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Palestine
25 septembre 2025
Donald Trump a présenté aux dirigeants de plusieurs pays du Moyen-Orient un plan de paix en 21 points pour le Proche-Orient et la bande de Gaza, a déclaré mercredi son émissaire spécial, se disant confiant en une "sorte de percée" dans les prochains jours. Pendant ce temps-là, l'armée israélienne intensifie encore son offensive, qui a fait mercredi des dizaines de morts.
L’attaque de la Global Sumud Flotilla et de ses 51 navires en route pour tenter symboliquement de briser le blocus de la bande de Gaza, attribuée à Israël, ravive les tensions en Europe.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a délivré jeudi par vidéo devant l'ONU un vibrant plaidoyer pour le peuple palestinien victime des "crimes" israéliens, assurant sans équivoque que le Hamas n'aurait aucun rôle dans la future gouvernance d'un éventuel Etat de Palestine.
L’armée israélienne a déclaré que 700.000 Palestiniens avaient fui Gaza-ville vers le sud du territoire palestinien depuis fin août, alors que les troupes israéliennes mènent une offensive terrestre sur l’ensemble de l’agglomération, pilonnée, dans le but affiché d’y anéantir le Hamas.
24 septembre 2025
La flottille humanitaire pour Gaza s'est dite ciblée dans la nuit de mardi à mercredi par une nouvelle attaque de drones alors qu'elle naviguait au sud-ouest de la Crète. "De multiples drones, des objets non identifiés largués, des communications brouillées et des explosions entendues depuis plusieurs bateaux", a décrit la flottille, qui n'a pas fait état de victimes ou de dégâts.
Une soixantaine d’Italiens, dont quatre parlementaires, se trouvent à bord de la flottille, qui comprend une cinquantaine d’embarcations transportant quelques centaines de participants venus de 45 pays. L’ONU a appelé à ce que cessent les « attaques » sur la flottille.
Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits de l'homme a demandé mercredi que cessent les "attaques" sur la flottille en route pour la bande de Gaza, réclamant une enquête "indépendante". Dans le même temps, le ministre de la Défense italien Guido Crosetto a annoncé l'envoi d'une frégate militaire pour "d'éventuelles opérations de secours".
La Commission européenne a libéré une aide de 50 millions d'euros supplémentaires pour faire face à la situation humanitaire à Gaza et répondre aux besoins croissants en Cisjordanie, a annoncé l'institution mercredi.
23 septembre 2025
La France, la Belgique et plusieurs autres pays ont reconnu hier soir l’Etat de Palestine. Ils tentent de mettre un peu plus la pression sur Israël à l’ouverture de la grand-messe annuelle de l’ONU à New York. En réponse, le gouvernement israélien accélère la colonisation en Cisjordanie occupée et entrave la perspective d’un futur Etat palestinien sur le terrain.
Le poste-frontière Al-Karameh entre le territoire palestinien occupé et la Jordanie, d’où passait de l’aide vers Gaza, devrait fermer mercredi. L’Etat hébreu n’a pour l’heure pas confirmé l’information.
Le secrétaire général de l’ONU a porté devant la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies, mardi 23 septembre, un discours alarmant sur la situation à Gaza, mais aussi au Soudan.
Lors de son discours à la tribune de l'ONU, le président Emmanuel Macron a défendu mardi un "multilatéralisme efficace". Évoquant les guerres en Ukraine et à Gaza, il a insisté sur le fait que la France refusait le "double standard" en matière de paix et a invité les pays à "agir".
Le prix Nobel de la paix convoité par Donald Trump "n'est possible que si vous arrêtez ce conflit" entre Israël et les Palestiniens, a estimé mardi Emmanuel Macron à l'adresse du président américain, lors d'un entretien accordé à BFMTV depuis New York.
A l’occasion de l’ouverture de l’Assemblée générale des Nations unies ce mardi à New York, le président américain a multiplié les diatribes contre les pays européens, l’immigration ou encore la reconnaissance de l’Etat de Palestine.
22 septembre 2025
Les dirigeants japonais et sud-coréens vont participer à la 80ᵉ Assemblée générale de l’ONU à New York, mais aucun des deux ne suivra la décision de la France. Washington a insisté pour qu’ils ne franchissent pas le pas.
Intervenue à la veille du discours d’Emmanuel Macron devant l’Assemblée générale de l’ONU, la décision de Londres, allié historique d’Israël, revêt une portée particulière : c’est le ministre des affaires étrangères britanniques, Lord Balfour, qui avait favorisé, en 1917, « l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif ».
Après le Canada, le Royaume-Uni, l’Australie et le Portugal, la France s’apprête à reconnaître officiellement l’Etat de Palestine ce lundi 22 septembre à l’Assemblée générale des Nations unies.
La France et plusieurs autres pays doivent reconnaître lundi l’État de Palestine, tentant de mettre un peu plus la pression sur Israël à l'ouverture de la grand-messe annuelle de l'Organisation des Nations unies (ONU) à New York qui sera dominée par la guerre à Gaza.
Depuis la mise hors service d’autres établissements de soins de la ville de Gaza à cause des bombardements israéliens la semaine dernière, l’hôpital d’Al-Shifa fait face à un flot ininterrompu de blessés. Contacté par la rédaction des Observateurs, le directeur de l'hôpital, Mohammed Abou Salmiya, témoigne d’une situation ingérable.
Le président français a prononcé ce lundi 22 septembre un discours historique à la tribune de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York au cours duquel il a annoncé la reconnaissance de la Palestine par la France. Voici les principaux points de son intervention d’une vingtaine de minutes.