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Uniquement les Articles de la décennie 2010
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un rapport de la Banque mondiale de mars 2018 évoque 143 millions de migrants climatiques d'ici à 2050 et l'ONU chiffre même ces futurs flux à 1 milliard de personnes sur la même période. Ces populations seront contraintes de quitter leur région en raison des conséquences directes du changement climatique (stress hydrique, baisse des rendements agricoles, manque de nourriture, inondations, vagues de chaleur, sécheresses, cyclones, etc.) mais aussi des conflits qui en découleront.
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En plein débat sur la politique migratoire européenne, l’article de Science corrélant l’évolution de la température mondiale et le nombre de demandes d’asile auprès des vingt-huit pays membres de l’Union européenne (UE) devrait susciter quelques réactions.
La Syrie s’est effondrée. On pense souvent que la cause en est uniquement politique ou religieuse. Faux, note l’auteur, rappelant qu’il ne faut pas oublier le climat et offrant dans cette tribune un regard nouveau sur la crise actuelle. "L’afflux de réfugiés n’est donc pas une « crise », c’est le début d’un grand mouvement planétaire, et plus précisément d’un effondrement global."
De nombreux géologues estiment que nous sommes entrés dans une nouvelle époque géologique : l’Anthropocène. Selon eux, cette époque se caractérise par l’impact majeur de l’homme sur le système terrestre, y compris climatique : les humains sont devenus la principale force de changement de la planète, surpassant les forces géophysiques. En d’autres termes, l’Anthropocène peut être décrit comme l’âge des humains. Dans son acception traditionnelle, l’Anthropocène marque une rupture dans la relation qui unit les hommes à la Terre, qui oblige à penser une nouvelle géopolitique – les politiques de la Terre (voir prochainement à ce sujet la contribution de Bruno Latour). En ce sens, cette nouvelle ère géologique a largement dépassé le champ de la géologie pour entrer dans celui des sciences sociales.