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Un bébé avale chaque jour en moyenne plus d’un million de microparticules de plastique détachées de son biberon, selon une étude publiée lundi 19 octobre. Les auteurs de l’étude parue dans la revue Nature Food ont exposé chacun des modèles les plus vendus de biberons en polypropylène à la procédure de préparation recommandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : stérilisation du biberon, puis préparation du lait maternisé avec une eau chauffée à 70 °C, pour éliminer d’éventuelles bactéries dangereuses.
Selon une étude, la libération de ces éléments, dont on ignore la toxicité, est due à la stérilisation des biberons en polypropylène.Certains biberons exposeraient-ils les bébés à d'importantes quantités de microplastiques ? C'est en tout cas ce que conclue une étude publiée lundi, par la revue scientifique Nature Food.
Un bébé avale chaque jour en moyenne plus d’un million de microparticules de plastique détachées de son biberon, selon une étude publiée lundi qui suggère quelques gestes pour réduire cette ingestion dont l’impact sur la santé n’est pas connu.
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Si la pandémie de Covid-19 a mis à l’arrêt une grande partie des activités mondiales faisant baisser les émissions de C02 en 2020, ce répit pourrait être de courte durée. Ces dernières décennies, la crise climatique s’est aggravée et les pays les plus riches ainsi que les ménages les plus aisés en sont les premiers responsables. C’est le constat du nouveau rapport d’Oxfam qui met en lumière les inégalités en matière d’émissions de CO2. Les principales données sont résumées en une infographie.
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L'association de protection des consommateurs belges a fait analyser les urines de 84 enfants âgés de 2 à 15 ans, originaires de toutes les régions du pays, pour rechercher des marqueurs d'exposition récente à deux familles d'insecticides. Résultat: tous les échantillons urinaires contiennent des traces de pesticide. Or, "aucune dose n'est totalement exempte de risque pour la santé", prévient jeudi Test-Achats dans un communiqué.
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Un bébé avale chaque jour en moyenne plus d’un million de microparticules de plastique détachées de son biberon, selon une étude publiée lundi 19 octobre. Les auteurs de l’étude parue dans la revue Nature Food ont exposé chacun des modèles les plus vendus de biberons en polypropylène à la procédure de préparation recommandée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) : stérilisation du biberon, puis préparation du lait maternisé avec une eau chauffée à 70 °C, pour éliminer d’éventuelles bactéries dangereuses.
Selon une étude, la libération de ces éléments, dont on ignore la toxicité, est due à la stérilisation des biberons en polypropylène.Certains biberons exposeraient-ils les bébés à d'importantes quantités de microplastiques ? C'est en tout cas ce que conclue une étude publiée lundi, par la revue scientifique Nature Food.
Un bébé avale chaque jour en moyenne plus d’un million de microparticules de plastique détachées de son biberon, selon une étude publiée lundi qui suggère quelques gestes pour réduire cette ingestion dont l’impact sur la santé n’est pas connu.
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Si la pandémie de Covid-19 a mis à l’arrêt une grande partie des activités mondiales faisant baisser les émissions de C02 en 2020, ce répit pourrait être de courte durée. Ces dernières décennies, la crise climatique s’est aggravée et les pays les plus riches ainsi que les ménages les plus aisés en sont les premiers responsables. C’est le constat du nouveau rapport d’Oxfam qui met en lumière les inégalités en matière d’émissions de CO2. Les principales données sont résumées en une infographie.
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L'association de protection des consommateurs belges a fait analyser les urines de 84 enfants âgés de 2 à 15 ans, originaires de toutes les régions du pays, pour rechercher des marqueurs d'exposition récente à deux familles d'insecticides. Résultat: tous les échantillons urinaires contiennent des traces de pesticide. Or, "aucune dose n'est totalement exempte de risque pour la santé", prévient jeudi Test-Achats dans un communiqué.