Uniquement les Articles de la décennie 2020
Les champs auteur(e)s & mots-clés sont cliquables. Pour revenir à la page, utilisez le bouton refresh ci-dessous.
filtre:
connaissance des énergies
Le Kirghizistan et le Tadjikistan, deux pays montagneux d'où proviennent les ressources hydriques en Asie centrale, font face à une crise énergétique en raison du manque d'eau servant à alimenter deux immenses centrales hydroélectriques, ont indiqué des responsables.
L’Allemagne va instaurer à partir de 2026 un tarif d’électricité préférentiel pour son industrie et lancer un programme de nouvelles centrales électriques au gaz, a annoncé ce jeudi 13 novembre le chancelier Friedrich Merz à l’issue d’une réunion du comité de coalition.
Des débris de drones ukrainiens ont touché jeudi la centrale nucléaire de Novovoronej, dans le sud-ouest de la Russie, perturbant brièvement son fonctionnement, a indiqué vendredi le directeur de l'agence russe du nucléaire Rosatom.
Les millions de tonnes de CO2 qu'elle relâche dans l'atmosphère pourraient disparaître, enfouies sous la Méditerranée: la plus grande cimenterie de France, située en Isère (sud-est), prépare sa mue en industrie "zéro émission" à l'horizon 2030.
Les émissions de dioxyde de carbone issues des énergies fossiles devraient atteindre un nouveau record en 2025, selon une étude scientifique de référence qui confirme jeudi qu'il sera quasiment "impossible" de limiter le réchauffement planétaire à moins de 1,5°C. Selon le Global Carbon Project, mené par 130 scientifiques internationaux et publié comme chaque année alors que les nations sont réunies pour la conférence de l'ONU sur le climat (COP30), les émissions de CO2 issues du charbon, du pétrole et du gaz fossile seront supérieures en 2025 de 1,1% à celles de l'année précédente, pour atteindre 38,1 milliards de tonnes (GtCO2).
Dans un message publié sur LinkedIn et repéré par le média Contexte, le président de l’Ademe (Agence de la transition écologique), Sylvain Waserman, a défendu l’agence face à des critiques portant sur son fonctionnement et son bilan.
Les énergies renouvelables se déploient au niveau mondial plus vite que les énergies fossiles, malgré les changements de politiques aux Etats-Unis, indique mercredi l'Agence internationale de l'énergie (AIE) qui, dans son scénario médian, voit aussi la demande de pétrole "se stabiliser vers 2030". Les renouvelables, tirées par le solaire photovoltaïque, voient leur demande croître "plus rapidement que toute autre source majeure d'énergie, dans tous les scénarios" présentés par l'AIE dans son rapport annuel sur les perspectives énergétiques mondiales (WEO 2025).
TotalEnergies et Google ont signé un contrat sur la vente d'électricité d'origine renouvelable pour alimenter des centres de données de Google dans l'Ohio aux États-Unis, pour un volume total de 1,5 TWh sur 15 ans, a annoncé mercredi le géant pétrogazier français.
L'organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) a maintenu mercredi ses prévisions de hausse de la demande mondiale de pétrole pour 2025 et 2026, en tablant sur une "dynamique économique mondiale robuste" et une atténuation des tensions commerciales.
Dans le World Energy Outlook 2025 de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) rendu public ce 12 novembre(1), le « Current Policies Scenario » (CPS), tombé en disgrâce en 2019, refait surface. Ce scénario suppose la pleine application des « politiques et régulations déjà en place ». C’est un scénario de triomphe de l’Amérique trumpienne : le pétrole et le gaz dominent encore le système énergétique en 2050 ; les émissions de CO2 diminuent à peine d’ici 2050 ; la température mondiale n’est pas stabilisée avant la fin du siècle.
Dans la ruée vers l'IA, les géants américains de la tech ont l'argent et maintenant les puces. Mais leur compétition féroce se heurte à un autre obstacle : électrifier des centres de données énergivores, synonyme à court terme d'un regain de production du gaz et du charbon.
L'Ukraine s'est dite visée par une nouvelle attaque russe contre ses infrastructures énergétiques dans la nuit de vendredi à samedi, faisant deux morts et provoquant des coupures de courant dans plusieurs régions. Bien partie pour s'emparer de l'important noeud logistique de Pokrovsk, dans l'est, l'armée russe intensifie aussi ses bombardements contre les installations gazières et électriques de tout le pays, faisant craindre un hiver difficile pour les civils alors que les températures baissent.
Le géant britannique des hydrocarbures Shell a annoncé lundi l'abandon de deux projets d'éolien flottant en Mer du Nord au large de l'Écosse, dans le cadre de sa stratégie de recentrer ses activités sur le pétrole et le gaz pour doper ses bénéfices.
L'Ukraine s'est dite visée par une nouvelle attaque russe contre ses infrastructures énergétiques dans la nuit de vendredi à samedi, provoquant des coupures de courant dans plusieurs régions. Bien partie pour s'emparer de l'important noeud logistique de Pokrovsk, dans l'est, l'armée russe intensifie aussi ses bombardements contre les installations gazières et électriques de tout le pays, faisant craindre un hiver difficile pour les civils alors que les températures baissent.
Donald Trump a accepté d'accorder à la Hongrie une dérogation aux sanctions américaines liées au pétrole russe, lors d'une rencontre vendredi avec le Premier ministre Viktor Orban, dont il a loué de manière appuyée la politique anti-immigration.
L'Ukraine a été visée samedi par une nouvelle série de frappes de drones et de missiles russes qui ont endommagé ses infrastructures énergétiques et provoqué des coupures de courant, y compris dans la capitale, faisant au moins quatre morts à travers le pays. La Russie cible depuis plusieurs semaines les centrales électriques et installations gazières ukrainiennes, provoquant régulièrement des coupures à travers le pays et faisant craindre un hiver difficile alors que les températures baissent.
Le nucléaire revient sur le devant de la scène mais qui va payer pour ces projets gigantesques, longs et risqués? Domaine régalien par excellence, l'atome doit désormais envisager de nouveaux modes de financement, y compris privés, pour accélérer. Tombé en disgrâce après l'accident de la centrale japonaise de Fukushima en 2011, le nucléaire connaît un regain d'intérêt, porté par les besoins de décarboner l'énergie, renforcer l'indépendance énergétique et de répondre à l'explosion de la demande en électricité, dopée notamment par l'intelligence artificielle.
Le président brésilien Lula a estimé vendredi que "le modèle de développement basé sur l'utilisation intensive de combustibles fossiles" était intenable, au deuxième jour du sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem. Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas comme tel à l'agenda de la conférence climat qui s'ouvrira lundi dans cette ville d'Amazonie brésilienne. Mais certains pays comme le Brésil - pourtant huitième producteur mondial de pétrole - tiennent à remettre le sujet au coeur des débats.
Le président brésilien Lula a appelé vendredi à une sortie "juste" et "ordonnée" des énergies fossiles, envoyant un signal politique fort au sommet de dirigeants mondiaux en prélude à la COP30 à Belem. Deux ans après l'adoption inédite à la COP28 à Dubaï d'un engagement général à sortir progressivement des énergies fossiles, le thème ne figure pas officiellement à l'agenda de la conférence de l'ONU sur le climat, qui s'ouvrira lundi pour près de deux semaines dans cette ville d'Amazonie brésilienne. Mais certains pays comme le Brésil, huitième producteur mondial de pétrole, veulent remettre le sujet dans les débats, en l'absence notable de grands pays pétroliers, à commencer par les Etats-Unis de Donald Trump.
Des experts indépendants, qui évaluent chaque année les objectifs de la Chine en matière de climat, estiment maintenant qu'elle atteindra le pic de ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2030, et non d'ici la fin de l'année comme anticipé précédemment, selon une étude publiée jeudi. Ce quatrième sondage annuel, publié en amont de la COP30 au Brésil, interroge près de 70 experts. Il se veut moins confiant qu'en 2024, lorsque près de la moitié des spécialistes interrogés pensaient que les émissions de CO2 de la Chine avaient déjà atteint leur maximum ou le feraient en 2025.
La croissance économique, en particulier dans les pays émergents, est le principal facteur responsable de la hausse des émissions mondiales de gaz à effet de serre, selon un rapport de l'OCDE publié jeudi. "La croissance économique est le moteur des émissions dans les pays partenaires de l'OCDE", indique, dans son "Observateur de l'action climatique" 2025, l'organisation internationale qui rassemble des pays riches. Parmi ces "pays partenaires", on trouve de grandes économies émergentes dont les émissions ne cessent de croître, entraînant celles du monde entier: Chine, Inde, Arabie saoudite entre autres. Et des pays où elles baissent légèrement: Brésil, Indonésie et Afrique du Sud.
Pays le plus peuplé du monde et troisième plus gros émetteur de gaz à effet de serre de la planète, l'Inde reste profondément dépendante au charbon pour satisfaire sa demande en énergie. Et pourtant, elle est aussi un poids lourd de la diplomatie du climat. Voici ce que l'on sait des engagements de New Delhi en matière de climat, avant l'ouverture lundi au Brésil de la COP30, la conférence des Nations unies sur le climat. - Emissions - L'Inde a émis 4,4 milliards de tonnes équivalent CO2 en 2024 - une unité de mesure des gaz à effet de serre favorisant le changement climatique - selon l'ONU, dépassée seulement par la Chine et les Etats-Unis. Mais avec une population de 1,4 milliard d'habitants, ses émissions par tête sont loin de figurer en haut du tableau.
TotalEnergies a annoncé mardi la signature d'un contrat avec l'opérateur français de centre de données Data4 pour la fourniture d'électricité renouvelable à ses sites en Espagne, à partir de janvier 2026 et pour 10 ans, d'un volume total de 610 GWh. "TotalEnergies alimentera les installations de Data4 avec de l'électricité renouvelable produite par des parcs éoliens et solaires espagnols d'une capacité équivalente à 30 MW et entrant prochainement en production", a précisé la compagnie pétrolière dans un communiqué. Le montant du contrat n'a pas été communiqué.
À deux jours de l'arrivée des dirigeants mondiaux à Belem pour la COP30, le bilan est tombé : les engagements des pays dirigent le monde vers un réchauffement de 2,5°C, très au-delà de ce que vise l'accord de Paris, alerte l'ONU mardi. Si les feuilles de route sont respectées… Le réchauffement est attendu entre 2,3°C et 2,5°C au cours de ce siècle, qui plus est si les feuilles de route climatiques des pays sont intégralement mises en œuvre, selon les calculs de l'ONU Environnement (PNUE) publiés avant la 30e conférence sur le climat des Nations unies dans la ville amazonienne de Belem, au Brésil.
Le retour annoncé du nucléaire est "une réalité": au WNE, plus grand salon au monde consacré au nucléaire civil, les acteurs célèbrent le retour en grâce de cette énergie mais le chemin reste pavé de défis. Le World Nuclear Exhibition, plus grand salon mondial du nucléaire civil en nombre d'exposants et de visteurs se tient jusqu'à jeudi à Villepinte, au nord de la capitale française. Il y a 4 ans, le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'Energie, Fatih Birol, évoquait ici-même "le retour du nucléaire". C'est "une réalité maintenant", a-t-il lancé en inaugurant le salon.
Du haut de son 1,35 m, Hoxo sera-t-il le nouveau compagnon des travailleurs du nucléaire? Le géant français du cycle du combustible Orano (ex-Areva), en partenariat avec Capgemini, va tester durant 4 mois un robot humanoïde boosté à l'intelligence artificielle pour soutenir ses collaborateurs dans les tâches répétitives. "Sur une installation nucléaire, c'est la première fois dans le monde qu'on met en oeuvre un robot humanoïde y compris pour un test", indique à l'AFP Pierre Simonnet, directeur qualité et performance à Orano Melox, l'usine dédiée à la fabrication de MOX (combustible nucléaire recyclé), à Marcoule (Gard).
Lors de son adoption en 2015, l’accord de Paris a généré beaucoup d’espoirs, car il embarquait l’ensemble des signataires. De par son caractère universel, il allait donner une tout autre dimension à la lutte contre le réchauffement planétaire. Changement d’ambiance, dix ans après, à l’ouverture de la COP30 sur le climat à Belém au Brésil, qui doit se tenir du 10 au 21 novembre 2025. En 2024, le thermomètre a affiché un réchauffement de 1,5 °C, les émissions mondiales de CO2 ont continué d’augmenter et sa concentration dans l’atmosphère a battu tous ses records. Avec la défection des États-Unis après la réélection de Donald Trump, l’universalisme de l’accord en a pris un sérieux coup.
L'Arabie saoudite, la Russie et six autres producteurs de pétrole membres de l'Opep+ se réunissent dimanche pour, selon toute attente, décider d'une nouvelle augmentation de leur production en décembre et poursuivre leur reconquête de parts de marché. Le groupe devrait convenir d'une légère augmentation de ses quotas de 137.000 barils par jour, similaire à celle décidée le mois dernier, selon Emily Ashford, analyste chez Standard Chartered, interrogée par l'AFP. Depuis avril, l'Arabie saoudite, la Russie, l'Irak, les Emirats arabes unis, le Koweït, le Kazakhstan, Oman et l'Algérie ont rehaussé leurs objectifs de production d'environ 2,7 millions de barils par jour (mb/j). Un rythme que personne n'anticipait en début d'année de la part de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) qui a longtemps lutté contre l'érosion des prix en organisant la raréfaction de son offre de pétrole.
Le G7 a annoncé vendredi plus d'une vingtaine de nouveaux projets visant à infléchir la domination de la Chine dans les chaînes d'approvisionnement en minéraux critiques avec pour but de rééquilibrer, à terme, le marché mondial. Ces accords annoncés à l'issue d'une rencontre au Canada des ministres de l'Energie des pays du G7 concernent divers métaux essentiels mais aussi les terres rares, un secteur dans lequel la Chine exerce une influence majeure.
Donald Trump a appelé jeudi à supprimer une règle du Sénat requérant une majorité de 60 voix pour adopter un texte, à l'heure où les États-Unis s'enlisent dans la paralysie budgétaire faute d'accord au Congrès. Cette règle permet à 41 des 100 sénateurs de bloquer tout projet de loi avant qu'il ne soit débattu ou voté, une technique d'obstruction parlementaire établie de longue date, surnommée "filibuster". Ce mécanisme oblige démocrates et républicains à trouver des compromis. Chacun des deux partis s'en est déjà servi par le passé. "Il est temps pour les républicains de jouer leur +CARTE TRUMP+ et de mettre en oeuvre ce qu'on appelle l'Option Nucléaire - se débarrasser du Filibuster, et s'en débarrasser MAINTENANT !", a écrit le président américain dans la nuit de jeudi à vendredi sur Truth Social.
Le Parlement bulgare a adopté vendredi une motion limitant les exportations de produits pétroliers vers d'autres États membres de l'Union européenne, afin de garantir la sécurité énergétique du pays, à la suite des sanctions imposées par les États-Unis aux hydrocarbures russes.
La Russie a lancé une nouvelle attaque massive contre des sites énergétiques ukrainiens dans la nuit de mercredi à jeudi en faisant trois morts dont une fillette et en provoquant de vastes coupures d'électricité dans le pays.
Le développement de l'éolien offshore est « sur le point de connaître une forte croissance, même si de nombreux pays risquent de ne pas atteindre leurs objectifs pour 2030 », estime Ember. Le think tank a publié ce 30 octobre un état des lieux(1) - « contribution essentielle avant la COP30 » - dans lequel il appelle à accélérer le déploiement de la filière et à renforcer les ambitions associées.
Les ministres de l'Énergie du G7 ont annoncé jeudi au Canada le lancement d'une "alliance" pour contrer la mainmise chinoise sur les minéraux critiques, afin de garantir un accès plus fiable à ces ressources indispensables aux technologies du futur. Cette réunion de deux jours des sept pays s'est ouverte à Toronto quelques heures après la signature d'un accord entre le président des Etats-Unis Donald Trump et son homologue chinois Xi Jinping sur l'approvisionnement en terres rares, utilisées dans nombre de produits, des panneaux solaires aux missiles de précision. "Un bon signe", selon la ministre allemande de l'Économie et de l'Énergie Katherina Reiche, qui a souligné devant la presse à Toronto la dépendance de son pays aux exportations chinoises de minéraux critiques.
Le temps presse. A une dizaine de jours de la grande conférence de l'ONU sur le climat à Belem, au Brésil, l'Union européenne espère encore obtenir un feu vert de ses Etats membres sur sa trajectoire climatique en 2035 et 2040. Une réunion décisive est prévue mardi prochain entre les ministres de l'Environnement des 27.
"Et le pétrole dans tout ça?", c'est la question récurrente entourant le gigantesque déploiement militaire américain près des cotes sud-américaines, officiellement pour une opération anti-drogue contre le Venezuela qui dispose des plus grandes réserves d'or noir du monde et fait déjà l'objet d'un embargo pétrolier. Les États-Unis ont déployé sept navires de guerre dans les Caraïbes et un dans le Golfe du Mexique, et le plus grand porte-avion du monde est en route pour la zone. Pour le président Nicolas Maduro, Washington se sert du trafic de drogue comme prétexte "pour imposer un changement de régime" et s'emparer du pétrole vénézuélien. - "Le business continue"
Google a annoncé lundi avoir passé un accord avec le groupe américain NextEra Energy qui prévoit la remise en service début 2029 de la centrale nucléaire Duane Arnold, dans l'Iowa (centre), pour le développement des infrastructures de l'IA du géant californien. L'accord entre les deux entreprises vise à "répondre à la demande croissante en énergie de l'intelligence artificielle (IA) grâce à une énergie nucléaire propre et fiable", ont-elles annoncé dans un communiqué commun.
Chevron, opérateur historique au Venezuela, est au centre de la crise entre Caracas et Washington : la compagnie pétrolière américaine bénéficie d'un régime spécial depuis juillet avec une nouvelle "licence" qui a des conséquences complexes sur l'économie du pays et sa monnaie, en chute libre. Washington a durci ses sanctions contre le Venezuela en 2019 pour tenter d'évincer du pouvoir Nicolas Maduro dont il ne reconnaît pas les réélections en 2018 et 2024. Il a en même temps octroyé des autorisation d'exploiter du pétrole ou du gaz, malgré l'embargo à des sociétés pétrolières.
L'intelligence artificielle (IA) peut aider à doubler la productivité d'un puits de pétrole, a affirmé mardi le PDG de Saudi Aramco, estimant que les combustibles fossiles fourniront une grande part des besoins énergétiques mondiaux pendant encore des décennies. "Si vous forez un puits et que vous exploitez l'IA et la numérisation, vous pouvez augmenter la productivité deux fois plus", a déclaré Amin Nasser, patron du plus grand exportateur de pétrole au monde, lors de la conférence Future Investment Initiative (FII) à Ryad.
Le gouvernement américain va investir au moins 80 milliards de dollars dans la construction de nouveaux réacteurs nucléaires conventionnels en vertu d'un partenariat annoncé mardi avec le groupe américain Westinghouse Electric Company. C'est une nouvelle étape majeure du rebond du nucléaire aux Etats-Unis, en partie initié par les géants du secteur technologique aux besoins croissants en électricité pour alimenter leurs centres de données (data centers), notamment pour l'intelligence artificielle (IA).
![]()


