Recherche : Articles Audio – podcast
Fiches
Livres
Sites
Vidéos
retour Veille
Uniquement les Articles de la décennie 2010
Pour voir les références d’un(e) auteur(e), cliquez sur son nom. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
Cela fonctionne également avec les mot-clés de chaque référence.
filtre:
rivière
abs_empty
La population animale des forêts à travers le monde a baissé de près de 53% depuis 1970, ressort-il mardi d'une étude du Fonds mondial pour la nature (WWF). Un phénomène qui s'expliquerait en grande partie par la destruction d'espaces vitaux par l'homme.
abs_empty
abs_empty
Environ 8 millions de tonnes de plastique sont déversées chaque année dans les océans. Ce plastique constitue un danger pour la vie marine et pour la santé des personnes. Les déchets de plastique non collectés ou intentionnellement déversés dans les fleuves se retrouvent dans les océans. Des études commencent à être conduites afin de cartographier les zones concernées et déterminer l'origine de ce plastique.
abs_empty
Et la doter d’une personnalité juridique, pour la protéger, comme l’a fait la Nouvelle-Zélande avec l’un de ses fleuves ? Tandis que les droits des fleuves, montagnes et forêts victimes de destructions causées par l’homme et le dérèglement climatique sont réévalués partout dans le monde, l’association La Seine n’est pas à vendre étudie la possibilité de doter la Seine d’une personnalité juridique pour mieux la protéger. Nous en avons discuté avec Thierry Paquot, philosophe de l’urbain, qui s’inquiète des destructions irréversibles causées par l’urbanisation à l’échelle planétaire, et Valérie Cabanes, juriste en droit international et représentante en Europe de l’Alliance mondiale pour les droits de la nature,
abs_empty
abs_empty
abs_empty
Avec un tel changement de paradigme, l’homme n’est plus compris comme dominant la terre et les diverses espèces vivantes. Il est compris plutôt comme faisant partie de la nature. Une vision écocentriste, s’appuyant notamment sur des savoirs traditionnels autochtones et soulignant l’importance de respecter les droits autonomes des autres espèces et milieux de vie sur la Terre, tend ainsi à se substituer à l’approche anthropocentriste qui a prévalu à ce jour.
abs_empty
In the early 2000s, the idea of giving legal rights to nature was on the fringes of environmental legal theory and public consciousness. Today, New Zealand’s Whanganui River is a person under domestic law, and India’s Ganges River was recently granted human rights. In Ecuador, the Constitution enshrines nature’s “right to integral respect”.
Parmi les nombreuses illusions vertes qu’on nous présente comme une « solution » qui nous permettrait de continuer à bénéficier du confort industriel tout en ne détruisant plus la nature, en la respectant, ou (et c’est surtout ce qui est mis avant) en ne déréglant plus son climat, on retrouve l’hydroélectricité produite par les barrages.