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mpox
Si sept pays n’ont plus signalé de nouvelles contaminations depuis plusieurs semaines, l’Organisation mondiale de la santé maintient son plus haut niveau d’alerte concernant l’épidémie.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a approuvé mardi un vaccin contre le mpox fabriqué par la société pharmaceutique japonaise KM Biologics pour un usage d'urgence, le deuxième à obtenir l'approbation de l'agence.
Le nouveau variant du virus mpox a été détecté à Londres chez une personne ayant voyagé en Afrique, a annoncé, mercredi, l’agence de sécurité sanitaire britannique.
Les différentes épidémies de mpox en Afrique répondent à des logiques différentes, montre une étude parue jeudi, constatant que le nouveau variant du virus se transmet surtout entre humains alors que les contaminations par des animaux restent majoritaires pour la version plus ancienne.
Les différentes épidémies de mpox en Afrique répondent à des logiques différentes, montre une étude parue jeudi, constatant que le nouveau variant du virus se transmet surtout entre humains alors que les contaminations par des animaux restent majoritaires pour la version plus ancienne.
Deux mois après la déclaration d’urgence de l’Organisation mondiale de la santé, l’épicentre de l’épidémie vient d’obtenir les premières doses de vaccin, alors que la maladie sévit en République démocratique du Congo depuis cinquante ans.
La vaccination, qui devait initialement débuter mercredi, a été retardée notamment en raison de difficultés pour acheminer les précieuses doses à travers le pays.
Près de 35 000 cas ont été recensés depuis janvier, notamment en République démocratique du Congo, au Burundi, au Kenya, en Ouganda et au Rwanda.
Un nouveau test pour détecter le Mpox a été approuvé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce vendredi 4 octobre. A l’aide d’un prélèvement de type PCR, qui permet de détecter en temps réelle la présence du virus.
L’épidémiologiste et chercheuse au médialab de Sciences Po Camille Besombes souligne, dans une tribune au « Monde », que le commerce d’animaux sauvages, la déforestation et l’agriculture intensive, entre autres, contribuent grandement à la réémergence de maladies infectieuses en Afrique.
Alors que le premier cas de variole du singe, ou mpox, a été détecté en Thaïlande, “The Straits Times”, à Singapour, prodigue des conseils aux voyageurs pour se protéger.
Les jeunes sont particulièrement touchés par l'épidémie de mpox en Afrique, comme au Burundi, où presqu'un tiers des malades a moins de cinq ans, a annoncé vendredi le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef).
L’agence européenne du médicament (EMA) a approuvé jeudi la vaccination des jeunes avec le vaccin contre le Mpox de l’entreprise pharmaceutique danoise Bavarian Nordic. Après une autorisation de la Commission européenne, le vaccin Imvanex pourra également être administré aux enfants entre 12 et 17 ans.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a préqualifié le vaccin MVA-BN destiné à lutter contre l'épidémie de mpox qui frappe actuellement une partie du continent africain, a annoncé l'agence onusienne vendredi.
Le Maroc a recensé un cas du nouveau variant de Mpox dans la ville touristique de Marrakech, premier cas en Afrique du nord depuis l'annonce d'une alerte de santé publique par l'OMS en août, a annoncé vendredi le Centre pour le contrôle des maladies (CDC) pour l'Afrique.
Le virus du Mpox se répand rapidement en Afrique centrale, rapporte vendredi le Centre africain pour le Contrôle et la Prévention des maladies (CDC Afrique). Son directeur, Jean Kasey, affirme que 5466 cas ont été recensés et 26 personnes sont décédées ces sept derniers jours.
La première livraison de vaccins contre le mpox en RD Congo (RDC) est attendue jeudi. Le pays, qui est de loin le plus touché par le virus, doit recevoir quelque 200 000 doses cette semaine.
Le laboratoire Moderna a mis au point un produit expérimental pour lutter contre la nouvelle souche de la maladie qui sévit en Afrique et apparaît en Europe.
La flambée actuelle de mpox en Afrique a été déclarée « urgence de santé publique de portée internationale ». Le manque d’accès au vaccin fait courir des risques à l’échelle mondiale. Explications.
La Haute Autorité de santé appelle les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les prostitués à se faire vacciner contre la maladie, face à l’intense circulation du virus monkeypox en Afrique.
L’Unicef a annoncé samedi avoir lancé "un appel d’offres d’urgence" afin d’obtenir des vaccins contre le Mpox pour pouvoir aider les pays les plus durement touchés.
L’épidémie actuelle de mpox fait l’objet d’une alerte mondiale. En cause : la découverte d’un nouveau clade et le manque de vaccins en Afrique. En France, des questions se posent sur la stratégie vaccinale.
Madrid a annoncé faire un don représentant 20 % de son stock et a encouragé ses homologues européens à faire de même.
Le clade 1b est à l’origine de l’épidémie de mpox actuelle, considérée depuis le 14 août comme une urgence mondiale de santé publique par l’OMS. Voici ce qu’il faut savoir à son sujet.
Ce premier cas de mpox détecté chez un voyageur de 30 ans de retour d’Ouganda, pays touché par un variant du virus récemment apparu en Afrique.
Le jeudi 22 août, les autorités sanitaires thaïlandaises ont annoncé qu’un Européen était porteur du clade 1b de la mpox. Il s’agit du premier cas confirmé en Asie de ce nouveau variant potentiellement plus dangereux et contagieux.
L'épidémie de mpox en cours en Afrique en a déclenché une autre, mondiale celle-ci : une déferlante d'infox, sur fond d'homophobie et de conspirationnisme, après le déclenchement par l'OMS, mi-août, de son niveau d'alerte sanitaire le plus élevé.
En France, 232 sites de vaccination sont d’ores et déjà ouverts pour faire face à l'épidémie de mpox, a indiqué mardi le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal, tout en promettant 100 000 doses de vaccins aux pays les plus touchés.
« Plandémie », implication de Bill Gates, manipulations en laboratoire ou complot des Big Pharma… L’urgence de santé publique déclarée par l’Organisation mondiale de la santé ravive les obsessions des complotistes.
Les Philippines ont fait état lundi d'un premier cas de mpox sur leur territoire depuis le début de l'année, mais les autorités doivent encore déterminer s'il s'agit d'un cas de sous-type clade 1b jugé plus dangereux.
L’OMS a recommandé lundi aux pays touchés par le variant du virus mpox récemment apparu en Afrique de lancer des plans de vaccination dans les zones où des cas sont apparus.
Frédéric Valletoux chiffre ce dimanche 18 août à «150 000 personnes» le nombre de vaccinés dans l’Hexagone depuis la première vague de mpox en 2022. La vaccination reste pour l’instant réservée au «public le plus exposé».
Plus agressif que le variant à l’origine de l’épidémie de 2022, clade 1b a déjà fait des centaines de morts en Afrique. Mais le maillage sanitaire et les stocks de vaccins disponibles en Europe limitent les risques pour la population.
L'OMS doit publier prochainement les premières recommandations de son comité d'urgence sur le mpox mais l'organisation et les ONG de santé appellent d'ores et déjà les fabricants de vaccins à accroître largement leur production.
Le continent africain fait face à une résurgence d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC et baptisée « clade 1b », plus mortelle et plus transmissible que les précédentes. Des cas ont également été détectés en Suède et au Pakistan.
Le continent fait face à la propagation d’une nouvelle souche du virus, détectée en RDC en septembre 2023, plus mortelle et plus transmissible que les précédentes.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclenché mercredi son plus haut degré d'alerte au niveau international face à la résurgence des cas de mpox en Afrique. Identifiée en 1958, cette maladie n’a rien de nouveau. Pourquoi suscite-t-elle de nouvelles inquiétudes ? France 24 fait le point.
L’OMS a déclenché mercredi son niveau d’alerte le plus élevé. Pékin va renforcer ses contrôles vis-à-vis des personnes et des biens susceptibles d’avoir été en contact avec la variole du singe.
L’OMS s’inquiète de la flambée d’un variant plus contagieux et plus dangereux du virus de la mpox, auparavant appelée “variole du singe”. Les cas se multiplient en Afrique, dans des pays qui n’avaient jamais connu la maladie. Un premier cas a été annoncé en Suède, un autre au Pakistan.