particules fines présentes dans l'air, rapporte l'Agence européenne pour l'environnement (AEE) mardi. En Belgique, la mauvaise qualité de l'air entraînerait plus de 4.000 morts. La situation s'améliore néanmoins.
Une étude publiée ce lundi dans le «Journal of the American Medical Association» par des chercheurs brésiliens assure que des particules et fibres de plastiques peuvent gagner le cerveau via les cavités nasales.
Selon une étude menée en 2021 et en 2022, la pollution des plages autour du plus grand lac d’Europe occidentale est «préoccupante», révélant une moyenne de 7 600 particules de microplastiques par mètre carré.
Communiqué de presse co-signé par Canopea, la SSMG (Société scientifique de médecine générale), la Belgian Lung Fundation, la Fédération des maisons médicales. Une nouvelle étude (ici le briefing, ici l’étude) menée par le groupe environnemental Transport & Environment (T&E) indique que des milliers de cas d’hypertension artérielle, de diabète et de démence en Belgique et en Europe pourraient être liés aux minuscules particules émises par les avions.
- Afp
Le sud-est de la France est touché samedi par un épisode de pollution aux particules fines en raison du passage d'un nuage de sable du Sahara, ont annoncé les préfectures de la région Provence-Alpes-Côte-d'Azur (Paca) et de l'Hérault.
Selon le rapport annuel de iQAir, seulement sept pays dans le monde respectaient la directive annuelle de l'OMS sur les particules fines et la qualité de l'air. Si certains sont européens, la France n'en fait pas partie.
La concentration en particules ultrafines, dix à cent fois plus petites que les particules fines, est aussi élevée à l’intérieur de l’aéroport francilien qu’au niveau du boulevard périphérique autour de la capitale, selon Airparirf.
L'eau des bouteilles en plastique contient jusqu'à 100 fois plus de minuscules particules de plastique qu'estimé jusqu'ici, selon une nouvelle étude publiée lundi.
En utilisant une technique novatrice, les scientifiques de la revue « PNAS » ont comptabilisé en moyenne 240 000 fragments de plastique détectables par litre d’eau, après avoir testé le produit de trois marques populaires. Ce qui soulève des questions sur les conséquences pour la santé.
