Uniquement les Articles de la décennie 2020
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L'Inde va suspendre provisoirement à partir de lundi les livraisons postales vers les États-Unis, a annoncé samedi le gouvernement, invoquant la confusion engendrée par les droits de douane imposés par le président Donald Trump.
Dans une déclaration commune, Washington et Bruxelles ont présenté, jeudi, les détails de l’accord conclu fin juillet, qui instaurait des droits de douane de 15 % sur la plupart des exportations européennes. Le secteur pharmaceutique et l’aviation seront exemptés, mais pas les vins et spiritueux.
Le gouvernement de Donald Trump, président climatosceptique et farouche détracteur des éoliennes, a lancé une enquête sur les importations aux Etats-Unis des composants de cette énergie renouvelable, ne fermant pas la porte à l'imposition éventuelle de droits de douane. Initiée le 13 août 2025 par le secrétaire au Commerce, mais rendue publique jeudi, cette procédure est menée dans le cadre de la section 232, qui permet au gouvernement américain de protéger un secteur d'activité par des droits de douane s'il estime qu'il y a risque pour la sécurité nationale. Sont concernées, les "importations d'éoliennes et de leurs pièces et composants", précise ce document.
Le Premier ministre indien Narendra Modi a déclaré vendredi que son pays, menacé par des surtaxes douanières américaines, cherchait à atteindre l'autosuffisance notamment en matière d'énergie, alors qu'il est un des principaux importateurs de pétrole au monde.
L'origine de ce lent naufrage est simple. Au fil des décennies, les Européens sont devenus des junkies de la dépendance externe. Nous avons laissé les autres assurer la croissance économique, la Chine assurer nos besoins industriels (surtout sales), la Russie nos besoins énergétiques, et les États-Unis notre sécurité militaire. Il faut arrêter cet engrenage, avertit Franklin Dehousse.
Le président américain a décidé, ce mercredi 6 août, de sanctionner les relations commerciales entre la Russie et l’Inde en ajoutant une nouvelle surtaxe au pays qu’il avait déjà récemment visé.
Le président américain Donald Trump a signé mercredi un décret ajoutant 25% de droits de douane sur les produits indiens, "en réponse à l'achat continu de pétrole russe", une source de revenus essentielle pour Moscou, a annoncé la Maison Blanche sur un de ses comptes X. Cette nouvelle surtaxe vient s'ajouter à celle de 25% qui doit entrer en vigueur jeudi, en même temps que les droits de douane que M. Trump présente comme "réciproques", et ne sera effective que dans 21 jours, selon le décret. Elle ne s'appliquera pas sur un certain nombre de produits, ce qui vient en réduire sensiblement la portée. Ces exemptions concernent cependant des produits visés par des droits de douane sectoriels spécifiques, comme l'acier ou l'aluminium, ou qui le seront prochainement, tels que les produits pharmaceutiques, importante industrie en Inde, ou les semiconducteurs.
Le Kremlin dénonce les menaces "illégitimes" de Trump de surtaxer les produits indiens
Donald Trump a accentué la pression sur le secteur pharmaceutique ce mardi 5 août en assurant que de nouvelles surtaxes pourraient être annoncées rapidement. Une décision qui risquerait d'affecter sérieusement l’économie européenne.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a déploré ce lundi 4 août des taxes douanières américaines «très punitives». L’Inde est également menacée par les taxes en raison des achats de pétrole russe.
Dans la soirée de jeudi 31 juillet, le président américain a annoncé que ces nouvelles mesures prendront finalement effet jeudi prochain.
Dans le cadre de l’accord commercial entre l’Union européenne et les Etats-Unis, l’Europe s’engage à procéder à des achats stratégiques outre-Atlantique d’une valeur de 750 milliards de dollars (environ 650 milliards d’euros), couvrant les carburants.
Le président a martelé, mercredi, que « la France continuera » à avoir « une position de fermeté et d’exigence » dans la suite des discussions commerciales avec l’administration Trump, qui peuvent permettre d’obtenir de « nouvelles exemptions ».
L'accord conclu entre Washington et Bruxelles prévoit que l'Union européenne achète pour 250 milliards de dollars par an d'énergies fossiles américaines sur 3 ans (soit 750 milliards de dollars au total), une promesse qui s'annonce difficile à tenir, voire qui est "irréaliste" selon des experts de l'énergie interrogés par l'AFP. En 2024, la facture totale des importations énergétiques de l'UE s'est élevée à 375 milliards d'euros, ou 435,5 milliards de dollars, ce qui signifie que l'Europe des 27 devrait désormais acheter aux États-Unis plus de la moitié de son énergie importée.
L'Union européenne s'est engagée à importer d'énormes quantités d'énergie américaine pour éviter une guerre commerciale avec Donald Trump. Des commandes de gaz naturel liquéfié, de pétrole ou de charbon qui pourraient mettre en péril les objectifs de décarbonation européens.
D'une dépendance à l'autre. A mesure que l'Union européenne se sèvre du gaz russe, elle ouvre grands ses portes (et ses ports) au GNL américain. En échange de droits de douane abaissés à 15%, Ursula von der Leyen a promis d'augmenter significativement les importations d'hydrocarbures américains. Un deal loin d'être gagnant pour la transition.
Le président américain conduit une stratégie de rupture marquée par la mise en œuvre de droits de douane spectaculaires, l’intensification du contrôle de l’immigration et la prolongation de politiques fiscales favorables aux plus aisés.
Selon leur pays, pour les constructeurs de voitures, l’accord sur les droits de douane, annoncé dimanche 27 juillet, n’a pas le même enjeu. Si les Allemands, qui exportent beaucoup sur le territoire américain, sont particulièrement vulnérables, la France devrait être épargnée.
Le deal conclu comprend l'achat de 750 milliards de dollars d'énergie américaine sur trois ans. Cette hausse des importations concerne notamment le gaz naturel liquéfié. Un signal environnemental et climatique catastrophique.
Le Réseau Action Climat est une fédération d’associations nationales et locales qui luttent contre les causes des changements climatiques de l’échelle internationale à l’échelle locale.
Le Premier ministre français François Bayrou a regretté lundi "un jour sombre" pour l'Europe qui "se résout à la soumission" en signant l'accord commercial annoncé dimanche entre l'Union européenne et les États-Unis.
Certains experts doutent de la capacité de l'Europe à acheter pour 250 milliards de dollars d'énergie américaine.
L’accord conclu entre Donald Trump et Ursula von der Leyen dimanche 27 juillet n’est pas accueilli de la même manière par tous les Etats européens. Et pour cause : les intérêts économiques des 27 membres de l’UE divergent.
En signant l’accord qui fixe à 15% les taxes sur les produits européens, l’UE semble s’être pliée aux règles du président américain. Peut-être pouvait-elle montrer plus de muscles face à un interlocuteur qui ne comprend que la force.
L’accord politique conclu dimanche entre Donald Trump et Ursula von der Leyen, doit encore être précisé par des négociations techniques. Mais l’essentiel est connu : l’Europe n’obtient rien et fait moins bien que le Royaume-Uni, ce qui souligne la faiblesse politique de ce géant commercial.
Sous le feu des critiques, Bruxelles a présenté lundi l'accord commercial avec les États-Unis de Donald Trump comme le "meilleur" compromis possible dans un contexte "très difficile". Il doit encore être précisé dans une déclaration commune des deux partenaires attendue d'ici au 1er août. Voici ce que l'on sait à ce stade: Que prévoit l'accord?
Dans le cadre de l'accord sur les droits de douane obtenu ce dimanche, l’Union européenne et les États-Unis ont annoncé un accord de principe pour l’achat de 750 milliards de dollars d’énergie américaine sur les trois prochaines années. Derrière cette annonce spectaculaire se dessine un projet stratégique de réorientation énergétique, destiné à réduire la dépendance à la Russie. Mais cet accord est encore très flou, comme le fait remarquer l’économiste Sophie Meritet, spécialiste de l’énergie.
Le président américain et la présidente de la Commission européenne sont parvenus, dimanche 27 juillet en Écosse, à un accord prévoyant que les produits européens exportés vers les États-Unis seraient taxés à 15 %. Un “deal” qui “limite la casse”, souligne la presse européenne, laquelle estime cependant que Bruxelles s’est résigné face à Washington.
Donald Trump et Ursula von der Leyen concluent un accord commercial entre lUE et les États-Unis en Ecosse. Donald Trump a annoncé des droits de douane à 15 %.
Le département américain du Commerce a annoncé lundi avoir lancé des procédures qui pourraient conduire dans quelques mois à la mise en place de droits de douane sectoriels sur les drones et des éléments nécessaires à la fabrication de panneaux solaires.
Le président américain menace d’ajuster à tout moment les nouvelles surtaxes sur les produits canadiens, conditionnant leur niveau à l’évolution des relations entre Washington et Ottawa.
Le président américain a annoncé, mardi, imposer une surtaxe de 50 % sur les produits brésiliens importés aux Etats-Unis. Il accuse son homologue brésilien de mener une « chasse aux sorcières » contre son prédécesseur d’extrême droite, actuellement jugé pour une tentative de coup d’Etat.
Le président américain a précisé ce mardi 8 juillet les droits de douane supplémentaire qu’il pourrait appliquer aux médicaments, d’ici à un an, et qu’il compte aussi cibler le cuivre. Les cours du métal ont aussitôt bondi.
Washington menace d’imposer de nouveaux droits de douane au Canada, alors que la taxe mise en place par Ottawa sur les services numériques doit commencer à être collectée le 30 juin.
L’énième mesure protectionniste du président américain est entrée en vigueur ce mercredi 4 juin, quelques heures avant des négociations à Paris entre les Etats-Unis et plusieurs partenaires commerciaux, notamment européens.
En visite dans une aciérie du géant de la métallurgie US Steel en Pennsylvanie, le président américain a dit vouloir « davantage protéger l’industrie de l’acier aux Etats-Unis ». La mesure entrera en vigueur le 4 juin.
En bloquant les droits de douane imposés par Donald Trump, les juges fédéraux ont estimé que la lettre et l’esprit de la loi avaient été violés. Il y a urgence à rappeler que, dans une démocratie, le pouvoir exécutif n’est pas sans limites.
Alors que des négociations sont en cours sur les tarifs entre les Etats-Unis et l’Union européenne, le président américain a agité une nouvelle hausse ce vendredi 23 mai.
L’Europe doit-elle payer plus cher ses médicaments ? La menace brandie par Donald Trump d’instaurer des droits de douane sur les produits de santé importés aux Etats-Unis a fait ressurgir en Europe un vieux serpent de mer de l’industrie pharmaceutique, celui du prix des médicaments. Estimant que les traitements ne sont pas rémunérés à leur juste valeur sur le Vieux Continent, les laboratoires plaident pour une hausse des prix.
Katsunobu Kato a osé dire tout haut ce que tout le monde murmure tout bas. Lors d’un entretien à TV Tokyo, vendredi 2 mai, le ministre des finances japonais a reconnu qu’il pourrait utiliser la dette américaine détenue par le Japon comme une arme de négociation contre Donald Trump. « C’est une carte qui existe, mais la décision de l’utiliser ou non est autre chose. » La déclaration a fait sursauter les milieux financiers. Voilà le meilleur allié asiatique des Etats-Unis qui menace d’utiliser une arme redoutable contre les Etats-Unis.