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La coalition Kick Big Polluters Out a identifié plus de 1 600 lobbyistes des énergies fossiles parmi les 40 000 inscrit·es au 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil). C’est la plus forte concentration jamais observée à une COP.
Les négociations climatiques de la COP30 au Brésil sont fragilisées par la présence en nombre de participants liés, plus ou moins directement, à l'industrie des énergies fossiles, a dénoncé vendredi une coalition d'ONG qui a tenté de les décompter.
À l’occasion de la COP30, la conférence annuelle des Nations unies sur le changement climatique, qui a lieu au Brésil en novembre 2025, la rédaction de Brief.science vous propose un e-book exceptionnel pour comprendre le changement climatique en 20 infographies.
Douze pays viennent de signer une Déclaration sur l’intégrité de l’information sur le changement climatique, et les négociations continuent pour intégrer la lutte contre les fake news à un texte final voté en plénière. Pour Eva Morel de l’association Quota Climat, cette avancée inédite est essentielle pour lever les freins à l’action climatique.
Mardi soir, des représentants amazoniens ont tenté de forcer l’entrée de la « zone bleue » des Nations unies. Les Etats devront répondre aux inquiétudes de ces « gardiens de la forêt », en première ligne des dégradations de l’environnement.
Forêts en bourse, agrocarburants ou marchés carbone : la COP30 ou le sacre des «fausses solutions» ?
(13/11) - Anne-Claire PoirierQuelques jours après le début du 30ème sommet mondial (COP30) sur le climat, la tournure des discussions inquiète alors que l’hôte brésilien promeut des solutions jugées inefficaces voire dangereuses, avec la bénédiction des pays riches.
C'est la première COP organisée en Amazonie. Mais à Belém, mercredi, des autochtones brésiliens, dont le célèbre cacique Raoni, ont fait entendre leur frustration, estimant que leurs voix ne sont pas suffisamment prises en compte.
Dix États viennent de s’engager à défendre l’intégrité de l’information liée au changement climatique à l’occasion de la 30ème conférence mondiale (COP30) sur le climat à Belém (Brésil). Ils ont appelé à mettre en place des cadres légaux pour lutter contre la désinformation, qui sape «la capacité des sociétés à élaborer des solutions collectives».
La Chine se présente comme le leader de l’économie des énergies renouvelables, face à des Etats-Unis arc-boutés sur les énergies fossiles. Mais cette transition se révèle trompeuse, écrit Pascal Riché dans sa chronique au « Monde ».
Des heurts ont eu lieu entre des militants autochtones brésiliens et les agents de sécurité de la conférence sur le climat de l’ONU à Belem, au Brésil.
« Je suppose qu’il est tentant, si le seul outil dont vous disposez est un marteau, de traiter tout comme s’il s’agissait d’un clou. » C’est ce qu’écrivait le célèbre psychologue Abraham Maslow en 1966. Si Maslow était encore parmi nous aujourd’hui, j’imagine qu’il approuverait le corolaire selon lequel si votre seul outil est la technologie, chaque problème semble avoir une solution technologique. Et c’est une caractérisation pertinente de la pensée centrée sur les « tech bro » qui prévaut aujourd’hui dans le discours public sur l’environnement.
Alors que la COP30 débute aux portes de l’Amazonie, de riches propriétaires de terres assènent de fake news le débat sur la déforestation. Reporterre a rencontré l’un de ces leaders, cow-boy pro-Trump résolument anti-écologiste.
Dans une tribune au « Monde », un collectif de doctorants et de doctorantes en sciences de la Terre et du climat dénonce l’hypocrisie de politiques internationales qui prétendent mener la transition écologique mais « minent, décision après décision, les moyens d’y parvenir ».
Plus de 3 000 représentant·es des peuples autochtones brésiliens se rendent à Belém, où se déroule le 30ème sommet mondial sur le climat. Sur place, l’espace «Aldeia COP» a été pensé pour défendre leurs territoires, partager leurs savoirs ancestraux et influer sur les négociations climatiques. Vert s’y est rendu.
Exclusive interview with ex-US vice-president at Cop30 also reveals his hope around much-maligned climate summit
En l'absence de Donald Trump à la COP30 au Brésil, c'est son principal opposant, le gouverneur démocrate de Californie Gavin Newsom, qui attire la lumière mardi, en profitant pour décocher des flèches contre le président climatosceptique.
Plus de 80 pays n’ont toujours pas remis leur plan de baisse d’émissions de gaz à effet de serre pour 2035, alors qu’ils étaient tenus de le faire avant le coup d’envoi du sommet mondial. Une situation qui illustre la difficulté croissante à faire converger les efforts. […] Elles portent un nom abscons, mais, dans cette COP30 qui a débuté lundi 10 novembre à Belém, au Brésil, leur rôle est crucial. Les NDC, pour «contributions déterminées au niveau national», désignent les plans climatiques par lesquels chaque Etat s’engage, devant le reste du monde, à baisser ses émissions de gaz à effet de serre et rendre compte de ses progrès. Instituées par l’accord de Paris en 2015, ces feuilles de route doivent être actualisées tous les cinq ans, et les pays ont l’obligation de rehausser leur degré d’action à chaque nouvelle mouture.
Les Etats les plus vulnérables, soutenus par les Européens, défendent un rehaussement des ambitions concernant l’atténuation des émissions de gaz à effet de serre. D’autres pays, menés par la Chine et l’Inde, veulent rouvrir le sujet de la finance climatique.
La cité fondée en 1616, dont 60 % des habitants vivent dans des bidonvilles, accueille la COP30 dans une zone ultrasécurisée. Elle incarne les paradoxes du Brésil moderne, aux portes de la forêt tropicale.
À quelques encablures du sommet onusien et de ses zones d’exposition officielles, le gouvernement brésilien a installé une «Agrizone», sponsorisée par les grands noms de l’agrobusiness. Les organisations de la société civile enragent de cette collusion affichée et dénoncent les multiples ravages de l’agriculture industrielle.
Cette figure médiatique, qui a participé aux travaux du GIEC, se voit reprocher ses activités de conseil aux grandes entreprises.
Les émissions de CO2 en Chine sont restées stables au troisième trimestre par rapport à l'an dernier selon un rapport, à la faveur du développement des véhicules électriques. Cela laisse présager une année 2025 à l'équilibre en matière d'émissions totales.
Les émissions de CO₂ chinoises sont restées stables au troisième trimestre, comme depuis mars 2024. Elles pourraient même baisser cette année. La pollution générée par le secteur des transports a notamment diminué de 5 %, grâce à l’essor des voitures électriques.
Dans le cadre de la Conférence de Belém de 2025 sur les changements climatiques (COP30), le président brésilien Lula a lancé un fond inédit. L’objectif ? Motiver les pays en voie de développement à protéger leurs forêts tropicales. Avec cette mesure, le chef d’état entend combler une lacune : dans certains pays, il est plus rentable d’abattre les arbres que de les préserver.
Het afbouwen van de uitstoot, geld aan arme landen en tropische bossen. Daarover gaan zowat 200 landen het hebben op de jaarlijkse VN-klimaatconferentie in Belém, Brazilië. Makkelijk worden de onderhandelingen niet. Wordt dit de "COP van de actie", zoals gastheer Brazilië hoopt?
Depuis l’accord de Paris sur le climat en 2015, le solaire et l’éolien se développent à un rythme phénoménal mais le charbon, le pétrole et le gaz restent dominants. La COP30 de Belem, au Brésil, permettra de tester la volonté politique des Etats d’organiser une sortie des énergies fossiles.
Arbres asphyxiés, épines tombées… Dans la forêt de Fontainebleau, les conséquences du réchauffement climatique sont déjà visibles. Pour préserver ce massif emblématique, l'Office national des forêts mise sur la régénération naturelle et l'introduction d'essences plus résistantes à la sécheresse.
À l’occasion de la COP21, le 12 décembre 2015, près de 200 pays s’engageaient pour la première fois à lutter collectivement contre le réchauffement climatique en votant l’Accord de Paris. Dix ans plus tard, alors que s’ouvre ce lundi le sommet mondial (COP30) sur le climat à Belém (Brésil), le monde est encore loin d’être tiré d’affaire, malgré des progrès significatifs. Le tour en cinq graphiques.
Le 10 novembre s’ouvre la COP30 au Brésil. Boycott de Donald Trump, maintien des fossiles, objectifs climatiques beaucoup trop faibles... Reporterre récapitule les 5 points à retenir.
Tandis que Belém accueille la COP30, ses habitants ressentent déjà les répercussions de la crise climatique. Entre chaleurs extrêmes et pluies dévastatrices, les quartiers populaires sont les plus durement frappés.
Alors que la menace climatique s’aggrave, il faut admettre que si les grands rendez-vous diplomatiques sont nécessaires, ils ne suffiront pas à pousser les gouvernements à agir, estime, dans une tribune au « Monde », le cinéaste et militant Cyril Dion. A ses yeux, seule la démocratie délibérative permettra de sortir de l’impasse.
Dans une tribune au « Monde », l’enseignant à Sciences Po Paris Vincent Escoffier appelle à ériger la nature en sujet de droit international, après l’avoir trop longtemps considérée comme une ressource exploitable.
Op de VN-klimaatconferentie probeert de Braziliaanse president Luiz Inácio "Lula" da Silva zichzelf te presenteren als een nieuwe klimaatleider. Maar in zijn thuisland zoekt hij een wankel evenwicht tussen ecologie en economie. Onder Lula wordt er veel minder Amazonewoud ontbost, maar wil Brazilië wel veel meer olie oppompen. Zelf ziet de president daar geen probleem in.
En 2015, l’accord de Paris, signé par 195 pays, visait à limiter le réchauffement du climat à 2 °C. Dix ans après, les résultats se font attendre. De quoi interroger l’efficacité des COP, ces grand-messes climatiques, dont la trentième édition s’ouvre ce lundi au Brésil.
A la COP30 de Belem, la lutte contre la faim se heurte à un agenda très favorable à l’agro-industrie
(09/11) - Mathilde GérardLe Brésil a présenté deux engagements lors du sommet des chefs d’Etat : l’un, consensuel, sur la lutte contre la faim et la pauvreté, et l’autre, plus controversé, qui entraînerait une hausse du recours aux agrocarburants. Deux textes perçus comme contradictoires.
Dans une tribune au « Monde », le philosophe Baptiste Morizot et le juriste Laurent Neyret plaident pour que le principe d’habitabilité soit érigé en « valeur boussole » du droit du XXIᵉ siècle.
Decision by international court of justice hailed as a gamechanger for climate justice and accountability
Face aux attaques de plus en plus virulentes des États-Unis contre le «canular» du dérèglement climatique et leur désengagement sur ces questions, la COP 30 s’ouvre, lundi 10 novembre à Belém, sous de sinistres auspices.
La COP30, le prochain sommet des Nations Unies sur le climat s’ouvre à Bélem, au Brésil, ce 10 novembre 2025. Un chiffre rond et un lieu symbolique. La ville d’abord, située en lisière de l’Amazonie, le poumon de la planète. Le pays, ensuite, qui est celui où tout a commencé. C’était en 1992, au Sommet de la Terre, à Rio. Retour sur les principales COP qui ont jalonné la lutte contre le réchauffement climatique, et leurs résultats.
Terwijl in Brazilië volop wordt onderhandeld over een nieuw klimaatakkoord, probeert in eigen land Elise Descheemaeker (26) op haar manier haar steentje bij te dragen. Ze woont in 1 van de 3 Vlaamse ecodorpen, een gemeenschap die grotendeels zelfvoorzienend is. Het is haar manier om om te gaan met klimaatangst.
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